La formation au sein de l'Armée nationale populaire (ANP) s'inscrit dans la tradition de l'Armée de libération nationale (ALN) dans ce domaine et tend à se mettre au diapason des exigences de modernisation en intégrant les nouvelles technologies, ont souligné hier à Alger des spécialistes et des cadres de l'ANP. Intervenant lors d'une journée parlementaire sur "La formation militaire : de l'ALN à l'ANP", organisée par la commission de la défense à l'Assemblée populaire nationale, le lieutenant-colonel Fayçal Merdaci a relevé que "la formation au sein de l'ANP, héritière de l'ALN, est gérée à un rythme impliquant une adaptation permanente aux développements technologiques et qui détermine fondamentalement les politiques de recrutement, de formation et d'entraînement". Il a évoqué, dans ce cadre, les nouveaux défis que l'ANP doit, outre ses missions traditionnelles, relever, à savoir la lutte contre les crimes transnationaux, notamment la lutte antiterroriste, et l'émigration clandestine. Ces nouvelles missions ont impliqué pour l'Armée de nouvelles obligations au plan de la formation, notamment dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication, et du commandement. Le lieutenant-colonel Merdaci a ajouté que l'appareil de formation de l'ANP a connu une dynamique permanente depuis l'Indépendance. A cet effet, il a passé en revue les différentes étapes du processus de formation et de modernisation au sein de l'ANP depuis 1962. Il a ainsi abordé le conditions ayant présidé à la création de l'Académie interarmes de Cherchell, l'institution du service national en 1969 et la période allant de 1976 à 1983, qui a vu l'intégration de nouvelles connaissances à travers la formation dans les écoles militaires de l'ex-Union soviétique. Dans son exposé sur les différentes étapes du développement de la formation au sein de l'ANP, le lieutenant-colonel Merdaci a cité, également, la période allant de 1983 à 1991, ayant vu la création d'écoles supérieures, la période allant de 1992 à 2004, marquée par la décentralisation de la formation et, enfin, la période allant de 2005 à ce jour, caractérisée par l'intégration d'équipements modernes dans les structures de formation. Il a mentionné aussi la mise des écoles supérieures de l'ANP sous tutelle pédagogique du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, faisant qu'il est exigé, désormais, un niveau déterminé pour accepter les nouveaux bacheliers. La formation au sein de l'Armée nationale populaire (ANP) s'inscrit dans la tradition de l'Armée de libération nationale (ALN) dans ce domaine et tend à se mettre au diapason des exigences de modernisation en intégrant les nouvelles technologies, ont souligné hier à Alger des spécialistes et des cadres de l'ANP. Intervenant lors d'une journée parlementaire sur "La formation militaire : de l'ALN à l'ANP", organisée par la commission de la défense à l'Assemblée populaire nationale, le lieutenant-colonel Fayçal Merdaci a relevé que "la formation au sein de l'ANP, héritière de l'ALN, est gérée à un rythme impliquant une adaptation permanente aux développements technologiques et qui détermine fondamentalement les politiques de recrutement, de formation et d'entraînement". Il a évoqué, dans ce cadre, les nouveaux défis que l'ANP doit, outre ses missions traditionnelles, relever, à savoir la lutte contre les crimes transnationaux, notamment la lutte antiterroriste, et l'émigration clandestine. Ces nouvelles missions ont impliqué pour l'Armée de nouvelles obligations au plan de la formation, notamment dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication, et du commandement. Le lieutenant-colonel Merdaci a ajouté que l'appareil de formation de l'ANP a connu une dynamique permanente depuis l'Indépendance. A cet effet, il a passé en revue les différentes étapes du processus de formation et de modernisation au sein de l'ANP depuis 1962. Il a ainsi abordé le conditions ayant présidé à la création de l'Académie interarmes de Cherchell, l'institution du service national en 1969 et la période allant de 1976 à 1983, qui a vu l'intégration de nouvelles connaissances à travers la formation dans les écoles militaires de l'ex-Union soviétique. Dans son exposé sur les différentes étapes du développement de la formation au sein de l'ANP, le lieutenant-colonel Merdaci a cité, également, la période allant de 1983 à 1991, ayant vu la création d'écoles supérieures, la période allant de 1992 à 2004, marquée par la décentralisation de la formation et, enfin, la période allant de 2005 à ce jour, caractérisée par l'intégration d'équipements modernes dans les structures de formation. Il a mentionné aussi la mise des écoles supérieures de l'ANP sous tutelle pédagogique du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, faisant qu'il est exigé, désormais, un niveau déterminé pour accepter les nouveaux bacheliers.