Une délegation britannique, composée de 34 hommes d'affaires, est attendue à Alger la semaine prochaine. Représentant plusieurs secteurs d'activité économique, cette délégation effectuera une visite du 23 au 26 janvier. Selon le directeur de la Middle East Association (MEA), Charles Hollis, cité par l'APS, «il s'agit de la plus importante mission commerciale britannique, en terme de participation, jamais envoyée en Algérie». Parmi les firmes qui effectueront le déplacement d'Alger, certaines sont de renommée mondiale, à l'instar de Rolls Royce (générateurs d'énergie), Massey Fergusson (machines et outillage agricoles), ou Asta Zenica (produits pharmaceutiques). Pratiquement, tous les secteurs d'activités seront représentés par cette délégation, a ajouté M. Hollis citant, entre autres, l'énergie, l'agriculture, les travaux publics, l'ingénierie, les finances, l'industrie, l'éducation. Ce qui, a-t-il ajouté, «traduit la ferme volonté des hommes d'affaires de Grande-Bretagne d'investir en Algérie considérée comme un marché émergent». L'un des points positifs soulevé par M. Hollis est que «la moitié des compagnies qui nous accompagnent dans cette mission, se rendent en Algérie pour la première fois et ceci est extrêmement important». Et d'ajouter que «ce sont des professionnels qui savent reconnaître les endroits d'avenir pour travailler et l'Algérie fait partie de ceux-là», avant de qualifier l'Algérie de marché «nouveau et prometteur». La délégation britannique aura des entretiens avec des membres du gouvernement ainsi que des chefs d'entreprise nationale. L'objectif étant de mettre en contact directement les hommes d'affaires algériens et britanniques et favoriser ainsi les possibilités de conclure des partenariats entre les entreprises des deux pays, a expliqué le directeur de MEA. En 2010, rappelle-t-on, le MEA avait organisé la première mission commerciale en Algérie, regroupant une douzaine d'entreprises britannique. «Les résultats de cette mission ont été jugés globalement positifs» par cet organisme. Cette visite du MEA intervient après la visite récente de Susan Haird, directrice adjointe du UKTI, et celle du ministre britannique chargé du Moyen Orient et d'Afrique du Nord, Alistair Burt qui avait appelé à Alger, à un renforcement des relations commerciales entre son pays et l'Algérie. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne étaient de près de 2 milliards de dollars en 2009, dont 1,181 milliard de dollars d'exportations algériennes et 720 millions de dollars d'importations, selon les chiffres des Douanes algérienns. En 2009, la Grande-Bretagne a été classée 10e client de l'Algérie et son 14e fournisseur. Une délegation britannique, composée de 34 hommes d'affaires, est attendue à Alger la semaine prochaine. Représentant plusieurs secteurs d'activité économique, cette délégation effectuera une visite du 23 au 26 janvier. Selon le directeur de la Middle East Association (MEA), Charles Hollis, cité par l'APS, «il s'agit de la plus importante mission commerciale britannique, en terme de participation, jamais envoyée en Algérie». Parmi les firmes qui effectueront le déplacement d'Alger, certaines sont de renommée mondiale, à l'instar de Rolls Royce (générateurs d'énergie), Massey Fergusson (machines et outillage agricoles), ou Asta Zenica (produits pharmaceutiques). Pratiquement, tous les secteurs d'activités seront représentés par cette délégation, a ajouté M. Hollis citant, entre autres, l'énergie, l'agriculture, les travaux publics, l'ingénierie, les finances, l'industrie, l'éducation. Ce qui, a-t-il ajouté, «traduit la ferme volonté des hommes d'affaires de Grande-Bretagne d'investir en Algérie considérée comme un marché émergent». L'un des points positifs soulevé par M. Hollis est que «la moitié des compagnies qui nous accompagnent dans cette mission, se rendent en Algérie pour la première fois et ceci est extrêmement important». Et d'ajouter que «ce sont des professionnels qui savent reconnaître les endroits d'avenir pour travailler et l'Algérie fait partie de ceux-là», avant de qualifier l'Algérie de marché «nouveau et prometteur». La délégation britannique aura des entretiens avec des membres du gouvernement ainsi que des chefs d'entreprise nationale. L'objectif étant de mettre en contact directement les hommes d'affaires algériens et britanniques et favoriser ainsi les possibilités de conclure des partenariats entre les entreprises des deux pays, a expliqué le directeur de MEA. En 2010, rappelle-t-on, le MEA avait organisé la première mission commerciale en Algérie, regroupant une douzaine d'entreprises britannique. «Les résultats de cette mission ont été jugés globalement positifs» par cet organisme. Cette visite du MEA intervient après la visite récente de Susan Haird, directrice adjointe du UKTI, et celle du ministre britannique chargé du Moyen Orient et d'Afrique du Nord, Alistair Burt qui avait appelé à Alger, à un renforcement des relations commerciales entre son pays et l'Algérie. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne étaient de près de 2 milliards de dollars en 2009, dont 1,181 milliard de dollars d'exportations algériennes et 720 millions de dollars d'importations, selon les chiffres des Douanes algérienns. En 2009, la Grande-Bretagne a été classée 10e client de l'Algérie et son 14e fournisseur.