Le cinéaste libanais Bahij Hojeij qui participe avec son long métrage Chetti ya deni dans le cadre du Festival international du film arabe d'Oran, a estimé, lundi soir, que le cinéma algérien se distingue par la qualité et le professionnalisme, traitant de "thèmes sociaux profonds". "Le cinéma algérien a le courage de soulever des sujets politiques et sociaux", a déclaré à l'APS le réalisateur Hojeij, qui a qualifié ce cinéma de "professionnel". Ce professionnalisme est relevé "dans les œuvres cinématographiques, qui sont présentées aux festivals internationaux ou à la télévision", a-t-ildit. Le cinéaste, qui participe pour la première fois à ce festival, a affirmé que l'audace du cinéma algérien dans le traitement des sujets, lui confère du succès, non seulement en Algérie mais également dans les pays occidentaux. Il estime, d'autre part, que le Festival international du film arabe, abrité par la capitale de l'Ouest algérien, est "un véritable festival de cinéma car il s'intéresse au septième art et non pas aux apparences", en ajoutant "ce qui nous intéresse, nous les cinéastes, c'est le cinéma et la concentration sur ce qui sert le septième art dans le monde arabe". Pour ce qui est de la situation actuelle du film arabe, il a souligné que "le cinéma arabe nécessite d'abord un espace de liberté plus vaste", ainsi que le financement et des co-productions, en notant que le cinéma arabe a fait des progrès, notamment grâce aux efforts des réalisateurs qui, par leur courage, ont pu concrétiser des œuvres convaincantes. Bahij Hojeij a mis l'accent également sur le rôle des cinéastes dans le développement du goût du public en lui présentant des films de qualité pour l'habituer à fréquenter les salles de cinéma. "Nous avons sombré dans un océan de films à but lucratif sous prétexte que le public aime ça", a-t-il déploré. A propos du cinéma libanais, il a assuré qu'en dépit des moyens de production dérisoires, il a réussi à concrétiser d'importantes úuvres avec un langage cinématographique développé récoltant des consécrations. Le cinéaste libanais Bahij Hojeij qui participe avec son long métrage Chetti ya deni dans le cadre du Festival international du film arabe d'Oran, a estimé, lundi soir, que le cinéma algérien se distingue par la qualité et le professionnalisme, traitant de "thèmes sociaux profonds". "Le cinéma algérien a le courage de soulever des sujets politiques et sociaux", a déclaré à l'APS le réalisateur Hojeij, qui a qualifié ce cinéma de "professionnel". Ce professionnalisme est relevé "dans les œuvres cinématographiques, qui sont présentées aux festivals internationaux ou à la télévision", a-t-ildit. Le cinéaste, qui participe pour la première fois à ce festival, a affirmé que l'audace du cinéma algérien dans le traitement des sujets, lui confère du succès, non seulement en Algérie mais également dans les pays occidentaux. Il estime, d'autre part, que le Festival international du film arabe, abrité par la capitale de l'Ouest algérien, est "un véritable festival de cinéma car il s'intéresse au septième art et non pas aux apparences", en ajoutant "ce qui nous intéresse, nous les cinéastes, c'est le cinéma et la concentration sur ce qui sert le septième art dans le monde arabe". Pour ce qui est de la situation actuelle du film arabe, il a souligné que "le cinéma arabe nécessite d'abord un espace de liberté plus vaste", ainsi que le financement et des co-productions, en notant que le cinéma arabe a fait des progrès, notamment grâce aux efforts des réalisateurs qui, par leur courage, ont pu concrétiser des œuvres convaincantes. Bahij Hojeij a mis l'accent également sur le rôle des cinéastes dans le développement du goût du public en lui présentant des films de qualité pour l'habituer à fréquenter les salles de cinéma. "Nous avons sombré dans un océan de films à but lucratif sous prétexte que le public aime ça", a-t-il déploré. A propos du cinéma libanais, il a assuré qu'en dépit des moyens de production dérisoires, il a réussi à concrétiser d'importantes úuvres avec un langage cinématographique développé récoltant des consécrations.