Les éléments de la Brigade criminelle de la division Est de la Police judiciaire de la sûreté de la wilaya d'Alger ont pu mettre un terme aux agissements d'un réseau spécialisé dans la falsification de documents administratifs, qui exerçait dans la circonscription administrative de Baraki, à l'est de la capitale. Les trois personnes impliquées dans cette affaire de « faux et usage de faux », recevaient des sommes qui variaient entre 2 mille et 20 mille dinars contre chaque document. Un « prix » fluctuant selon l'importance du document. Ainsi, agissant sur renseignements, deux personnes ont été interpellées en flagrant délit, recevant de l'argent contre de faux documents. Par ailleurs, le 3e mis en cause, qui serait la pièce maîtresse de ce puzzle, était un handicapé moteur qui travaillait au sein de la commune de Baraki. Estimé dans son lieu de travail est respecté de tous, il circulait en toute liberté, à cause de son handicap, dans les services et communes de la commune, cela sans être vérifié et pouvait ainsi transporter les documents. Il est à citer que ce groupe de malfaiteurs avait arnaqué 30 victimes. Il faut dire que ladite circonscription a connu, ces dernières années, plusieurs affaires de falsification de documents. De son coté, Youcef Boutaouine, commissaire principal, chef de la division Est de la Police judicaire de la Sûreté de la wilaya d'Alger, a, en marge d'un point de presse tenu, hier, au siège de la Sûreté de la wilaya d'Alger, déclaré que « nous mettrons un terme à ces agissements ». Au cours de cette opération, un lot important de documents falsifiés, une imprimante couleur et un scaner, ainsi que d'autres outils informatique ont été récupérés par les services de la Police judiciaire de la division. Pour sa part, Samir Khaoua, commissaire principale, chargé de communication à la sûreté de wilaya d'Alger, a indiqué que ce réseau « falsifiait des documents d'administration publique et privée ». A l'issue de cette affaire, les mis en cause ont été présentés devant le tribunal de la localité et placés sous mandat de dépôt. Les éléments de la Brigade criminelle de la division Est de la Police judiciaire de la sûreté de la wilaya d'Alger ont pu mettre un terme aux agissements d'un réseau spécialisé dans la falsification de documents administratifs, qui exerçait dans la circonscription administrative de Baraki, à l'est de la capitale. Les trois personnes impliquées dans cette affaire de « faux et usage de faux », recevaient des sommes qui variaient entre 2 mille et 20 mille dinars contre chaque document. Un « prix » fluctuant selon l'importance du document. Ainsi, agissant sur renseignements, deux personnes ont été interpellées en flagrant délit, recevant de l'argent contre de faux documents. Par ailleurs, le 3e mis en cause, qui serait la pièce maîtresse de ce puzzle, était un handicapé moteur qui travaillait au sein de la commune de Baraki. Estimé dans son lieu de travail est respecté de tous, il circulait en toute liberté, à cause de son handicap, dans les services et communes de la commune, cela sans être vérifié et pouvait ainsi transporter les documents. Il est à citer que ce groupe de malfaiteurs avait arnaqué 30 victimes. Il faut dire que ladite circonscription a connu, ces dernières années, plusieurs affaires de falsification de documents. De son coté, Youcef Boutaouine, commissaire principal, chef de la division Est de la Police judicaire de la Sûreté de la wilaya d'Alger, a, en marge d'un point de presse tenu, hier, au siège de la Sûreté de la wilaya d'Alger, déclaré que « nous mettrons un terme à ces agissements ». Au cours de cette opération, un lot important de documents falsifiés, une imprimante couleur et un scaner, ainsi que d'autres outils informatique ont été récupérés par les services de la Police judiciaire de la division. Pour sa part, Samir Khaoua, commissaire principale, chargé de communication à la sûreté de wilaya d'Alger, a indiqué que ce réseau « falsifiait des documents d'administration publique et privée ». A l'issue de cette affaire, les mis en cause ont été présentés devant le tribunal de la localité et placés sous mandat de dépôt.