Très intéressés par le climat des affaires en Algérie et les énormes potentialités que recèle le pays, sans oublier les 286 milliards de dollars de réserves de change alléchants qui attirent de plus en plus les investisseurs internationaux, des délégations d'opérateurs économiques et d'entrepreneurs continuent de venir en Algérie pour s'enquérir de l'environnement des affaires et de la règlementation en matière d'investissement. Très intéressés par le climat des affaires en Algérie et les énormes potentialités que recèle le pays, sans oublier les 286 milliards de dollars de réserves de change alléchants qui attirent de plus en plus les investisseurs internationaux, des délégations d'opérateurs économiques et d'entrepreneurs continuent de venir en Algérie pour s'enquérir de l'environnement des affaires et de la règlementation en matière d'investissement. Après les hommes d'affaires polonais, roumains, américains, allemands, turcs, autrichiens, tunisiens, emiratis et anglais, la chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) annonce de nouvelles délégations d'opérateurs économiques. Il s'agit de l'arrivée des investisseurs italiens, brésiliens et syriens dont les délégations sont attendues pour les mois de novembre et décembre prochain. Alors que les opérateurs économiques français sont attendus pour les 29, 30 novembre et le 1er décembre prochains au Palais des nations (Club des Pins), dans le cadre «des journées technologiques françaises». Ce sont surtout les investisseurs européens qui viennent massivement s'informer sur les opportunités d'investissement en Algérie avec, toutefois, une volonté réelle de s'impliquer dans des projets de développement économique, tels que les industriels allemands, autrichiens, polonais, britanniques… et même américains qui vont rencontrer des opérateurs algériens dans moins de dix jours, lors du Conseil d'affaires algéro-américain présidé par l'Algérien Smail Chikhoune. En effet, plus d'une dizaine de délégations étrangères d'hommes d'affaires ont déjà séjourné en Algérie depuis le mois de septembre dernier. Ils étaient à la recherche d'opportunités d'investissements et d'échanges commerciaux avec leurs homologues algériens. Alger est devenu la capitale des affaires de la rive sud de la Méditerranée. Les Turcs ont même plaidé auprès des autorités algériennes pour la signature d'une zone de libre-échange avec l'Algérie. Les investisseurs syriens et italiens séjourneront à Alger en novembre et en décembre où ils auront des rencontres importantes avec des opérateurs économiques algériens, publics et privés. Et ce, dans le but de conclure, selon la même source, des accords de coopération et de partenariat. L'important pour ces entrepreneurs en quête de projets concrets consiste à tisser des contrats de partenariat gagnant-gagnant et instaurer des formes de coopération mutuellement avantageuses. Partenariat multidimensionnel Ainsi, la CACI affirme que « dans le cadre du renforcement de la coopération économique et du partenariat algéro-italien, une importante délégation d'hommes d'affaires italiens séjournera à Alger du 29 novembre au 2 décembre prochain pour tisser des relations de collaboration avec des entrepreneurs locaux ». Elle précise que cette délégation sera composée d'une vingtaine d'entreprises relevant des secteurs de fabrication d'appareils pour le traitement, le conditionnement et la distribution de l'air, la fabrication de machines pour l'industrie de l'embouteillage et la fabrication de porcelaine de table - grandes infrastructures, ponts routiers et ferroviaires et projets clés en main. D'autres entreprises sont versées, selon la CACI, dans la construction préfabriquée en acier et en béton pour écoles, hôpitaux, aéroports, les installations industrielles du secteur pétrochimique et la fabrication de machines pour la déformation, la coupe et le poinçonnage de la tôle et des profilés. Aussi, des industriels transalpins viendront également exposer leurs technologies et leurs produits dans les domaines de l'ingénierie côtière (services intégrés des systèmes complexes pour les travaux maritimes), la fabrication de machines pour l'usinage de toute variété de fruits et légumes frais, la fabrication de bagagerie et la culture de plantes d'extérieur (pépinière), services (consulting). Une rencontre d'affaires B to B sera organisée le 30 novembre au Palais des expositions où les travaux se dérouleront en plénière la matinée suivis de contacts d'affaires directs. Les entrepreneurs algériens spécialisés dans la fabrication de bateaux et d'infrastructures portuaires pourront tirer de grands profits des expériences allemandes et polonaise en matière de construction navale sachant que ces pays sont très experts dans ce domaine, à l'image des chantiers navales de Hambourg (Nord de l'Allemagne) et Gdansk (Pologne). Des armateurs germaniques représentant plusieurs sociétés versées dans la construction navale ont participé à la dernière Foire internationale d'Alger à la Safex où ils ont notamment exposé leur technologie et leur savoir-faire.Aussi, la CACI ajoute que dans le cadre du renforcement de la coopération économique et commerciale entre l'Algérie et la Syrie et en application des recommandations issues de la dernière session de la commission mixte gouvernementale algéro-syrienne, il a été convenu la mise en place d'un conseil d'hommes d'affaires algéro-syriens. Les journées technologiques françaises (JTF) 2010 qui ont été déjà organisées à Alger en 2008 constituent un forum d'échanges d'expériences en termes de « conclusion de partenariats technologiques et de transfert de savoir faire » entre les hommes d'affaires français et leurs homologues algériens. Un vrai défilé d'hommes d'affaires à la porte d'Alger qui devient la capitale du business et de la nouvelle économie. Certains observateurs algériens estiment que l'essentiel dans le carrousel économico-commercial de ces visites d'hommes d'affaires internationaux consiste à faire une évaluation minutieuse et empirique de ces opérations de séduction des investisseurs étrangers afin de tirer des enseignements utiles pour l'économie algérienne. Il convient de rappeler que les entrepreneurs chinois sont également très intéressés par la coopération avec des sociétés algériennes en vertu de la règle de 51 % et 49 % sachant qu'ils sont aussi préoccupés par l'implantation d'une usine de fabrication e bus de transport en commun.Concernant les firmes nippones, elles ne sont pas en reste puisqu'elles ont montré tout leur intérêt pour investir le marché algérien, notamment dans les secteurs de l'informatique, de l'automobile et des hydrocarbures où existe déjà un groupe mixte de coopération organisant régulièrement des rencontres entre les hommes d'affaires japonais et les opérateurs économiques algériens. En dépit de l'indice de notation de certains organismes de la Banque mondiale qui évaluent négativement la règlementation des affaires en Algérie, les délégations d'investisseurs étrangers continuent, donc, de visiter l'Algérie toujours attirante pour les industriels de sociétés réputées sur le plan international Après les hommes d'affaires polonais, roumains, américains, allemands, turcs, autrichiens, tunisiens, emiratis et anglais, la chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) annonce de nouvelles délégations d'opérateurs économiques. Il s'agit de l'arrivée des investisseurs italiens, brésiliens et syriens dont les délégations sont attendues pour les mois de novembre et décembre prochain. Alors que les opérateurs économiques français sont attendus pour les 29, 30 novembre et le 1er décembre prochains au Palais des nations (Club des Pins), dans le cadre «des journées technologiques françaises». Ce sont surtout les investisseurs européens qui viennent massivement s'informer sur les opportunités d'investissement en Algérie avec, toutefois, une volonté réelle de s'impliquer dans des projets de développement économique, tels que les industriels allemands, autrichiens, polonais, britanniques… et même américains qui vont rencontrer des opérateurs algériens dans moins de dix jours, lors du Conseil d'affaires algéro-américain présidé par l'Algérien Smail Chikhoune. En effet, plus d'une dizaine de délégations étrangères d'hommes d'affaires ont déjà séjourné en Algérie depuis le mois de septembre dernier. Ils étaient à la recherche d'opportunités d'investissements et d'échanges commerciaux avec leurs homologues algériens. Alger est devenu la capitale des affaires de la rive sud de la Méditerranée. Les Turcs ont même plaidé auprès des autorités algériennes pour la signature d'une zone de libre-échange avec l'Algérie. Les investisseurs syriens et italiens séjourneront à Alger en novembre et en décembre où ils auront des rencontres importantes avec des opérateurs économiques algériens, publics et privés. Et ce, dans le but de conclure, selon la même source, des accords de coopération et de partenariat. L'important pour ces entrepreneurs en quête de projets concrets consiste à tisser des contrats de partenariat gagnant-gagnant et instaurer des formes de coopération mutuellement avantageuses. Partenariat multidimensionnel Ainsi, la CACI affirme que « dans le cadre du renforcement de la coopération économique et du partenariat algéro-italien, une importante délégation d'hommes d'affaires italiens séjournera à Alger du 29 novembre au 2 décembre prochain pour tisser des relations de collaboration avec des entrepreneurs locaux ». Elle précise que cette délégation sera composée d'une vingtaine d'entreprises relevant des secteurs de fabrication d'appareils pour le traitement, le conditionnement et la distribution de l'air, la fabrication de machines pour l'industrie de l'embouteillage et la fabrication de porcelaine de table - grandes infrastructures, ponts routiers et ferroviaires et projets clés en main. D'autres entreprises sont versées, selon la CACI, dans la construction préfabriquée en acier et en béton pour écoles, hôpitaux, aéroports, les installations industrielles du secteur pétrochimique et la fabrication de machines pour la déformation, la coupe et le poinçonnage de la tôle et des profilés. Aussi, des industriels transalpins viendront également exposer leurs technologies et leurs produits dans les domaines de l'ingénierie côtière (services intégrés des systèmes complexes pour les travaux maritimes), la fabrication de machines pour l'usinage de toute variété de fruits et légumes frais, la fabrication de bagagerie et la culture de plantes d'extérieur (pépinière), services (consulting). Une rencontre d'affaires B to B sera organisée le 30 novembre au Palais des expositions où les travaux se dérouleront en plénière la matinée suivis de contacts d'affaires directs. Les entrepreneurs algériens spécialisés dans la fabrication de bateaux et d'infrastructures portuaires pourront tirer de grands profits des expériences allemandes et polonaise en matière de construction navale sachant que ces pays sont très experts dans ce domaine, à l'image des chantiers navales de Hambourg (Nord de l'Allemagne) et Gdansk (Pologne). Des armateurs germaniques représentant plusieurs sociétés versées dans la construction navale ont participé à la dernière Foire internationale d'Alger à la Safex où ils ont notamment exposé leur technologie et leur savoir-faire.Aussi, la CACI ajoute que dans le cadre du renforcement de la coopération économique et commerciale entre l'Algérie et la Syrie et en application des recommandations issues de la dernière session de la commission mixte gouvernementale algéro-syrienne, il a été convenu la mise en place d'un conseil d'hommes d'affaires algéro-syriens. Les journées technologiques françaises (JTF) 2010 qui ont été déjà organisées à Alger en 2008 constituent un forum d'échanges d'expériences en termes de « conclusion de partenariats technologiques et de transfert de savoir faire » entre les hommes d'affaires français et leurs homologues algériens. Un vrai défilé d'hommes d'affaires à la porte d'Alger qui devient la capitale du business et de la nouvelle économie. Certains observateurs algériens estiment que l'essentiel dans le carrousel économico-commercial de ces visites d'hommes d'affaires internationaux consiste à faire une évaluation minutieuse et empirique de ces opérations de séduction des investisseurs étrangers afin de tirer des enseignements utiles pour l'économie algérienne. Il convient de rappeler que les entrepreneurs chinois sont également très intéressés par la coopération avec des sociétés algériennes en vertu de la règle de 51 % et 49 % sachant qu'ils sont aussi préoccupés par l'implantation d'une usine de fabrication e bus de transport en commun.Concernant les firmes nippones, elles ne sont pas en reste puisqu'elles ont montré tout leur intérêt pour investir le marché algérien, notamment dans les secteurs de l'informatique, de l'automobile et des hydrocarbures où existe déjà un groupe mixte de coopération organisant régulièrement des rencontres entre les hommes d'affaires japonais et les opérateurs économiques algériens. En dépit de l'indice de notation de certains organismes de la Banque mondiale qui évaluent négativement la règlementation des affaires en Algérie, les délégations d'investisseurs étrangers continuent, donc, de visiter l'Algérie toujours attirante pour les industriels de sociétés réputées sur le plan international