Les responsables de l'affréteur Leadarrow ont pu communiquer, jeudi, avec le commandant de l'armateur IBC du vraquier battant pavillon algérien le MV BLIDA, qui a fait l'objet début janvier d'un acte de piraterie dans l'océan indien alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. L'équipage est en «bonne santé», a affirmé à l'APS le directeur général de l'International Bulk Carriers (IBC) (Propriété d'International Bulk Carriers (IBC, filiale algéro-saoudienne du groupe public Cnan), Nacereddine Mansouri. Il a rassuré sur l'état de santé des membres de l'équipage du bateau, dont 17 sont algériens. Il a précisé que les «contacts avec les pirates ont repris depuis trois jours», indiquant que l'affréteur, sur proposition de ses avocats et assureurs, a mis en place un conseil (cellule de crise) qui doit jouer le rôle d'interlocuteur avec les pirates. "Ce conseil a pris contact avec d'autres armateurs, dont les bateaux ont fait l'objet d'actes de piraterie, pour bénéficier de leurs expériences dans la gestion de la crise et comprendre le mode de communication des pirates", a-t-il ajouté. Selon Mansouri, «À l'heure actuelle, il n'y a pas d'information sur les pirates ni sur leurs revendications». Il a ensuite signalé qu' IBC est en contact «permanent» avec Leadarrow et qu'il informe la cellule de suivi du ministère des Affaires étrangères de toutes les évolutions et développement de l'affaire. Pour rappel, le MV Blida, avait à son bord 27 membres d'équipage, dont 17 de nationalité algérienne, alors que le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne, les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1). Les pirates somaliens détiennent actuellement 28 navires et 654 personnes en otage, selon les données des forces européennes antipiraterie. Il est à rappeler que tous les membres de l'équipage du navire avaient pu prendre contact avec leurs familles respectives et les ont rassuré sur leur état de santé. Le dernier contact a eu lieu le 6 janvier dernier. Depuis ce jour les famille des victimes n'ont plus réussi à avoir des nouvelles de leurs proches jusqu'à ce jeudi. Shiraz Benomar Les responsables de l'affréteur Leadarrow ont pu communiquer, jeudi, avec le commandant de l'armateur IBC du vraquier battant pavillon algérien le MV BLIDA, qui a fait l'objet début janvier d'un acte de piraterie dans l'océan indien alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. L'équipage est en «bonne santé», a affirmé à l'APS le directeur général de l'International Bulk Carriers (IBC) (Propriété d'International Bulk Carriers (IBC, filiale algéro-saoudienne du groupe public Cnan), Nacereddine Mansouri. Il a rassuré sur l'état de santé des membres de l'équipage du bateau, dont 17 sont algériens. Il a précisé que les «contacts avec les pirates ont repris depuis trois jours», indiquant que l'affréteur, sur proposition de ses avocats et assureurs, a mis en place un conseil (cellule de crise) qui doit jouer le rôle d'interlocuteur avec les pirates. "Ce conseil a pris contact avec d'autres armateurs, dont les bateaux ont fait l'objet d'actes de piraterie, pour bénéficier de leurs expériences dans la gestion de la crise et comprendre le mode de communication des pirates", a-t-il ajouté. Selon Mansouri, «À l'heure actuelle, il n'y a pas d'information sur les pirates ni sur leurs revendications». Il a ensuite signalé qu' IBC est en contact «permanent» avec Leadarrow et qu'il informe la cellule de suivi du ministère des Affaires étrangères de toutes les évolutions et développement de l'affaire. Pour rappel, le MV Blida, avait à son bord 27 membres d'équipage, dont 17 de nationalité algérienne, alors que le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne, les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1). Les pirates somaliens détiennent actuellement 28 navires et 654 personnes en otage, selon les données des forces européennes antipiraterie. Il est à rappeler que tous les membres de l'équipage du navire avaient pu prendre contact avec leurs familles respectives et les ont rassuré sur leur état de santé. Le dernier contact a eu lieu le 6 janvier dernier. Depuis ce jour les famille des victimes n'ont plus réussi à avoir des nouvelles de leurs proches jusqu'à ce jeudi. Shiraz Benomar