Même si l'Algérie exporte moins de produits agricoles vers l'Europe, et particulièrement en Allemagne, il n'en demeure pas moins que la qualité de ses produits du terroir est beaucoup plus importante, d'autant plus que tous ses produits sont biologiques et très prisés par les consommateurs allemands, français et hollandais. Même si l'Algérie exporte moins de produits agricoles vers l'Europe, et particulièrement en Allemagne, il n'en demeure pas moins que la qualité de ses produits du terroir est beaucoup plus importante, d'autant plus que tous ses produits sont biologiques et très prisés par les consommateurs allemands, français et hollandais. Alors que le programme de développement économique quinquennal 2010-2014 prévoit la création de 200.000 entreprises, tous secteurs économiques confondus, les pouvoirs publics accordent une place centrale au secteur agricole afin, non seulement de garantir la sécurité alimentaire du pays, mais également pour dégager des excédents significatifs pour l'exportation sur le marché international. Et ce notamment dans l'espace euroméditerranéen où les produits agricoles du terroir, principalement les fruits et légumes frais sont prisés. En effet, des sénateurs ont réclamé, hier au cours du débat sur la politique générale du gouvernement au Conseil de la Nation, plus d'intérêt pour la production et l'exportation de produits agricoles. Aussi, les responsables de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) estiment que les différentes actions menées pour promouvoir les exportations agricoles et agroalimentaires, tels que l'organisation de salons spécialisés de l'agro-export et les programmes d'aide et de soutien aux PME ayant des capacités exportatrices, visent notamment à conquérir et intégrer le marché extérieur tout en dotant les entreprises de ressources nécessaires pour leur compétitivité et leur concurrence. Alors qu'actuellement les exportations hors hydrocarbures rapportent 1,9 milliard de dollars (3% du total des exportations) dont environ 400 millions de dollars pour le secteur agricole, l'Algex estime que "nos capacités exportatrices hors hydrocarbures sont susceptibles de se traduire par des recettes de 4 milliards de dollars dont plus de 2 milliards pour les produits agricoles frais".Les dattes qui rapportent plus de 20 millions de dollars et dont les prévisions montrent qu'avec plus de 60 millions de quintaux d'exportation de Deglet Nour, la récolte de la phoeniculture pourrait avoir des gains en devises supérieurs à 100 millions de dollars. Aussi, la pommes de terre, les agrumes et les primeurs, ainsi que les fruits et légumes (tomates, cantaloup, fraises, abricots, pastèque, melon...) sont bien placés pour percer sur le marché international sachant que ces produits sont bien demandés dans de nombreux pays européens, notamment en Allemagne où des exportateurs, des opérateurs économiques et producteurs algériens de fruits et légumes vont exposer leurs produits à Berlin lors du salon international ''Fruit Logistica'' prévu du 6 au 9 février 2011. Même si l'Algérie exporte moins de produits agricoles vers l'Europe, et particulièrement en Allemagne, il n'en demeure pas moins que la qualité de ses produits du terroir est beaucoup plus importante, d'autant plus que tous ses produits sont biologiques et très prisés par les consommateurs allemands, français et hollandais. Le problème de la certification et de la conformité des produits agricoles algériens ne se pose plus puisque tous les fruits et légumes commercialisés sur le marché international sous le label algérien répondent aux normes et standards internationaux. Conquête du marché africain sub-saharien Selon l'expert français Reschenmann, qui s'est exprimé à l'Algex devant des opérateurs économiques algériens et des exportateurs hors hydrocarbures, "ce qui manque aux exportateurs algériens c'est surtout le professionnalisme et le métier d'exportateur, mais également des moyens logistiques et des réseaux de transport". En effet, des exportateurs et des entrepreneurs nous ont affirmé que "l'aide et le soutien financier et logistique apportés par le programme d'Optimexport et l'Algex sont importants pour la connaissance et l'intégration du marché extérieur". Les performances de l'agriculture algérienne se sont traduits par l'exportation, en juin dernier, de 10. 000 tonnes d'orge vers la Tunisie grâce à une excellente récolte, alors que dans les décennies passées, il y avait un grand déficit en matière de culture céréalière. Aussi, l'ouverture du comptoir commercial à Yaoundé pour la promotion et la vente des produits agricoles algériens (fruits et légumes) a permis de faire connaître les produits du terroir aux consommateurs camerounais dont une opératrice économique algérienne nous a confié que "les fruits et légumes et le label algérien ont la côte dans ce pays d'Afrique sub saharienne". Cela encourage, par conséquent, les exportateurs à s'impliquer beaucoup plus dans les activités exportatrices vers les pays africains. Ainsi, l'Algex qui a organisé une rencontre avec les entrepreneurs et opérateurs économiques nationaux pour l'étude et l'exploration du marché du Niger, a fourni des informations importantes et utiles pour la conquête de ce marché largement à la portée des producteurs algériens.Des exportateurs estiment que les produits agricoles et agroalimentaires peuvent facilement trouver de potentiels consommateurs au Niger d'autant plus que la base de vie et le complexe d'extraction d'uranium d'Areva comporte plus de 3.200 employés. Aussi, la proximité du marché nigérien et les protocoles d'accord douaniers permettent une meilleure commercialisation des produits algériens. Alors que le programme de développement économique quinquennal 2010-2014 prévoit la création de 200.000 entreprises, tous secteurs économiques confondus, les pouvoirs publics accordent une place centrale au secteur agricole afin, non seulement de garantir la sécurité alimentaire du pays, mais également pour dégager des excédents significatifs pour l'exportation sur le marché international. Et ce notamment dans l'espace euroméditerranéen où les produits agricoles du terroir, principalement les fruits et légumes frais sont prisés. En effet, des sénateurs ont réclamé, hier au cours du débat sur la politique générale du gouvernement au Conseil de la Nation, plus d'intérêt pour la production et l'exportation de produits agricoles. Aussi, les responsables de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) estiment que les différentes actions menées pour promouvoir les exportations agricoles et agroalimentaires, tels que l'organisation de salons spécialisés de l'agro-export et les programmes d'aide et de soutien aux PME ayant des capacités exportatrices, visent notamment à conquérir et intégrer le marché extérieur tout en dotant les entreprises de ressources nécessaires pour leur compétitivité et leur concurrence. Alors qu'actuellement les exportations hors hydrocarbures rapportent 1,9 milliard de dollars (3% du total des exportations) dont environ 400 millions de dollars pour le secteur agricole, l'Algex estime que "nos capacités exportatrices hors hydrocarbures sont susceptibles de se traduire par des recettes de 4 milliards de dollars dont plus de 2 milliards pour les produits agricoles frais".Les dattes qui rapportent plus de 20 millions de dollars et dont les prévisions montrent qu'avec plus de 60 millions de quintaux d'exportation de Deglet Nour, la récolte de la phoeniculture pourrait avoir des gains en devises supérieurs à 100 millions de dollars. Aussi, la pommes de terre, les agrumes et les primeurs, ainsi que les fruits et légumes (tomates, cantaloup, fraises, abricots, pastèque, melon...) sont bien placés pour percer sur le marché international sachant que ces produits sont bien demandés dans de nombreux pays européens, notamment en Allemagne où des exportateurs, des opérateurs économiques et producteurs algériens de fruits et légumes vont exposer leurs produits à Berlin lors du salon international ''Fruit Logistica'' prévu du 6 au 9 février 2011. Même si l'Algérie exporte moins de produits agricoles vers l'Europe, et particulièrement en Allemagne, il n'en demeure pas moins que la qualité de ses produits du terroir est beaucoup plus importante, d'autant plus que tous ses produits sont biologiques et très prisés par les consommateurs allemands, français et hollandais. Le problème de la certification et de la conformité des produits agricoles algériens ne se pose plus puisque tous les fruits et légumes commercialisés sur le marché international sous le label algérien répondent aux normes et standards internationaux. Conquête du marché africain sub-saharien Selon l'expert français Reschenmann, qui s'est exprimé à l'Algex devant des opérateurs économiques algériens et des exportateurs hors hydrocarbures, "ce qui manque aux exportateurs algériens c'est surtout le professionnalisme et le métier d'exportateur, mais également des moyens logistiques et des réseaux de transport". En effet, des exportateurs et des entrepreneurs nous ont affirmé que "l'aide et le soutien financier et logistique apportés par le programme d'Optimexport et l'Algex sont importants pour la connaissance et l'intégration du marché extérieur". Les performances de l'agriculture algérienne se sont traduits par l'exportation, en juin dernier, de 10. 000 tonnes d'orge vers la Tunisie grâce à une excellente récolte, alors que dans les décennies passées, il y avait un grand déficit en matière de culture céréalière. Aussi, l'ouverture du comptoir commercial à Yaoundé pour la promotion et la vente des produits agricoles algériens (fruits et légumes) a permis de faire connaître les produits du terroir aux consommateurs camerounais dont une opératrice économique algérienne nous a confié que "les fruits et légumes et le label algérien ont la côte dans ce pays d'Afrique sub saharienne". Cela encourage, par conséquent, les exportateurs à s'impliquer beaucoup plus dans les activités exportatrices vers les pays africains. Ainsi, l'Algex qui a organisé une rencontre avec les entrepreneurs et opérateurs économiques nationaux pour l'étude et l'exploration du marché du Niger, a fourni des informations importantes et utiles pour la conquête de ce marché largement à la portée des producteurs algériens.Des exportateurs estiment que les produits agricoles et agroalimentaires peuvent facilement trouver de potentiels consommateurs au Niger d'autant plus que la base de vie et le complexe d'extraction d'uranium d'Areva comporte plus de 3.200 employés. Aussi, la proximité du marché nigérien et les protocoles d'accord douaniers permettent une meilleure commercialisation des produits algériens.