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Les cybers constamment pris d'assaut
Tizi-Ouzou
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 12 - 2010

L'affluence sur les cybercafés dans la ville de Tizi-Ouzou est phénoménale. En dépit du fait que plusieurs domiciles ont l'Internet chez-eux, les cybers ne chôment pas, contrairement à ce qui se passe dans nos pays voisins.
L'affluence sur les cybercafés dans la ville de Tizi-Ouzou est phénoménale. En dépit du fait que plusieurs domiciles ont l'Internet chez-eux, les cybers ne chôment pas, contrairement à ce qui se passe dans nos pays voisins.
Aussi bien aux cybercafés situés au centre-ville qu' au niveau de ceux de la Nouvelle Ville, le client doit souvent patienter plusieurs minutes afin que son tour arrive. C'est le cas, entre autres, de l'un des cybercafés les plus importants de la ville, celui situé au niveau du Bâtiment Bleu. Ce dernier ne désemplit point. Dès 8h 30 min, tous les postes sont occupés et ce, jusqu'à l'heure de fermeture. La situation est identique au niveau des autres cybers, comme celui sis à la cité Eucalyptus, celui du Boulevard Moh Saïd Ouzeffoun et de tant d'autres. Le cyber de la Maison de la culture ne connaît pas de répit non plus, puisqu'en plus des correspondants de presse qui le fréquentent quotidiennement, les adhérents de la bibliothèque de cet établissement culturel préfèrent aussi cet endroit pour le tarif compétitif proposé. En effet, la connexion est affichée à uniquement 30 DA au niveau du cyber de la maison de la culture tandis qu'elle est à 70 DA dans la quasi-totalité des autres cybers du centre de la ville de Tizi Ouzou. Au niveau de la Nouvelle Ville, la connexion est généralement proposée à 60 DA l'heure. En général, ce sont les jeunes qui fréquentent le pus ces médiathèques. Souvent, des étudiants, des lycéens et des collégiens ont recours à Internet pour la réalisation de leurs exposés, voire même des mémoires de fin d'études. Les citoyens ont aussi recours aux cybers pour nouer de nouvelles relations grâce aux plusieurs opportunités que cette technologie leur offrent. Mais Internet, c'est aussi un moyen qui semble efficace pour garder contact avec les siens.
Des jeunes filles fiancées avec des jeunes installés en France, au Canada ou aux Etats-Unis passent des heures entières en face de l'écran à parler de tout et de rien. C'est donc aussi un moyen pour vivre des histoires d'amour virtuellement. L'avantage qu'offre Internet est évident puisqu'une heure de connexion est de très loin moins cher qu'une communication téléphonique aussi courte soit-elle.
Malgré la présence d'une affluence importante au niveau des cybers, ce qui permet aux gérants d'engranger des recettes conséquentes allant de 5.000 DA à 15.000 DA par jour, il n'en demeure pas moins que plusieurs problèmes sont déplorés par les responsables de ces activités commerciales. Ces derniers parlent ainsi du manque de civisme de la part d'une partie de la clientèle qui ne respecte pas le minimum en matière de règles d'hygiène. «Souvent, le soir, je trouve de grandes quantités de chique sur les claviers et parterre. Certains clients fument malgré l'avis d'interdiction affiché devant chaque poste. Les épluchures de cacahuètes sont répandues un peu partout. Aussi, les clients ou du moins une bonne partie de cette dernière ne prennent pas soin du matériel informatique qui se détériore très rapidement, ce qui nous oblige à effectuer des dépenses supplémentaires, soit dans les réparations ou carrément dans l'achat d'un nouveau matériel et ce, régulièrement, parfois sans même l'avoir rentabilisé», nous confie une gérante d'un cyber ouvert dans le cadre du dispositif ANSEJ.
Aussi bien aux cybercafés situés au centre-ville qu' au niveau de ceux de la Nouvelle Ville, le client doit souvent patienter plusieurs minutes afin que son tour arrive. C'est le cas, entre autres, de l'un des cybercafés les plus importants de la ville, celui situé au niveau du Bâtiment Bleu. Ce dernier ne désemplit point. Dès 8h 30 min, tous les postes sont occupés et ce, jusqu'à l'heure de fermeture. La situation est identique au niveau des autres cybers, comme celui sis à la cité Eucalyptus, celui du Boulevard Moh Saïd Ouzeffoun et de tant d'autres. Le cyber de la Maison de la culture ne connaît pas de répit non plus, puisqu'en plus des correspondants de presse qui le fréquentent quotidiennement, les adhérents de la bibliothèque de cet établissement culturel préfèrent aussi cet endroit pour le tarif compétitif proposé. En effet, la connexion est affichée à uniquement 30 DA au niveau du cyber de la maison de la culture tandis qu'elle est à 70 DA dans la quasi-totalité des autres cybers du centre de la ville de Tizi Ouzou. Au niveau de la Nouvelle Ville, la connexion est généralement proposée à 60 DA l'heure. En général, ce sont les jeunes qui fréquentent le pus ces médiathèques. Souvent, des étudiants, des lycéens et des collégiens ont recours à Internet pour la réalisation de leurs exposés, voire même des mémoires de fin d'études. Les citoyens ont aussi recours aux cybers pour nouer de nouvelles relations grâce aux plusieurs opportunités que cette technologie leur offrent. Mais Internet, c'est aussi un moyen qui semble efficace pour garder contact avec les siens.
Des jeunes filles fiancées avec des jeunes installés en France, au Canada ou aux Etats-Unis passent des heures entières en face de l'écran à parler de tout et de rien. C'est donc aussi un moyen pour vivre des histoires d'amour virtuellement. L'avantage qu'offre Internet est évident puisqu'une heure de connexion est de très loin moins cher qu'une communication téléphonique aussi courte soit-elle.
Malgré la présence d'une affluence importante au niveau des cybers, ce qui permet aux gérants d'engranger des recettes conséquentes allant de 5.000 DA à 15.000 DA par jour, il n'en demeure pas moins que plusieurs problèmes sont déplorés par les responsables de ces activités commerciales. Ces derniers parlent ainsi du manque de civisme de la part d'une partie de la clientèle qui ne respecte pas le minimum en matière de règles d'hygiène. «Souvent, le soir, je trouve de grandes quantités de chique sur les claviers et parterre. Certains clients fument malgré l'avis d'interdiction affiché devant chaque poste. Les épluchures de cacahuètes sont répandues un peu partout. Aussi, les clients ou du moins une bonne partie de cette dernière ne prennent pas soin du matériel informatique qui se détériore très rapidement, ce qui nous oblige à effectuer des dépenses supplémentaires, soit dans les réparations ou carrément dans l'achat d'un nouveau matériel et ce, régulièrement, parfois sans même l'avoir rentabilisé», nous confie une gérante d'un cyber ouvert dans le cadre du dispositif ANSEJ.


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