Les éléments de la Gendarmerie nationale du groupement d'Alger ont, au cours de cette semaine marquée par des émeutes ayant secoué plusieurs régions du pays, réussi à mettre un terme aux agissements d'un réseau spécialisé dans la commercialisation et l'acheminement de drogue dure. L'association de malfaiteurs, composée de 4 narcotrafiquants, dont 2 femmes, et dirigée par un Africain de nationalité nigériane, en situation irrégulière depuis 3 ans, écoulait sa «marchandise» par SMS auprès de «riches» consommateurs, vu le prix faramineux du moindre gramme de cette drogue dure. Il est à noter que le ressortissant africain a voulu profiter du débrayage qu'a connu le pays récemment pour passer inaperçu au milieu des manifestants et écouler rapidement ce dangereux stupéfiant. Heureusement que la vigilance des services de la GN était au rendez-vous. Ainsi, les gendarmes de la brigade de Palm Beach, dépendant de la compagnie de Zéralda ont, agissant sur renseignements, placé la villa, située dans la localité de Palm Beach, fréquentée par le principal mis en cause, sous étroite surveillance. Le dealer au moment de son interpellation était en possession d'une substance dérivée de l'héroïne ainsi qu'une somme d'argent en dinars et en monnaies étrangères. En vertu d'un mandat de perquisition, les éléments de la GN ont interpellé, dans la villa suspecte, deux jeunes femmes. L'une d'entre elles, âgée de 24 ans, est l'épouse d'un membre de ce réseau, qui est d'ailleurs en fuite. L'autre, âgée de 23 ans, est célibataire. Il est utile de souligner que ces deux femmes sont elles-mêmes consommatrices de crack. Au cours de cette opération, 8 grammes de crack et une quantité de cannabis ainsi qu'une somme d'argent ont été récupérés par la GN. De son côté, l'interpellé a, après des interrogations, et face à cette situation, reconnu qu'il «s'approvisionnait en crack dans son pays, le Nigeria, et qu'il l'écoulait, à travers des SMS reçus sur son téléphone portable, qui a également fait l'objet de saisie, à ses clients faisant partie de la haute société. Ces derniers, quant à eux, font l'objet de recherches par les éléments de la Gendarmerie nationale. Il est toutefois utile de préciser que le crack, qui est un stupéfiant dérivé de la cocaïne, provoque, dès les premières consommations, une forte dépendance pour ces consommateurs. Cette substance provoque des effets et des conséquences similaires à la cocaïne mais, faut-il le souligner, plus violents et plus rapides. Le crack provoque une montée d'adrénaline immédiate qui se caractérise par une forte stimulation mentale et une impression de rêve qui va en s'amenuisant à mesure que les effets de la drogue se dissipent, ce qui appelle une nouvelle prise. Il est dès lors difficile de ne pas renouveler la dose. Les éléments de la Gendarmerie nationale du groupement d'Alger ont, au cours de cette semaine marquée par des émeutes ayant secoué plusieurs régions du pays, réussi à mettre un terme aux agissements d'un réseau spécialisé dans la commercialisation et l'acheminement de drogue dure. L'association de malfaiteurs, composée de 4 narcotrafiquants, dont 2 femmes, et dirigée par un Africain de nationalité nigériane, en situation irrégulière depuis 3 ans, écoulait sa «marchandise» par SMS auprès de «riches» consommateurs, vu le prix faramineux du moindre gramme de cette drogue dure. Il est à noter que le ressortissant africain a voulu profiter du débrayage qu'a connu le pays récemment pour passer inaperçu au milieu des manifestants et écouler rapidement ce dangereux stupéfiant. Heureusement que la vigilance des services de la GN était au rendez-vous. Ainsi, les gendarmes de la brigade de Palm Beach, dépendant de la compagnie de Zéralda ont, agissant sur renseignements, placé la villa, située dans la localité de Palm Beach, fréquentée par le principal mis en cause, sous étroite surveillance. Le dealer au moment de son interpellation était en possession d'une substance dérivée de l'héroïne ainsi qu'une somme d'argent en dinars et en monnaies étrangères. En vertu d'un mandat de perquisition, les éléments de la GN ont interpellé, dans la villa suspecte, deux jeunes femmes. L'une d'entre elles, âgée de 24 ans, est l'épouse d'un membre de ce réseau, qui est d'ailleurs en fuite. L'autre, âgée de 23 ans, est célibataire. Il est utile de souligner que ces deux femmes sont elles-mêmes consommatrices de crack. Au cours de cette opération, 8 grammes de crack et une quantité de cannabis ainsi qu'une somme d'argent ont été récupérés par la GN. De son côté, l'interpellé a, après des interrogations, et face à cette situation, reconnu qu'il «s'approvisionnait en crack dans son pays, le Nigeria, et qu'il l'écoulait, à travers des SMS reçus sur son téléphone portable, qui a également fait l'objet de saisie, à ses clients faisant partie de la haute société. Ces derniers, quant à eux, font l'objet de recherches par les éléments de la Gendarmerie nationale. Il est toutefois utile de préciser que le crack, qui est un stupéfiant dérivé de la cocaïne, provoque, dès les premières consommations, une forte dépendance pour ces consommateurs. Cette substance provoque des effets et des conséquences similaires à la cocaïne mais, faut-il le souligner, plus violents et plus rapides. Le crack provoque une montée d'adrénaline immédiate qui se caractérise par une forte stimulation mentale et une impression de rêve qui va en s'amenuisant à mesure que les effets de la drogue se dissipent, ce qui appelle une nouvelle prise. Il est dès lors difficile de ne pas renouveler la dose.