Le président du parti AHD 54, M.Ali Fawzi Rebaine, a plaidé, samedi à Beni-Slimane à Médéa, pour la mise en place d'un Conseil national de l'audio-visuel en vue de garantir un libre accès des partis politiques aux médias lourds. S'exprimant lors d'un meeting populaire, organisé à la Maison de la culture de la ville de Beni-Slimane, M. Rebaine a estimé, indispensable de mettre en place un Conseil national de l'audiovisuel "capable de traduire dans les faits les promesses d'ouverture du champ médiatique à la classe politique", assurant que l'avènement de ce Conseil permettra d'asseoir les conditions d'une liberté d'expression et de parole, tant pour les partis politiques que pour les forces vives de la nation. Commentant le contenu du dernier conseil des ministres, notamment la question relative à la levée "prochaine" de l'état d'urgence, le président de AHD 54 dit avoir pris acte de cette décision, tout en affirmant que son parti attend "des actes concrets et ne peut se contenter, pour l'instant, de promesses alors qu'il y a nécessité d'ouvrir le champ politique et médiatique pour permettre aux partis de jouer pleinement leur rôle au sein de la société et de participer à la solution des problèmes auxquels fait face notre pays". Evoquant la situation économique du pays, M. Rebaine a estimé nécessaire la révision de la démarche adoptée jusqu'à présent en matière d'investissement, qui s'est soldée, selon lui, par "un échec, faute d'une stratégie claire, aussi bien dans sa forme globale que dans le choix des partenaires". Il a prôné, dans ce contexte, le recours à un autre type d'investissement "qui assure, d'une part, une plus grande marge de manœuvre à l'Etat et aux entreprises algériennes, et préserve, d'autre part, notre économie et nos finances d'éventuels risques ou dommages susceptibles de nuire aux intérêts de la nation et du peuple algérien", a-t-il indiqué. Le président du parti AHD 54, M.Ali Fawzi Rebaine, a plaidé, samedi à Beni-Slimane à Médéa, pour la mise en place d'un Conseil national de l'audio-visuel en vue de garantir un libre accès des partis politiques aux médias lourds. S'exprimant lors d'un meeting populaire, organisé à la Maison de la culture de la ville de Beni-Slimane, M. Rebaine a estimé, indispensable de mettre en place un Conseil national de l'audiovisuel "capable de traduire dans les faits les promesses d'ouverture du champ médiatique à la classe politique", assurant que l'avènement de ce Conseil permettra d'asseoir les conditions d'une liberté d'expression et de parole, tant pour les partis politiques que pour les forces vives de la nation. Commentant le contenu du dernier conseil des ministres, notamment la question relative à la levée "prochaine" de l'état d'urgence, le président de AHD 54 dit avoir pris acte de cette décision, tout en affirmant que son parti attend "des actes concrets et ne peut se contenter, pour l'instant, de promesses alors qu'il y a nécessité d'ouvrir le champ politique et médiatique pour permettre aux partis de jouer pleinement leur rôle au sein de la société et de participer à la solution des problèmes auxquels fait face notre pays". Evoquant la situation économique du pays, M. Rebaine a estimé nécessaire la révision de la démarche adoptée jusqu'à présent en matière d'investissement, qui s'est soldée, selon lui, par "un échec, faute d'une stratégie claire, aussi bien dans sa forme globale que dans le choix des partenaires". Il a prôné, dans ce contexte, le recours à un autre type d'investissement "qui assure, d'une part, une plus grande marge de manœuvre à l'Etat et aux entreprises algériennes, et préserve, d'autre part, notre économie et nos finances d'éventuels risques ou dommages susceptibles de nuire aux intérêts de la nation et du peuple algérien", a-t-il indiqué.