Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires africaines et maghrébines a rappelé, jeudi à Doha, en évoquant la question de la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, la mise en place par les pays de la région d'un cadre de coordination et d'action commune pour « contrer les tentatives de groupes terroristes de s'implanter durablement dans la région », soulignant que cette entreprise régionale « doit être encouragée et soutenue de façon effective ». Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires africaines et maghrébines a rappelé, jeudi à Doha, en évoquant la question de la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, la mise en place par les pays de la région d'un cadre de coordination et d'action commune pour « contrer les tentatives de groupes terroristes de s'implanter durablement dans la région », soulignant que cette entreprise régionale « doit être encouragée et soutenue de façon effective ». Intervenant jeudi à l'ouverture du 7e Forum sur l'avenir, qui se tient dans la capitale qatarie, M. Mesahel a affirmé que les pays de la région attendent de la communauté internationale une coopération « renforcée » en matière de formation, logistique, équipements spécifiques et renseignements, ainsi qu'une mobilisation « sans faille » pour criminaliser le paiement de rançons qui constitue « l'une des principales sources de financement du terrorisme ». « Il importe aussi que cette coopération de la communauté internationale s'accompagne d'une intensification de l'action en faveur du développement socio-économique des zones concernées », a-t-il plaidé, pour les prémunir contre l'extension de divers foyers de crime organisé avec lesquels, comme chacun le sait, les groupes terroristes établissent d'étroites jonctions, a-t-il noté. Par ailleurs, les efforts déployés par l'Algérie pour la consolidation de l'Etat de droit, fondé sur la promotion des droits de l'Homme, le pluralisme politique et la liberté d'expression, ont été largement mis en exergue par le ministre dans son intervention. « L'Algérie après avoir restauré ses institutions constitutionnelles et mené à bien une politique de réconciliation nationale, s'est attelée à la consolidation de l'Etat de droit fondé sur la promotion des droits de l'Homme, le pluralisme politique et la liberté d'expression ». Pour le ministre délégué, « ce sont là autant de créneaux investis qui permettent à la société d'assumer pleinement et librement son droit à l'expression et d'être un acteur dans l'approfondissement des réformes ». Il a, dans ce sens, ajouté que la société a accordé une priorité « élevée » à la mise en place du cadre et des instruments d'une démarche participative et inclusive sous-tendue par une vision de complémentarité entre l'Etat, le secteur public et privé économique ainsi que la société civile. Pour ce qui est de l'éducation, il a rappelé que l'Algérie, consciente du rôle stratégique de ce secteur pour le développement politique, économique et social, a, dès son indépendance, mis en œuvre une politique de généralisation de l'éducation obligatoire et gratuite. Au chapitre de l'emploi, Messahel a indiqué que l'intérêt porté à la jeunesse s'est traduit par la mise en place de toute une panoplie de dispositifs conçus afin de promouvoir diverses formes d'insertion sur le marché du travail et dans les circuits économiques. D'autre part, l'intervenant a, évoquant la crise économique, financière, alimentaire et climatique que traverse le monde, estimé cette rencontre « a le mérite de poser la problématique des relations entre l'Etat, le secteur économique et la société civile, au moment où la communauté internationale est à la recherche de nouvelles approches pour prendre en charge les défis présents et à venir ».« La crise a révélé les graves dysfonctionnements d'une mondialisation marquée par l'insuffisance, voire même l'absence, de régulation et de synergies entre ces trois sphères, avec pour conséquence une incapacité à prévenir ou maîtriser les dérives, avec de sérieuses conséquences sur les conditions socio-économiques dans le monde et en particulier dans les pays en développement », a ajouté le ministre délégué. Intervenant jeudi à l'ouverture du 7e Forum sur l'avenir, qui se tient dans la capitale qatarie, M. Mesahel a affirmé que les pays de la région attendent de la communauté internationale une coopération « renforcée » en matière de formation, logistique, équipements spécifiques et renseignements, ainsi qu'une mobilisation « sans faille » pour criminaliser le paiement de rançons qui constitue « l'une des principales sources de financement du terrorisme ». « Il importe aussi que cette coopération de la communauté internationale s'accompagne d'une intensification de l'action en faveur du développement socio-économique des zones concernées », a-t-il plaidé, pour les prémunir contre l'extension de divers foyers de crime organisé avec lesquels, comme chacun le sait, les groupes terroristes établissent d'étroites jonctions, a-t-il noté. Par ailleurs, les efforts déployés par l'Algérie pour la consolidation de l'Etat de droit, fondé sur la promotion des droits de l'Homme, le pluralisme politique et la liberté d'expression, ont été largement mis en exergue par le ministre dans son intervention. « L'Algérie après avoir restauré ses institutions constitutionnelles et mené à bien une politique de réconciliation nationale, s'est attelée à la consolidation de l'Etat de droit fondé sur la promotion des droits de l'Homme, le pluralisme politique et la liberté d'expression ». Pour le ministre délégué, « ce sont là autant de créneaux investis qui permettent à la société d'assumer pleinement et librement son droit à l'expression et d'être un acteur dans l'approfondissement des réformes ». Il a, dans ce sens, ajouté que la société a accordé une priorité « élevée » à la mise en place du cadre et des instruments d'une démarche participative et inclusive sous-tendue par une vision de complémentarité entre l'Etat, le secteur public et privé économique ainsi que la société civile. Pour ce qui est de l'éducation, il a rappelé que l'Algérie, consciente du rôle stratégique de ce secteur pour le développement politique, économique et social, a, dès son indépendance, mis en œuvre une politique de généralisation de l'éducation obligatoire et gratuite. Au chapitre de l'emploi, Messahel a indiqué que l'intérêt porté à la jeunesse s'est traduit par la mise en place de toute une panoplie de dispositifs conçus afin de promouvoir diverses formes d'insertion sur le marché du travail et dans les circuits économiques. D'autre part, l'intervenant a, évoquant la crise économique, financière, alimentaire et climatique que traverse le monde, estimé cette rencontre « a le mérite de poser la problématique des relations entre l'Etat, le secteur économique et la société civile, au moment où la communauté internationale est à la recherche de nouvelles approches pour prendre en charge les défis présents et à venir ».« La crise a révélé les graves dysfonctionnements d'une mondialisation marquée par l'insuffisance, voire même l'absence, de régulation et de synergies entre ces trois sphères, avec pour conséquence une incapacité à prévenir ou maîtriser les dérives, avec de sérieuses conséquences sur les conditions socio-économiques dans le monde et en particulier dans les pays en développement », a ajouté le ministre délégué.