Le montant des dégâts matériels subis par des biens relevant du secteur du commerce lors des manifestations de protestation contre la hausse des prix de produits de large consommation à Alger a été évalué à 941,5 millions DA, selon un bilan communiqué jeudi à l'APS par la direction du commerce d'Alger. Le bilan provisoire, qui couvre la période allant du 4 au 8 janvier, fait état de plus d'une cinquantaine d'établissements commerciaux endommagés ou volés lors de ces évènements. Les secteurs d'activité les plus touchés par les actes de vol et de destruction sont l'électroménager, suivi du commerce de détail, d'effets vestimentaires et de produits alimentaires, précise la même source. La plus lourde perte matérielle a été subie par une unité de montage de produits électroménagers, située dans la daira d'El Harrach, précise le rapport, qui évalue à 500 millions DA la valeur des objets qui y ont été volés ou saccagés. Elaboré sur la base des constats des agents du contrôle de la direction du commerce, le bilan relève plusieurs actes de destruction et de vol dont ont fait l'objet des agences agréées de constructeurs automobiles à Bab El-Oued, mais aussi une unité de fabrication de produits alimentaires à l'ouest d'Alger. D'importants biens publics ont été endommagés durant ces événements à l'image de l'incendie d'une unité de stockage de pneus relevant d'une entreprise publique de produits pétroliers, de même que le vol du matériel informatique d'une agence d'assurance. Quant aux zones où l'on a relevé le plus d'actes de sabotage et de pillage de biens publics ou privés et relevant du secteur du commerce, la même direction indique qu'il s'agit des commune de Baraki, Tessala El-Merdja (daïra de Birtouta) ainsi que celle de Bab El-Oued. Enfin, les services de la direction du commerce d'Alger travaillent encore sur l'évaluation des dégâts matériels subis par les opérateurs économiques dans les communes de l'est d'Alger, notamment à Bab Ezzouar, Bordj El-Kiffan et Dar E- Beida, où des dépôts de concessionnaires automobiles ainsi que le siège d'un opérateur de téléphonie mobile ont été la cible d'actes de pillage et de destruction. Le montant des dégâts matériels subis par des biens relevant du secteur du commerce lors des manifestations de protestation contre la hausse des prix de produits de large consommation à Alger a été évalué à 941,5 millions DA, selon un bilan communiqué jeudi à l'APS par la direction du commerce d'Alger. Le bilan provisoire, qui couvre la période allant du 4 au 8 janvier, fait état de plus d'une cinquantaine d'établissements commerciaux endommagés ou volés lors de ces évènements. Les secteurs d'activité les plus touchés par les actes de vol et de destruction sont l'électroménager, suivi du commerce de détail, d'effets vestimentaires et de produits alimentaires, précise la même source. La plus lourde perte matérielle a été subie par une unité de montage de produits électroménagers, située dans la daira d'El Harrach, précise le rapport, qui évalue à 500 millions DA la valeur des objets qui y ont été volés ou saccagés. Elaboré sur la base des constats des agents du contrôle de la direction du commerce, le bilan relève plusieurs actes de destruction et de vol dont ont fait l'objet des agences agréées de constructeurs automobiles à Bab El-Oued, mais aussi une unité de fabrication de produits alimentaires à l'ouest d'Alger. D'importants biens publics ont été endommagés durant ces événements à l'image de l'incendie d'une unité de stockage de pneus relevant d'une entreprise publique de produits pétroliers, de même que le vol du matériel informatique d'une agence d'assurance. Quant aux zones où l'on a relevé le plus d'actes de sabotage et de pillage de biens publics ou privés et relevant du secteur du commerce, la même direction indique qu'il s'agit des commune de Baraki, Tessala El-Merdja (daïra de Birtouta) ainsi que celle de Bab El-Oued. Enfin, les services de la direction du commerce d'Alger travaillent encore sur l'évaluation des dégâts matériels subis par les opérateurs économiques dans les communes de l'est d'Alger, notamment à Bab Ezzouar, Bordj El-Kiffan et Dar E- Beida, où des dépôts de concessionnaires automobiles ainsi que le siège d'un opérateur de téléphonie mobile ont été la cible d'actes de pillage et de destruction.