Le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'rakach a salué, hier, les décisions prises par le gouvernement, dans le domaine économique notamment, qui « contribuent au renforcement des entreprises algériennes ». « Nous applaudissons et nous saluons les décisions prises par le gouvernement, qui contribuent au renforcement des entreprises algériennes et à la consolidation du produit national », a déclaré Boualem M'rakach dans un point de presse animé à l'issue de la réunion du bureau exécutif de la CAP. Le rapport du bureau exécutif de la CAP, qui sera soumis « aujourd'hui au Premier ministre », a-t-il dit, contient « les propositions de la Confédération » pour l'amélioration de la situation des entreprises et les relations avec le gouvernement. La CAP soutient également la position du gouvernement quant à l'engagement que doivent adopter « les entreprises privées envers l'économie nationale », a encore affirmé le président de la CAP. « Nous, nous avons toujours dit que ce n'est pas au Trésor public de faire de l'entreprise, mais celle-ci doit être accompagnée et suivie par les pouvoirs publics », a-t-il dit. Il a estimé, toutefois, qu'il « n' y a pas eu assez de communication » sur les mesures prises par les pouvoirs publics à la faveur des réformes de l'économie nationale, alors que certaines d'entre elles « ne sont pas encore appliquées sur le terrain ». Pour le président de la CAP, « il n'y a pas encore une bonne régulation du marché », puisque l'informel continue de parasiter l'entreprise nationale. En évoquant les problèmes auxquels fait face l'entreprise nationale, M'rakach demande, entre autres, « la prise en charge, par le Trésor public, des agios générés par les crédits d'investissement et d'exploitation des entreprises » et permettant à celles-ci d'échelonner le principal de la dette sur une période allant jusqu'à 10 ans. En réaffirmant, par ailleurs, le soutien de l'Etat « aux entreprises (privées) », il a appelé à l'allègement des procédures de paiement des intrants nécessaires à la production par la baisse de la TVA sur ces produits. Sur la (prochaine) réunion de la Tripartite, il a indiqué qu'elle « se prépare dans de bonnes condition ». Quant au dossier des allocations familiales, Boualem M'rakach a indiqué que « ce problème est en cours de règlement ». Le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'rakach a salué, hier, les décisions prises par le gouvernement, dans le domaine économique notamment, qui « contribuent au renforcement des entreprises algériennes ». « Nous applaudissons et nous saluons les décisions prises par le gouvernement, qui contribuent au renforcement des entreprises algériennes et à la consolidation du produit national », a déclaré Boualem M'rakach dans un point de presse animé à l'issue de la réunion du bureau exécutif de la CAP. Le rapport du bureau exécutif de la CAP, qui sera soumis « aujourd'hui au Premier ministre », a-t-il dit, contient « les propositions de la Confédération » pour l'amélioration de la situation des entreprises et les relations avec le gouvernement. La CAP soutient également la position du gouvernement quant à l'engagement que doivent adopter « les entreprises privées envers l'économie nationale », a encore affirmé le président de la CAP. « Nous, nous avons toujours dit que ce n'est pas au Trésor public de faire de l'entreprise, mais celle-ci doit être accompagnée et suivie par les pouvoirs publics », a-t-il dit. Il a estimé, toutefois, qu'il « n' y a pas eu assez de communication » sur les mesures prises par les pouvoirs publics à la faveur des réformes de l'économie nationale, alors que certaines d'entre elles « ne sont pas encore appliquées sur le terrain ». Pour le président de la CAP, « il n'y a pas encore une bonne régulation du marché », puisque l'informel continue de parasiter l'entreprise nationale. En évoquant les problèmes auxquels fait face l'entreprise nationale, M'rakach demande, entre autres, « la prise en charge, par le Trésor public, des agios générés par les crédits d'investissement et d'exploitation des entreprises » et permettant à celles-ci d'échelonner le principal de la dette sur une période allant jusqu'à 10 ans. En réaffirmant, par ailleurs, le soutien de l'Etat « aux entreprises (privées) », il a appelé à l'allègement des procédures de paiement des intrants nécessaires à la production par la baisse de la TVA sur ces produits. Sur la (prochaine) réunion de la Tripartite, il a indiqué qu'elle « se prépare dans de bonnes condition ». Quant au dossier des allocations familiales, Boualem M'rakach a indiqué que « ce problème est en cours de règlement ».