La mode est loin d'être figée, elle évolue à une vitesse folle, et ce qui est à la mode aujourd'hui, devient « has been » le jour d'après, et ce qui a été relégué au fond des armoires, des décennies durant, revient sur le devant de la scène par le bon vouloir d'une mode souveraine qui impose ses règles et lois. La mode est loin d'être figée, elle évolue à une vitesse folle, et ce qui est à la mode aujourd'hui, devient « has been » le jour d'après, et ce qui a été relégué au fond des armoires, des décennies durant, revient sur le devant de la scène par le bon vouloir d'une mode souveraine qui impose ses règles et lois. La mode est une réalité incontournable à Alger. Elle ne concerne pas uniquement le look vestimentaire et la coiffure, mais aussi les comportements et l'allure en général. Ce sont surtout les "teenagers" qui annoncent à chaque fois la couleur des nouvelles tendances. Les adultes suivent, un peu déphasés, les multiples évolutions des modes et tendances. Mais il ne faut pas croire que ces derniers ne suivent pas la mode, loin de là, En arpentant le boulevard Didouche-Mourad, principale artère de la capitale, on est aux premières loges pour se convaincre que la mode fait partie des préoccupations essentielles de la majorité des Algérois. Toutefois 2 tendances émergent largement en matière de tenues vestimentaire et de coiffure particulièrement pour nos ados qui suivent de très près les modes. Ces 2 tendances sautent aux yeux : l'Orient pour les jeunes filles, maquillage libanais, et hidjabs renvoyant aux mille et une nuits pendant que d'autres se rallient sans réserve à l'Occident qui s'offre la part du lion, avec shorts portés sur bas opaques, frange balayant tout un côté du visage cachant les yeux des adolescent aussi bien filles que garçons. D'autres arborent des bonnets péruviens qui ont la cote ces deux dernières années. Casquettes, chapeaux et autres couvre chefs sont également de sortie ces années. D'ailleurs rares sont ceux, parmi les jeunes, qui s'habillent de façon sobre et classique. Ainsi on est forcé, en parlant de mode, de relier ce mot aux adolescents, ces derniers en effet empruntent et font leurs les tendances musicales : rock ou rap, et même gnawi, une manière pour eux de s'affirmer à un âge où l'on se recherche et l'on se révolte contre les adultes, ces choix vestimentaires et de coiffure, selon les choix musicaux leur confèrent une certaine assurance. La mode est loin d'être figée, bien au contraire elle évolue à une vitesse hallucinante, ce qui est à la mode aujourd'hui, devient « has been » le jour d'après, et ce qui a été relégué au fond des armoires des décennies durant revient sur le devant de la scène par le bon vouloir de la mode qui impose ses règles et lois. Des stylistes et coiffeurs ne cessent d'innover et de rivaliser dans des créations artistiques ou farfelues. L'Algérois, en matière de mode est gâté et chouchouté et n'a que l'embarras du choix, pour le paraître. Ceux qui optent pour les vêtements de «marque», pour s'habiller ne sont plus contraints de prendre l'avion pour aller faire leurs emplettes sous d'autres cieux. De fait des marques prestigieuses ayant pigon sur rue dans les plus grandes artères occidentales se sont installées à Alger pour le plus grand bonheur de ces férus des marques. Le gérant d'une boutique d'articles de sport d'une célèbre marque nous avoue : «Je peux vous dire que les Algérois achètent tout ce qui est à la mode. Ils sont à la page et savent apprécier la qualité, maintenant je ne peux pas vous dire s'ils achètent la marque ou le produit lui-même». Au moment de notre passage dans cette boutique un groupe de jeunes, filles et garçons, essayaient baskets et vêtements de sport avant de se décider à faire leurs achats sans que les prix, relativement élevés, n'aient l'air de les rebuter. Nesma, fidèle cliente de cette boutique, nous dit . «Je fait mes achats dans cette boutique depuis son ouverture. Je peux même vous dire que les cadeaux que je fait à mon entourage et amis je les achète ici». Même si elle admet que les articles sont chers elle n'en demeure pas moins persuadée que la notoriété de la marque les vaut bien. «Il ne faut pas oublier que c'est une grande marque et les prix ne sont pas exagérés », nous dit-elle en se dirigeant vers la caisse pour payer les deux articles choisis pour la bagatelle de 14.000 DA. L'ensemble des gérants de ce genre de boutique affirment que les affaires marchent bien et qu'ils n'ont pas à se plaindre ayant une clientèle fidélisée, sans parler des ventes records en période de solde. L'un d'eux nous dira : «La mode est un phénomène qui casse la routine. Elle offre différentes manières d'affirmer sa personnalité, changer de look et regagner l'estime de soi, parfois». Un proverbe arabe dit en ce sens : «Mange ce qui te plaît, mais porte ce qui plaît aux autres»., comme quoi que l'on a toujours eu, depuis la nuit des temps, le souci de paraître aux yeux des autres. On peut dire que la mode, perpétuel «remodelage et relooking» des personnes en quête de leur «Moi», a fini par s'imposer dans nos vies et celle de nos lycéens et étudiants, qui sont aux premières loges pour suivre l'évolution de la mode. Le seul bémol, qu'il faut toutefois soulever, c'est que certains de ces jeunes cèdent parfois aux chants des sirènes et succombent à certaines modes dangereuses, à l'instar de celles gothique, ou encore émo, qui inquiétent à bon escient les parents. En conclusion ce qu'il faut dire c'est qu'il n'est pas interdit de suivre la mode, mais comme pour toute chose avec modération. La mode est une réalité incontournable à Alger. Elle ne concerne pas uniquement le look vestimentaire et la coiffure, mais aussi les comportements et l'allure en général. Ce sont surtout les "teenagers" qui annoncent à chaque fois la couleur des nouvelles tendances. Les adultes suivent, un peu déphasés, les multiples évolutions des modes et tendances. Mais il ne faut pas croire que ces derniers ne suivent pas la mode, loin de là, En arpentant le boulevard Didouche-Mourad, principale artère de la capitale, on est aux premières loges pour se convaincre que la mode fait partie des préoccupations essentielles de la majorité des Algérois. Toutefois 2 tendances émergent largement en matière de tenues vestimentaire et de coiffure particulièrement pour nos ados qui suivent de très près les modes. Ces 2 tendances sautent aux yeux : l'Orient pour les jeunes filles, maquillage libanais, et hidjabs renvoyant aux mille et une nuits pendant que d'autres se rallient sans réserve à l'Occident qui s'offre la part du lion, avec shorts portés sur bas opaques, frange balayant tout un côté du visage cachant les yeux des adolescent aussi bien filles que garçons. D'autres arborent des bonnets péruviens qui ont la cote ces deux dernières années. Casquettes, chapeaux et autres couvre chefs sont également de sortie ces années. D'ailleurs rares sont ceux, parmi les jeunes, qui s'habillent de façon sobre et classique. Ainsi on est forcé, en parlant de mode, de relier ce mot aux adolescents, ces derniers en effet empruntent et font leurs les tendances musicales : rock ou rap, et même gnawi, une manière pour eux de s'affirmer à un âge où l'on se recherche et l'on se révolte contre les adultes, ces choix vestimentaires et de coiffure, selon les choix musicaux leur confèrent une certaine assurance. La mode est loin d'être figée, bien au contraire elle évolue à une vitesse hallucinante, ce qui est à la mode aujourd'hui, devient « has been » le jour d'après, et ce qui a été relégué au fond des armoires des décennies durant revient sur le devant de la scène par le bon vouloir de la mode qui impose ses règles et lois. Des stylistes et coiffeurs ne cessent d'innover et de rivaliser dans des créations artistiques ou farfelues. L'Algérois, en matière de mode est gâté et chouchouté et n'a que l'embarras du choix, pour le paraître. Ceux qui optent pour les vêtements de «marque», pour s'habiller ne sont plus contraints de prendre l'avion pour aller faire leurs emplettes sous d'autres cieux. De fait des marques prestigieuses ayant pigon sur rue dans les plus grandes artères occidentales se sont installées à Alger pour le plus grand bonheur de ces férus des marques. Le gérant d'une boutique d'articles de sport d'une célèbre marque nous avoue : «Je peux vous dire que les Algérois achètent tout ce qui est à la mode. Ils sont à la page et savent apprécier la qualité, maintenant je ne peux pas vous dire s'ils achètent la marque ou le produit lui-même». Au moment de notre passage dans cette boutique un groupe de jeunes, filles et garçons, essayaient baskets et vêtements de sport avant de se décider à faire leurs achats sans que les prix, relativement élevés, n'aient l'air de les rebuter. Nesma, fidèle cliente de cette boutique, nous dit . «Je fait mes achats dans cette boutique depuis son ouverture. Je peux même vous dire que les cadeaux que je fait à mon entourage et amis je les achète ici». Même si elle admet que les articles sont chers elle n'en demeure pas moins persuadée que la notoriété de la marque les vaut bien. «Il ne faut pas oublier que c'est une grande marque et les prix ne sont pas exagérés », nous dit-elle en se dirigeant vers la caisse pour payer les deux articles choisis pour la bagatelle de 14.000 DA. L'ensemble des gérants de ce genre de boutique affirment que les affaires marchent bien et qu'ils n'ont pas à se plaindre ayant une clientèle fidélisée, sans parler des ventes records en période de solde. L'un d'eux nous dira : «La mode est un phénomène qui casse la routine. Elle offre différentes manières d'affirmer sa personnalité, changer de look et regagner l'estime de soi, parfois». Un proverbe arabe dit en ce sens : «Mange ce qui te plaît, mais porte ce qui plaît aux autres»., comme quoi que l'on a toujours eu, depuis la nuit des temps, le souci de paraître aux yeux des autres. On peut dire que la mode, perpétuel «remodelage et relooking» des personnes en quête de leur «Moi», a fini par s'imposer dans nos vies et celle de nos lycéens et étudiants, qui sont aux premières loges pour suivre l'évolution de la mode. Le seul bémol, qu'il faut toutefois soulever, c'est que certains de ces jeunes cèdent parfois aux chants des sirènes et succombent à certaines modes dangereuses, à l'instar de celles gothique, ou encore émo, qui inquiétent à bon escient les parents. En conclusion ce qu'il faut dire c'est qu'il n'est pas interdit de suivre la mode, mais comme pour toute chose avec modération.