Des équipes d'artificiers appelées sur place, ont désamorcé l'engin explosif qui ressemblait à ceux adressés jeudi dernier, aux représentations diplomatiques suisse et chilienne et qui ont explosé faisant deux blessés dont un grave. Des équipes d'artificiers appelées sur place, ont désamorcé l'engin explosif qui ressemblait à ceux adressés jeudi dernier, aux représentations diplomatiques suisse et chilienne et qui ont explosé faisant deux blessés dont un grave. Le colis suspect, découvert lundi devant l'ambassade de Grèce à Rome, contenait des explosifs et il a été désamorcé, a indiqué la police italienne. Des équipes d'artificiers appelées sur place, ont désamorcé l'engin explosif qui ressemblait à ceux adressés jeudi dernier, aux représentations diplomatiques suisse et chilienne et qui ont explosé faisant deux blessés dont un grave. Aux dernières nouvelles, l'employé suisse dont le colis avait explosé entre les mains a été amputé de deux doigts de la main gauche. Le paquet est similaire à ceux adressés aux ambassades de Suisse et du Chili, a déclaré aux journalistes le colonel Maurizio Mezzavilla, de la direction provinciale de la police, affirmant que l'engin "est arrivé par la poste". Le colonel Mezzavilla n'a pas exclu la découverte d'autres colis piégés, faisant savoir que "nous en saurons plus lorsque nous aurons terminé l'enquête". L'ambassadeur grec Michalis Cambanis a indiqué que le courrier piégé "est arrivé vendredi après-midi à l'ambassade, qui était déjà été fermée", ajoutant qu'un agent l'a trouvé ce lundi, mais les mesures de sécurité avaient déjà été augmentées". Par ailleurs, au milieu d'une tension persistance, d'autres alertes à la bombe ont été signalée au cours de la matinée de lundi, au niveau des ambassades du Danemark, du Venezuela, de la Principauté de Monaco et du Maroc. Toutefois, ces nouvelles s'étaient avérées de fausses alertes et seule la représentation marocaine a démenti avoir été destinataire d'un paquet suspect. Les médias ont parlé de retour à la psychose cinq jours après la double explosion de colis piégés aux ambassades de Suisse et du Chili. Ces deux attentats avaient été revendiqués par un groupe extrémiste dénommé Fédération anarchiste informelle, dont la revendication a été jugée "fiable" par les enquêteurs. Depuis lors, les autorités ont renforcé le contrôle dans les trois principaux centres de tri postaux sis, Piazza Bologna, Piazza San Silvestro et San Lorenzo, selon le journal Corriere della Sera, alors que l'ensemble des représentations diplomatiques en Italie sont mises en état d'alerte, depuis jeudi dernier. A Rome, les sièges des ambassades sont pour la plupart, gardées par l'armée. Suite à la tension qui s'y observe depuis quelques jours, les autorités ont demandé de signaler la présence devant les représentations diplomatiques de tout véhicule suspects. Par ailleurs, les médias rapportaient également que les restes des colis qui ont explosé sont actuellement examinés dans des laboratoires spécialisés, pour déterminer avec précision la nature et la composition des explosifs utilisés. Les experts italiens de contre-terrorisme qui enquêtent sur la piste anarchique, jugent "difficile" leur travail du fait que les groupes anarchistes insurrectionnels ne disposent pas d'une "organisation structurée", mais de "cellules individuelles", sans lien entre elles. Toutefois, les enquêteurs connaissent bien "ces milieux anarchistes radicaux", implantés "en particulier en Toscane, dans le Latium et le Piémont", a-t-on précisé de source policière. Le colis suspect, découvert lundi devant l'ambassade de Grèce à Rome, contenait des explosifs et il a été désamorcé, a indiqué la police italienne. Des équipes d'artificiers appelées sur place, ont désamorcé l'engin explosif qui ressemblait à ceux adressés jeudi dernier, aux représentations diplomatiques suisse et chilienne et qui ont explosé faisant deux blessés dont un grave. Aux dernières nouvelles, l'employé suisse dont le colis avait explosé entre les mains a été amputé de deux doigts de la main gauche. Le paquet est similaire à ceux adressés aux ambassades de Suisse et du Chili, a déclaré aux journalistes le colonel Maurizio Mezzavilla, de la direction provinciale de la police, affirmant que l'engin "est arrivé par la poste". Le colonel Mezzavilla n'a pas exclu la découverte d'autres colis piégés, faisant savoir que "nous en saurons plus lorsque nous aurons terminé l'enquête". L'ambassadeur grec Michalis Cambanis a indiqué que le courrier piégé "est arrivé vendredi après-midi à l'ambassade, qui était déjà été fermée", ajoutant qu'un agent l'a trouvé ce lundi, mais les mesures de sécurité avaient déjà été augmentées". Par ailleurs, au milieu d'une tension persistance, d'autres alertes à la bombe ont été signalée au cours de la matinée de lundi, au niveau des ambassades du Danemark, du Venezuela, de la Principauté de Monaco et du Maroc. Toutefois, ces nouvelles s'étaient avérées de fausses alertes et seule la représentation marocaine a démenti avoir été destinataire d'un paquet suspect. Les médias ont parlé de retour à la psychose cinq jours après la double explosion de colis piégés aux ambassades de Suisse et du Chili. Ces deux attentats avaient été revendiqués par un groupe extrémiste dénommé Fédération anarchiste informelle, dont la revendication a été jugée "fiable" par les enquêteurs. Depuis lors, les autorités ont renforcé le contrôle dans les trois principaux centres de tri postaux sis, Piazza Bologna, Piazza San Silvestro et San Lorenzo, selon le journal Corriere della Sera, alors que l'ensemble des représentations diplomatiques en Italie sont mises en état d'alerte, depuis jeudi dernier. A Rome, les sièges des ambassades sont pour la plupart, gardées par l'armée. Suite à la tension qui s'y observe depuis quelques jours, les autorités ont demandé de signaler la présence devant les représentations diplomatiques de tout véhicule suspects. Par ailleurs, les médias rapportaient également que les restes des colis qui ont explosé sont actuellement examinés dans des laboratoires spécialisés, pour déterminer avec précision la nature et la composition des explosifs utilisés. Les experts italiens de contre-terrorisme qui enquêtent sur la piste anarchique, jugent "difficile" leur travail du fait que les groupes anarchistes insurrectionnels ne disposent pas d'une "organisation structurée", mais de "cellules individuelles", sans lien entre elles. Toutefois, les enquêteurs connaissent bien "ces milieux anarchistes radicaux", implantés "en particulier en Toscane, dans le Latium et le Piémont", a-t-on précisé de source policière.