Les bronchites aiguës virales : Une bronchite virale s'accompagne, en dehors de la toux, d'autres signes cliniques indiquant une atteinte virale : fièvre, mal à la gorge, nez bouché, courbatures, maux de tête… La toux est souvent sèche, douloureuse au début de la maladie puis elle devient en quelques jours, plus grasse, avec des glaires. En dehors de médicaments anti-tussifs pour diminuer la toux, d'antipyrétiques pour lutter contre la fièvre, de gouttes pour déboucher le nez, de collutoire pour diminuer la douleur de la gorge, il n'y a pas de traitement pour traiter l'infection virale elle-même. Celle-ci disparaitra au bout de quelques jours. Il arrive souvent qu'une toux persiste plusieurs semaines sans que le patient soit franchement malade. Il faut tout de même rechercher une surinfection bactérienne ou une bronchite chronique qui est en train de s'installer surtout si la personne fume. Les bronchites aiguës bactériennes : Si c'est une bronchite bactérienne, il existe des signes d'infection avec de la fièvre, des frissons, une fatigue et des signes d'atteinte bronchique dont la toux qui est souvent productrice : les crachats sont plus ou moins purulents. Elle est généralement due à un pneumocoque. C'est parfois la surinfection d'une bronchite virale. Il faut la diagnostiquer et prescrire des antibiotiques sur plusieurs jours. La bronchite chronique : C'est une inflammation chronique des bronches ; elle est due le plus souvent au tabac. En fait, on parle plus exactement de bronchopneumopathie chronique obstructive, et non plus de bronchite chronique. Fumez-vous ? La première question qui est posée devant une personne qui a une bronchite qui traîne sera : « Fumez-vous ? » En effet, le tabac est responsable de bon nombre de bronchites et de bronchites chroniques ; elle entraîne une irritation chronique des bronches, une fragilité des muqueuses et des infections microbiennes fréquentes. Contre la bronchiolite : la prévention ! L'épidémie de bronchiolite touche de nombreux nourissons en période hivernale . D'où l'appel qui est fait aux parents, pour qu'ils pensent ‘prévention' ! Chaque hiver, près de 30% des enfants de moins de 2 ans sont atteints par cette infection respiratoire des plus petites bronches. Elle débute généralement par un simple rhume et une toux. Une gêne respiratoire s'installe, accompagnée d'un sifflement. Bébé éprouve des difficultés à boire, comme à manger. A ce stade, la consultation du médecin s'impose. Sans attendre. Dans la très grande majorité des cas, la bronchiolite évolue de manière favorable, spontanément ou plus souvent avec l'aide d'une kinésithérapie. Rarement, elle impose l'hospitalisation. Dans ce cas, l'objectif est de pouvoir surveiller la fonction respiratoire. « Et éventuellement, de mettre en œuvre des mesures de réanimation ». La bronchiolite est principalement due au virus respiratoire syncitial (VRS). Il se transmet par la salive, les éternuements, la toux et les mains. Ainsi, un rhume de l'enfant et de l'adulte peut être à l'origine d'une bronchiolite chez le nourrisson. L'hygiène tient donc une place prépondérante dans la prévention. Quelques gestes simples permettent, en effet, d'éviter la transmission du virus : - Se laver systématiquement les mains à l'eau et au savon pendant 30 secondes avant de s'occuper d'un nourrisson ; - Eviter au maximum de l'emmener dans les lieux publics où il risquerait d'être au contact de personnes enrhumées ; - Au sein de la famille, ne jamais partager couverts et autres sucettes ; - Ne pas embrasser un petit sur le visage si l'on est enrhumé ; - Et le cas échéant (par exemple en cas de rhume), porter un masque chirurgical (en vente en pharmacie) dès que l'on doit s'occuper d'un petit enfant ; - Aérer sa chambre chaque jour ; - Enfin, et on ne le répétera jamais assez, pas de tabac dans l'environnement d'un enfant. Les bronchites aiguës virales : Une bronchite virale s'accompagne, en dehors de la toux, d'autres signes cliniques indiquant une atteinte virale : fièvre, mal à la gorge, nez bouché, courbatures, maux de tête… La toux est souvent sèche, douloureuse au début de la maladie puis elle devient en quelques jours, plus grasse, avec des glaires. En dehors de médicaments anti-tussifs pour diminuer la toux, d'antipyrétiques pour lutter contre la fièvre, de gouttes pour déboucher le nez, de collutoire pour diminuer la douleur de la gorge, il n'y a pas de traitement pour traiter l'infection virale elle-même. Celle-ci disparaitra au bout de quelques jours. Il arrive souvent qu'une toux persiste plusieurs semaines sans que le patient soit franchement malade. Il faut tout de même rechercher une surinfection bactérienne ou une bronchite chronique qui est en train de s'installer surtout si la personne fume. Les bronchites aiguës bactériennes : Si c'est une bronchite bactérienne, il existe des signes d'infection avec de la fièvre, des frissons, une fatigue et des signes d'atteinte bronchique dont la toux qui est souvent productrice : les crachats sont plus ou moins purulents. Elle est généralement due à un pneumocoque. C'est parfois la surinfection d'une bronchite virale. Il faut la diagnostiquer et prescrire des antibiotiques sur plusieurs jours. La bronchite chronique : C'est une inflammation chronique des bronches ; elle est due le plus souvent au tabac. En fait, on parle plus exactement de bronchopneumopathie chronique obstructive, et non plus de bronchite chronique. Fumez-vous ? La première question qui est posée devant une personne qui a une bronchite qui traîne sera : « Fumez-vous ? » En effet, le tabac est responsable de bon nombre de bronchites et de bronchites chroniques ; elle entraîne une irritation chronique des bronches, une fragilité des muqueuses et des infections microbiennes fréquentes. Contre la bronchiolite : la prévention ! L'épidémie de bronchiolite touche de nombreux nourissons en période hivernale . D'où l'appel qui est fait aux parents, pour qu'ils pensent ‘prévention' ! Chaque hiver, près de 30% des enfants de moins de 2 ans sont atteints par cette infection respiratoire des plus petites bronches. Elle débute généralement par un simple rhume et une toux. Une gêne respiratoire s'installe, accompagnée d'un sifflement. Bébé éprouve des difficultés à boire, comme à manger. A ce stade, la consultation du médecin s'impose. Sans attendre. Dans la très grande majorité des cas, la bronchiolite évolue de manière favorable, spontanément ou plus souvent avec l'aide d'une kinésithérapie. Rarement, elle impose l'hospitalisation. Dans ce cas, l'objectif est de pouvoir surveiller la fonction respiratoire. « Et éventuellement, de mettre en œuvre des mesures de réanimation ». La bronchiolite est principalement due au virus respiratoire syncitial (VRS). Il se transmet par la salive, les éternuements, la toux et les mains. Ainsi, un rhume de l'enfant et de l'adulte peut être à l'origine d'une bronchiolite chez le nourrisson. L'hygiène tient donc une place prépondérante dans la prévention. Quelques gestes simples permettent, en effet, d'éviter la transmission du virus : - Se laver systématiquement les mains à l'eau et au savon pendant 30 secondes avant de s'occuper d'un nourrisson ; - Eviter au maximum de l'emmener dans les lieux publics où il risquerait d'être au contact de personnes enrhumées ; - Au sein de la famille, ne jamais partager couverts et autres sucettes ; - Ne pas embrasser un petit sur le visage si l'on est enrhumé ; - Et le cas échéant (par exemple en cas de rhume), porter un masque chirurgical (en vente en pharmacie) dès que l'on doit s'occuper d'un petit enfant ; - Aérer sa chambre chaque jour ; - Enfin, et on ne le répétera jamais assez, pas de tabac dans l'environnement d'un enfant.