2 victimes sont à déplorer dans les wilayas de M'sila et de Tipaza, et plus de 400 blessés parmi les citoyens et les services de sécurité. Le premier mort a été déploré à Aïn Lahdjel, dans la wilaya de M'sila. Il s'agit d'un jeune tué par balle, au moment où il tentait de faire intrusion dans un commissariat de police (…) le deuxième mort a été enregistré dans la ville de Bousmaïl, dans la wilaya de Tipasa. Il est mort à l'hôpital des suites de blessures. 2 victimes sont à déplorer dans les wilayas de M'sila et de Tipaza, et plus de 400 blessés parmi les citoyens et les services de sécurité. Le premier mort a été déploré à Aïn Lahdjel, dans la wilaya de M'sila. Il s'agit d'un jeune tué par balle, au moment où il tentait de faire intrusion dans un commissariat de police (…) le deuxième mort a été enregistré dans la ville de Bousmaïl, dans la wilaya de Tipasa. Il est mort à l'hôpital des suites de blessures. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a qualifié les actes de violence qui secouent plusieurs wilayas depuis quelques jours d'«agissements criminels». «Des interpellations ont été procédées et les tribunaux seront saisis à cet effet», a précisé Daho Ould Kablia qui s'exprimait hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, tout en soulignant que «ces actes ne sauraient être impunis». Donc, le gouvernement promet de sévir face aux auteurs de ces actes qui obéissent, selon le ministre de l'Intérieur, à des «instincts revanchards», car «les auteurs n'ont rien à voir avec les problèmes économiques», a-t-il ajouté. En attendant, les émeutes qui secouent plusieurs régions du pays commencent à apporter leur lot de victimes. En effet, 2 victimes sont à déplorer dans les wilayas de M'sila et de Tipaza, et plus de 400 blessés parmi les citoyens et les services de sécurité. Selon le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, «le premier mort a été déploré à Aïn Lahdjel, dans la wilaya de M'sila. Il s'agit d'un jeune qui a été tué par balle, au moment où il tentait de faire intrusion dans un commissariat de police (…) le deuxième mort a été enregistré dans la ville de Bousmaïl, dans la wilaya de Tipasa. Il est mort à l'hôpital des suites de blessures». Concernant la seconde victime, Daho Ould Kablia a indiqué que «les conditions de cette mort restent à élucider». Et d'ajouter que «les actes de violence ont également fait 320 blessés parmi les forces de sécurité, y compris la police et la Gendarmerie nationale, et moins d'une centaine parmi les jeunes». Autrement dit, les émeutes ont beaucoup plus fait de victimes dans les rangs des services de sécurité que parmi les manifestants. De son côté, le procureur de la République près le tribunal de Sidi Aïssa (M'sila) a ordonné hier l'ouverture d'une enquête préliminaire à la suite du décès vendredi soir d'un citoyen à Aïn Lahdjel, dans les actes de violence qui ont touché cette wilaya. «A la suite du décès d'un citoyen, enregistré à Ain Lahdjel, suite aux événements vécus dans la circonscription de compétence de la Cour de M'sila, le procureur de la République près le tribunal de Sidi Aïssa a ordonné l'ouverture d'une enquête préliminaire», indique un communiqué de la cour. Le procureur a également ordonné de «pratiquer une autopsie du corps du défunt afin de déterminer les causes du décès, et prendre les mesures légales à la lumière de l'examen nécropsique». Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a qualifié les actes de violence qui secouent plusieurs wilayas depuis quelques jours d'«agissements criminels». «Des interpellations ont été procédées et les tribunaux seront saisis à cet effet», a précisé Daho Ould Kablia qui s'exprimait hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, tout en soulignant que «ces actes ne sauraient être impunis». Donc, le gouvernement promet de sévir face aux auteurs de ces actes qui obéissent, selon le ministre de l'Intérieur, à des «instincts revanchards», car «les auteurs n'ont rien à voir avec les problèmes économiques», a-t-il ajouté. En attendant, les émeutes qui secouent plusieurs régions du pays commencent à apporter leur lot de victimes. En effet, 2 victimes sont à déplorer dans les wilayas de M'sila et de Tipaza, et plus de 400 blessés parmi les citoyens et les services de sécurité. Selon le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, «le premier mort a été déploré à Aïn Lahdjel, dans la wilaya de M'sila. Il s'agit d'un jeune qui a été tué par balle, au moment où il tentait de faire intrusion dans un commissariat de police (…) le deuxième mort a été enregistré dans la ville de Bousmaïl, dans la wilaya de Tipasa. Il est mort à l'hôpital des suites de blessures». Concernant la seconde victime, Daho Ould Kablia a indiqué que «les conditions de cette mort restent à élucider». Et d'ajouter que «les actes de violence ont également fait 320 blessés parmi les forces de sécurité, y compris la police et la Gendarmerie nationale, et moins d'une centaine parmi les jeunes». Autrement dit, les émeutes ont beaucoup plus fait de victimes dans les rangs des services de sécurité que parmi les manifestants. De son côté, le procureur de la République près le tribunal de Sidi Aïssa (M'sila) a ordonné hier l'ouverture d'une enquête préliminaire à la suite du décès vendredi soir d'un citoyen à Aïn Lahdjel, dans les actes de violence qui ont touché cette wilaya. «A la suite du décès d'un citoyen, enregistré à Ain Lahdjel, suite aux événements vécus dans la circonscription de compétence de la Cour de M'sila, le procureur de la République près le tribunal de Sidi Aïssa a ordonné l'ouverture d'une enquête préliminaire», indique un communiqué de la cour. Le procureur a également ordonné de «pratiquer une autopsie du corps du défunt afin de déterminer les causes du décès, et prendre les mesures légales à la lumière de l'examen nécropsique».