La situation critique prévalant au Proche-Orient et l'arrêt du processus de paix israélo-palestinien, bloqué par la colonisation israélienne, ont été au menu de la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU qui s'est tenue hier. La situation critique prévalant au Proche-Orient et l'arrêt du processus de paix israélo-palestinien, bloqué par la colonisation israélienne, ont été au menu de la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU qui s'est tenue hier. Au cours de cette réunion, les 15 pays membres du Conseil de sécurité des Nations unies devront se pencher notamment sur la dégradation de la situation sociale et humanitaire à laquelle fait face le peuple palestinien sous le joug de l'occupation israélienne. Mardi dernier, le représentant de la Ligue arabe aux Nations unies, M. Yahia Al-Mhamsani doit remettre au Conseil de sécurité un projet de résolution arabo-palestinien exigeant la condamnation et l'arrêt de la colonisation israélienne. A ce sujet, M. Al-Mhamsani a précisé avoir été informé par le secrétaire général de la Ligue arabe des décisions prises par les ministres arabes des Affaires étrangères en concertations à Charm Cheikh (Egypte). A Charm Cheikh, le chef de diplomatie palestinienne Ryadh El-Maliki a présenté à ses homologues arabes le projet de résolution anti-colonisation devant être soumis au vote au Conseil de sécurité prochainement. Mercredi, le groupe des pays arabes, dirigé actuellement par l'ambassadeur libanais Nouaf Salam. M. Nouaf Salam doit discuter de la date de la présentation au Conseil de sécurité du même projet de résolution, qui exige également l'application des différents engagements israéliens contenus dans les accords précédents conclus avec la partie palestinienne. M. Nouaf a jugé "utile" de tenir plus de rencontres pour fixer une date pour soumettre au vote ce projet de résolution anti-colonisation au Conseil de sécurité des Nations unies. "Nous sommes confiants que 14 des 15 voix des pays membres du Conseil (de sécurité) se prononceront pour l'adoption du texte", a assuré le représentant palestinien auprès de l'ONU, Ryadh Mansour. "Seuls les Etats-Unis (membre permanent au Conseil) restent réticent sur ce sujet", a-t-il dit. L'administration américaine s'est opposée officiellement à tout recours palestinien au Conseil de sécurité pour faire adopter une résolution contre la colonisation israélienne, avait indiqué le chef des négociateurs palestiniens Saëb Arekat. Outre les Etats-Unis, des pays européens ont demandé le report de la présentation devant l'ONU de ce projet anti-colonisation, selon M. Yasser Abd rabbo, responsable au sein de l'Organisation de libération de la Palestine. La présentation de ce projet de résolution a connu des retards en raison d'une demande européenne de reporter ultérieurement le débat sur cette question pour plus de concertations et éviter ainsi son veto au Conseil onusien, a souligné M. Abd rabbo. L'Autorité palestinienne a plusieurs fois affirmé sa détermination à faire entendre sa voix au Conseil de sécurité de l'ONU et continuer à travailler jusqu'à l'adoption du texte en question pour mettre fin à la colonisation israélienne, principal obstacle à la paix au Proche-Orient. Dans le cadre des efforts de la Russie visant à relancer le processus de paix israélo-palestinien mis à mal par l'intransigeance d'Israël dans sa politique de colonisation, le président russe Dmitri Medvedev a entamé mardi une tournée au Proche-Orient. Dans les territoires palestiniens, le dirigeant russe devra rencontrer les différents responsables palestiniens. La tournée du président Medvedev au Proche-Orient intervient au lendemain de l'annonce par Israël d'un nouveau projet de colonisation prévoyant la construction de 1.400 logements près de la Ville sainte palestinienne d'El-Qods, une nouvelle provocation israélienne vivement dénoncée par les Palestiniens et par plusieurs pays. Les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés, sont "illégales et constituent un obstacle à la paix", a dénoncé mardi le ministre britannique chargé du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord, M. Alistair Burt. Au cours de cette réunion, les 15 pays membres du Conseil de sécurité des Nations unies devront se pencher notamment sur la dégradation de la situation sociale et humanitaire à laquelle fait face le peuple palestinien sous le joug de l'occupation israélienne. Mardi dernier, le représentant de la Ligue arabe aux Nations unies, M. Yahia Al-Mhamsani doit remettre au Conseil de sécurité un projet de résolution arabo-palestinien exigeant la condamnation et l'arrêt de la colonisation israélienne. A ce sujet, M. Al-Mhamsani a précisé avoir été informé par le secrétaire général de la Ligue arabe des décisions prises par les ministres arabes des Affaires étrangères en concertations à Charm Cheikh (Egypte). A Charm Cheikh, le chef de diplomatie palestinienne Ryadh El-Maliki a présenté à ses homologues arabes le projet de résolution anti-colonisation devant être soumis au vote au Conseil de sécurité prochainement. Mercredi, le groupe des pays arabes, dirigé actuellement par l'ambassadeur libanais Nouaf Salam. M. Nouaf Salam doit discuter de la date de la présentation au Conseil de sécurité du même projet de résolution, qui exige également l'application des différents engagements israéliens contenus dans les accords précédents conclus avec la partie palestinienne. M. Nouaf a jugé "utile" de tenir plus de rencontres pour fixer une date pour soumettre au vote ce projet de résolution anti-colonisation au Conseil de sécurité des Nations unies. "Nous sommes confiants que 14 des 15 voix des pays membres du Conseil (de sécurité) se prononceront pour l'adoption du texte", a assuré le représentant palestinien auprès de l'ONU, Ryadh Mansour. "Seuls les Etats-Unis (membre permanent au Conseil) restent réticent sur ce sujet", a-t-il dit. L'administration américaine s'est opposée officiellement à tout recours palestinien au Conseil de sécurité pour faire adopter une résolution contre la colonisation israélienne, avait indiqué le chef des négociateurs palestiniens Saëb Arekat. Outre les Etats-Unis, des pays européens ont demandé le report de la présentation devant l'ONU de ce projet anti-colonisation, selon M. Yasser Abd rabbo, responsable au sein de l'Organisation de libération de la Palestine. La présentation de ce projet de résolution a connu des retards en raison d'une demande européenne de reporter ultérieurement le débat sur cette question pour plus de concertations et éviter ainsi son veto au Conseil onusien, a souligné M. Abd rabbo. L'Autorité palestinienne a plusieurs fois affirmé sa détermination à faire entendre sa voix au Conseil de sécurité de l'ONU et continuer à travailler jusqu'à l'adoption du texte en question pour mettre fin à la colonisation israélienne, principal obstacle à la paix au Proche-Orient. Dans le cadre des efforts de la Russie visant à relancer le processus de paix israélo-palestinien mis à mal par l'intransigeance d'Israël dans sa politique de colonisation, le président russe Dmitri Medvedev a entamé mardi une tournée au Proche-Orient. Dans les territoires palestiniens, le dirigeant russe devra rencontrer les différents responsables palestiniens. La tournée du président Medvedev au Proche-Orient intervient au lendemain de l'annonce par Israël d'un nouveau projet de colonisation prévoyant la construction de 1.400 logements près de la Ville sainte palestinienne d'El-Qods, une nouvelle provocation israélienne vivement dénoncée par les Palestiniens et par plusieurs pays. Les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés, sont "illégales et constituent un obstacle à la paix", a dénoncé mardi le ministre britannique chargé du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord, M. Alistair Burt.