Les recouvrements de la fiscalité ordinaire en 2010 ont dépassé de 20% ceux réalisés en 2009 grâce aux "efforts" des services du ministère des Finances, a indiqué jeudi à Alger le directeur de la législation et de la réglementation fiscales, M. Mustapha Zikara. M. Zikara a souligné que cette fiscalité, qui représente la fiscalité ordinaire de l'Etat ainsi que les ressources fiscales recouvertes au profit des collectivités locales et des fonds spéciaux, a dépassé les 1.200 milliards DA en 2010. La loi de finances 2010 tablait sur une fiscalité ordinaire de 1.500 milliards DA, soit 52% de la totalité des recettes fiscales. «C'est la première fois qu'un budget prévoit une fiscalité ordinaire supérieure à la fiscalité pétrolière", a déclaré M. Zikara à la presse en marge d'un séminaire organisé par la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) sur les mesures fiscales de la loi de finances pour 2011. «Bien sûr, le chiffre réel de la fiscalité pétrolière est beaucoup plus important que celui de la fiscalité ordinaire puisque les prévisions budgétaires sont calculées sur la base de 37 dollars", alors que les prix réels avoisinent les 80 dollars, a-t-il toutefois rappelé. Mais cette évolution positive du recouvrement de la fiscalité ordinaire, moyen incontournable pour la diversification des ressources de l'économie nationale, "mérite tout de même d'être signalée, puisque le budget de 2009 était également basé sur un baril à 37 dollars alors que la fiscalité ordinaire recouverte a été nettement inférieure que cette année (2010)", selon M. Zikara. Les recouvrements de la fiscalité ordinaire en 2010 ont dépassé de 20% ceux réalisés en 2009 grâce aux "efforts" des services du ministère des Finances, a indiqué jeudi à Alger le directeur de la législation et de la réglementation fiscales, M. Mustapha Zikara. M. Zikara a souligné que cette fiscalité, qui représente la fiscalité ordinaire de l'Etat ainsi que les ressources fiscales recouvertes au profit des collectivités locales et des fonds spéciaux, a dépassé les 1.200 milliards DA en 2010. La loi de finances 2010 tablait sur une fiscalité ordinaire de 1.500 milliards DA, soit 52% de la totalité des recettes fiscales. «C'est la première fois qu'un budget prévoit une fiscalité ordinaire supérieure à la fiscalité pétrolière", a déclaré M. Zikara à la presse en marge d'un séminaire organisé par la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) sur les mesures fiscales de la loi de finances pour 2011. «Bien sûr, le chiffre réel de la fiscalité pétrolière est beaucoup plus important que celui de la fiscalité ordinaire puisque les prévisions budgétaires sont calculées sur la base de 37 dollars", alors que les prix réels avoisinent les 80 dollars, a-t-il toutefois rappelé. Mais cette évolution positive du recouvrement de la fiscalité ordinaire, moyen incontournable pour la diversification des ressources de l'économie nationale, "mérite tout de même d'être signalée, puisque le budget de 2009 était également basé sur un baril à 37 dollars alors que la fiscalité ordinaire recouverte a été nettement inférieure que cette année (2010)", selon M. Zikara.