Victorieux le 9 décembre dernier des Libyens d'Al-Nasr de Benghazi (3-1) en finale aller de la coupe de l'Union nord-africaine de football (UNAF) des vainqueurs de coupe, les joueurs de l'Entente de Sétif devraient, à moins d'un extraordinaire renversement de situation, brandir mardi soir le trophée de cette compétition. Victorieux le 9 décembre dernier des Libyens d'Al-Nasr de Benghazi (3-1) en finale aller de la coupe de l'Union nord-africaine de football (UNAF) des vainqueurs de coupe, les joueurs de l'Entente de Sétif devraient, à moins d'un extraordinaire renversement de situation, brandir mardi soir le trophée de cette compétition. Pour les observateurs avertis, de même que pour les supporters des "Aigles Noirs" qui ne manqueront pas "d'enflammer" le stade du 8-Mai 1945, les carottes sont en effet bel et bien cuites pour les gars "d'Ennasr", sèchement battus dans leur antre du stade Hugo-Chavez. Giovanni Solinas, le coach, refuse pourtant de chanter victoire : "Nous n'avons pas encore gagné cette coupe (à), il ne faut pas oublier que nous ne sommes qu'à la mi-temps de cette finale et, à l'entame de la seconde manche, il y aura 0 à 0 a tableau d'affichage, c'est vous dire que tous les cas de figure restent possibles". Pour le technicien italien, il est "impératif d'oublier, au coup d'envoi, le score du match aller et de jouer notre football, comme nous savons le faire, car une surprise reste toujours possible en football". Il rassure cependant que son effectif, que le meneur de jeu Lazhar Hadj-Aïssa vient de rallier, s'est préparé au mieux et évoluera "avec sérénité et avec la philosophie de jeu partagée par l'ensemble des joueursàmais prudence quand-même". L'entraîneur est rejoint dans cet avis par le gardien international Faouzi Chaouchi qui estime que la supériorité affichée par ses-co-équipiers à Benghazi "ne doit pas faire oublier que le trophée ne pourra être soulevé qu'à l'issue de 90 mn qui ne seront sûrement pas de tout repos". Le keeper sétifien sait que les co-équipiers de son collègue El Fitouri n'ont absolument rien à perdre, qu'ils joueront leur va-tout et qu'à ce titre "ce ne serait pas malin de les prendre de haut". Facétieux en diable comme à son habitude le dernier rempart sétifien fait cependant mine de gratter machinalement le dôme tout blond de son crâne et lance avec une moue amusée : "cela dit, nous planter 3 buts à Sétifàje préfère être où je suis plutôt qu'à la place des attaquants libyens". Bouazza Feham, lui, ne se fait pas le moindre souci, même s'il laisse entendre que la finale "ne prendra fin qu'avec l'ultime coup de sifflet de l'arbitre". Le milieu de terrain sétifien affirme que son équipe pénétrera sur le terrain pour gagner, confirmer le résultat du match aller et faire plaisir aux supporters. Rappelons que l'équipe sera privée de son étoile montante Abdelmoumène Djabou, expulsé lors de la première manche, de Nabil Hemani et de Francis Ambane (tous deux en convalescence). En revanche, Hocine Metref, Farouk Belkaïd, Abdelkader Laïfaoui, Abderrahmane Hachoud, Khaled Lemmouchia et le duo d'attaquants Youcef Ghazali et Mustapha Djallit, tous en belle forme, devraient donner fière allure au onze sétifien rentrant avec, pourquoi pas, l'incorporation en cours de jeu de Lazhar Hadj Aïssa comme cadeau de fin d'année de Solinas, histoire de saluer le grand retour du "Baggio arabe". La rencontre, dont le coup d'envoi est prévu à 17h30 au stade du 8-Mai-1945, sera officiée par l'arbitre marocain Hichem Tazi, assisté de ses compatriotes Abdelaziz Mehradji et Abdellah Filali. Pour les observateurs avertis, de même que pour les supporters des "Aigles Noirs" qui ne manqueront pas "d'enflammer" le stade du 8-Mai 1945, les carottes sont en effet bel et bien cuites pour les gars "d'Ennasr", sèchement battus dans leur antre du stade Hugo-Chavez. Giovanni Solinas, le coach, refuse pourtant de chanter victoire : "Nous n'avons pas encore gagné cette coupe (à), il ne faut pas oublier que nous ne sommes qu'à la mi-temps de cette finale et, à l'entame de la seconde manche, il y aura 0 à 0 a tableau d'affichage, c'est vous dire que tous les cas de figure restent possibles". Pour le technicien italien, il est "impératif d'oublier, au coup d'envoi, le score du match aller et de jouer notre football, comme nous savons le faire, car une surprise reste toujours possible en football". Il rassure cependant que son effectif, que le meneur de jeu Lazhar Hadj-Aïssa vient de rallier, s'est préparé au mieux et évoluera "avec sérénité et avec la philosophie de jeu partagée par l'ensemble des joueursàmais prudence quand-même". L'entraîneur est rejoint dans cet avis par le gardien international Faouzi Chaouchi qui estime que la supériorité affichée par ses-co-équipiers à Benghazi "ne doit pas faire oublier que le trophée ne pourra être soulevé qu'à l'issue de 90 mn qui ne seront sûrement pas de tout repos". Le keeper sétifien sait que les co-équipiers de son collègue El Fitouri n'ont absolument rien à perdre, qu'ils joueront leur va-tout et qu'à ce titre "ce ne serait pas malin de les prendre de haut". Facétieux en diable comme à son habitude le dernier rempart sétifien fait cependant mine de gratter machinalement le dôme tout blond de son crâne et lance avec une moue amusée : "cela dit, nous planter 3 buts à Sétifàje préfère être où je suis plutôt qu'à la place des attaquants libyens". Bouazza Feham, lui, ne se fait pas le moindre souci, même s'il laisse entendre que la finale "ne prendra fin qu'avec l'ultime coup de sifflet de l'arbitre". Le milieu de terrain sétifien affirme que son équipe pénétrera sur le terrain pour gagner, confirmer le résultat du match aller et faire plaisir aux supporters. Rappelons que l'équipe sera privée de son étoile montante Abdelmoumène Djabou, expulsé lors de la première manche, de Nabil Hemani et de Francis Ambane (tous deux en convalescence). En revanche, Hocine Metref, Farouk Belkaïd, Abdelkader Laïfaoui, Abderrahmane Hachoud, Khaled Lemmouchia et le duo d'attaquants Youcef Ghazali et Mustapha Djallit, tous en belle forme, devraient donner fière allure au onze sétifien rentrant avec, pourquoi pas, l'incorporation en cours de jeu de Lazhar Hadj Aïssa comme cadeau de fin d'année de Solinas, histoire de saluer le grand retour du "Baggio arabe". La rencontre, dont le coup d'envoi est prévu à 17h30 au stade du 8-Mai-1945, sera officiée par l'arbitre marocain Hichem Tazi, assisté de ses compatriotes Abdelaziz Mehradji et Abdellah Filali.