Le groupe agroalimentaire privé algérien «La Belle» et son homologue français «Cristal union» se sont associés pour la réalisation d'une raffinerie de sucre d'une capacité initiale de 350.000 tonnes par an pour un investissement de 7 milliards de dinars. Localisé dans la commune de Ouled Moussa dans la wilaya de Boumerdès, ce projet, rapporte l'APS, sera d'une capacité de traitement de 1.000 tonnes par jour de sucre roux destinés à la fabrication de sucre (industriel et de bouche) aux normes internationales, en plus de sous-produits exportables comme la mélasse et les écumes, indique la même source. Sa capacité initiale de 350.000 tonnes/an "sera doublée à partir de la 4e année à travers la mise en place d'une deuxième unité", précise-t-on en ajoutant que le projet prévoit la création de quelque 250 postes de travail. Selon la même source, la mise en œuvre de ce projet de partenariat "s'inscrit dans le cadre des objectifs fixés par les pouvoirs publics en matière de développement et de mise à niveau de l'industrie sucrière pour la conformer aux standards internationaux et aux normes en vigueur dans le monde". Il s'agit, à cet effet, de "dégager, dans un premier temps, une capacité de substitution à l'importation et ensuite assurer une offre exportable et contribuer, de la sorte, à la sécurité alimentaire du pays et l'équilibre de la balance des paiements". Le groupe algérien espère également, à travers ce partenariat, "profiter des opportunités d'accès aux nouvelles technologies, sécuriser les approvisionnements en matières premières et améliorer la qualité des produits fabriqués au bénéfice de toutes les autres industries utilisatrices du sucre". Il aspire aussi contribuer à l'amélioration «des pratiques managériales et aussi développer la pénétration des producteurs algériens aux marchés internationaux». En outre, la concrétisation du projet permettra au groupe français "une entrée sur un marché prometteur avec l'appui d'un partenaire local disposant d'une bonne connaissance de la place et d'un solide réseau de distribution". Les deux partenaires envisagent d'autres projets dans la filière agroalimentaire, indique-t-on. Le groupe «La Belle», dont la contribution au projet est de 65%, est spécialisé, depuis une vingtaine d'années, dans le négoce international des denrées alimentaires de première nécessité, précise-t-on. De son côté, le français «Cristal union», qui participe à hauteur de 35% dans le projet, représente quelque 20% de la production française de betterave. Employant près de 1.500 travailleurs et 6.000 agriculteurs, «Cristal union» propose différents produits notamment le sucre industriel et le sucre de bouche qu'elle commercialise principalement en Europe. Les importations de sucre roux ont atteint 1 million de tonnes en 2010 pour un montant de 495 millions de dollars, selon les chiffres des Douanes. Le groupe agroalimentaire privé algérien «La Belle» et son homologue français «Cristal union» se sont associés pour la réalisation d'une raffinerie de sucre d'une capacité initiale de 350.000 tonnes par an pour un investissement de 7 milliards de dinars. Localisé dans la commune de Ouled Moussa dans la wilaya de Boumerdès, ce projet, rapporte l'APS, sera d'une capacité de traitement de 1.000 tonnes par jour de sucre roux destinés à la fabrication de sucre (industriel et de bouche) aux normes internationales, en plus de sous-produits exportables comme la mélasse et les écumes, indique la même source. Sa capacité initiale de 350.000 tonnes/an "sera doublée à partir de la 4e année à travers la mise en place d'une deuxième unité", précise-t-on en ajoutant que le projet prévoit la création de quelque 250 postes de travail. Selon la même source, la mise en œuvre de ce projet de partenariat "s'inscrit dans le cadre des objectifs fixés par les pouvoirs publics en matière de développement et de mise à niveau de l'industrie sucrière pour la conformer aux standards internationaux et aux normes en vigueur dans le monde". Il s'agit, à cet effet, de "dégager, dans un premier temps, une capacité de substitution à l'importation et ensuite assurer une offre exportable et contribuer, de la sorte, à la sécurité alimentaire du pays et l'équilibre de la balance des paiements". Le groupe algérien espère également, à travers ce partenariat, "profiter des opportunités d'accès aux nouvelles technologies, sécuriser les approvisionnements en matières premières et améliorer la qualité des produits fabriqués au bénéfice de toutes les autres industries utilisatrices du sucre". Il aspire aussi contribuer à l'amélioration «des pratiques managériales et aussi développer la pénétration des producteurs algériens aux marchés internationaux». En outre, la concrétisation du projet permettra au groupe français "une entrée sur un marché prometteur avec l'appui d'un partenaire local disposant d'une bonne connaissance de la place et d'un solide réseau de distribution". Les deux partenaires envisagent d'autres projets dans la filière agroalimentaire, indique-t-on. Le groupe «La Belle», dont la contribution au projet est de 65%, est spécialisé, depuis une vingtaine d'années, dans le négoce international des denrées alimentaires de première nécessité, précise-t-on. De son côté, le français «Cristal union», qui participe à hauteur de 35% dans le projet, représente quelque 20% de la production française de betterave. Employant près de 1.500 travailleurs et 6.000 agriculteurs, «Cristal union» propose différents produits notamment le sucre industriel et le sucre de bouche qu'elle commercialise principalement en Europe. Les importations de sucre roux ont atteint 1 million de tonnes en 2010 pour un montant de 495 millions de dollars, selon les chiffres des Douanes.