Un plan d'urgence visant à "éradiquer tous les dépotoirs sauvages" qui ternissent l'image de la wilaya de Constantine sera mis en œuvre dans "les tout prochains jours", selon la Direction de l'environnement. Pilotée par cette Direction, cette opération devant être menée avec le concours des Directions de la Protection civile, des transports et les services de sécurité, consiste à éradiquer toutes les décharges sauvages de déchets inertes, d'abord au chef-lieu de wilaya, puis dans d'autres communes après identification des sites à traiter, a précisé le chef du service de la formation et de la sensibilisation environnementales, M. Abdelouahab Djenna. Les interventions seront effectuées "par étapes" pour toucher en premier lieu une douzaine de sites de déblais et de gravats recensés dans les neuf secteurs urbains de la commune de Constantine, à l'instar des bordures de routes à El Meridj au terrain Belhadef (Ain El Bey) Djebel Ouahch, au "7e kilomètre" (Ain Smara), à Chaâb Ersass et au quartier Chaabani à la cité Daksi, a indiqué le même responsable. M. Djenna a ajouté que 11 "talus" constituant une "agression caractérisée contre l'environnement urbain", servant de dépotoirs à ciel ouvert de ménagers, feront l'objet d'une vaste opération de nettoyage sur une durée d'un mois au regard du volume de déchets à évacuer. C'est ainsi, a-t-il précisé, qu'il sera fait "place nette" au niveau des talus de Bidi-Louiza, de la vieille ville, de Boudraa-Salah, d'Aouinet El Foul et d'El Menia. Ce plan d'urgence donnera également lieu à l'élimination de cinq autres points noirs recensés sur les berges de l'oued Rhumel, notamment près de la passerelle suspendue Mellah-Slimane, à proximité de l'avenue Tatache ainsi que du côté de la gare routière ouest. Les services de la police de l'urbanisme ont été sollicités, dans le même contexte, pour verbaliser toute nouvelle tentative de dépôt anarchique de gravats ou autres déchets provenant, notamment, de chantiers ou de réaménagements de logements et autres locaux commerciaux, a-t-on relevé. Les associations et les comités de quartiers ont été également impliqués, à l'issue d'une rencontre de sensibilisation, afin d'apporter leur aide afin de réussir cette opération pour laquelle d'importants moyens matériels et humains ont été mobilisés. Un plan d'urgence visant à "éradiquer tous les dépotoirs sauvages" qui ternissent l'image de la wilaya de Constantine sera mis en œuvre dans "les tout prochains jours", selon la Direction de l'environnement. Pilotée par cette Direction, cette opération devant être menée avec le concours des Directions de la Protection civile, des transports et les services de sécurité, consiste à éradiquer toutes les décharges sauvages de déchets inertes, d'abord au chef-lieu de wilaya, puis dans d'autres communes après identification des sites à traiter, a précisé le chef du service de la formation et de la sensibilisation environnementales, M. Abdelouahab Djenna. Les interventions seront effectuées "par étapes" pour toucher en premier lieu une douzaine de sites de déblais et de gravats recensés dans les neuf secteurs urbains de la commune de Constantine, à l'instar des bordures de routes à El Meridj au terrain Belhadef (Ain El Bey) Djebel Ouahch, au "7e kilomètre" (Ain Smara), à Chaâb Ersass et au quartier Chaabani à la cité Daksi, a indiqué le même responsable. M. Djenna a ajouté que 11 "talus" constituant une "agression caractérisée contre l'environnement urbain", servant de dépotoirs à ciel ouvert de ménagers, feront l'objet d'une vaste opération de nettoyage sur une durée d'un mois au regard du volume de déchets à évacuer. C'est ainsi, a-t-il précisé, qu'il sera fait "place nette" au niveau des talus de Bidi-Louiza, de la vieille ville, de Boudraa-Salah, d'Aouinet El Foul et d'El Menia. Ce plan d'urgence donnera également lieu à l'élimination de cinq autres points noirs recensés sur les berges de l'oued Rhumel, notamment près de la passerelle suspendue Mellah-Slimane, à proximité de l'avenue Tatache ainsi que du côté de la gare routière ouest. Les services de la police de l'urbanisme ont été sollicités, dans le même contexte, pour verbaliser toute nouvelle tentative de dépôt anarchique de gravats ou autres déchets provenant, notamment, de chantiers ou de réaménagements de logements et autres locaux commerciaux, a-t-on relevé. Les associations et les comités de quartiers ont été également impliqués, à l'issue d'une rencontre de sensibilisation, afin d'apporter leur aide afin de réussir cette opération pour laquelle d'importants moyens matériels et humains ont été mobilisés.