Des dizaines de jeunes chômeurs ont protesté, hier, leur colère devant le siège de la wilaya de Boumerdès et la direction des travaux publics. La plupart d'entre eux ont reçu, jeudi dernier, une lettre d'orientation CFI signée par le bureau de l'ANEM de Bordj Ménaïel. Par leur action, les protestataires ont dénoncé la bureaucratie et réclament d'êtres embauchés le plus vite possible. Les chômeurs dénoncent par ailleurs l'attitude des responsables qui, selon eux, les ont ballotés durant plusieurs jours sans que leur quête soit acceptée. « Les responsables ont tout fait pour nous tenir en haleine et d'éviter tout débordement, mais voilà leurs promesses sont tombées à l'eau et nous n'allons pas nous taire jusqu'à ce que nous obtiendrons de l'emploi », nous dira un protestataire. Ils ont tenté de pénétrer à l'intérieur du siège de la wilaya et fermer le portail principal. Ce qui a contraint la direction de l'action sociale (DAS) d'accepter de recevoir une délégation de jeunes chômeurs qui ont remis aux responsables des lettres d'orientations CFI qu'ils ont signées par la suite. Rappelons que depuis plusieurs jours, la ville de Bordj Ménaïel connaît des troubles causés par de jeunes chômeurs réclamant de l'emploi. Ils réclamaient le rétablissement du contrat de formation et d'insertion qui leur a permis d'être recrutés et percevoir un salaire de 12 mille DA durant plus d'une année. Mais depuis que le gouvernement a décidé de confier ce dispositif aux seules directions de l'hydraulique, des forêts et des travaux publics, les jeunes chômeurs trouvent d'énormes difficultés de décrocher un job. Toutefois, il est bon de dire que le bureau de l'ANEM est, quotidiennement, pris d'assaut par plusieurs jeunes chômeurs venus pratiquement de 14 communes, en quête d'un emploi. Avant-hier, vers 14h, plusieurs jeunes chômeurs ont investi la rue et fermé la RN 12 à la circulation pour protester contre leur mal-vivre et réclamer l'amélioration de cadre de vie. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 23h, des centaines d'habitants ont squatté des logements réalisés récemment au niveau de la localité de Vachet à Bordj Ménaïel. Ils ont été délogés, vers 3h de matin, par un impressionnant renfort des services de sécurité. Même situation à Béni Amrane, où plusieurs logements ont été squattés, jeudi dernier, mais les forces de sécurité l les ont délogés. Par ailleurs, des heurts se sont produits, vers 16:30h samedi dernier, entres des jeunes et forces antiémeutes dans le commune de Naciria, à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Ils sont sortis dans la rue pour protester contre le mal-vivre et réclament l'amélioration de leur cadre de vie. Mais, il s'agit, selon des responsables locaux, de manipulations. Dans un premier temps, les protestataires ont fermé la RN 12 à la circulation et les escarmouches se sont produites juste après l'intervention des forces de l'ordre qui tentaient de disperser les manifestants et libérer la route à la circulation. Rappelons que ladite commune avait été, la semaine écoulée, le théâtre de protestations de jeunes chômeurs qui réclamaient de l'emploi et le rétablissement du dispositif d'emploi dit Contrat de formation et d'insertion (CFI). Des dizaines de jeunes chômeurs ont protesté, hier, leur colère devant le siège de la wilaya de Boumerdès et la direction des travaux publics. La plupart d'entre eux ont reçu, jeudi dernier, une lettre d'orientation CFI signée par le bureau de l'ANEM de Bordj Ménaïel. Par leur action, les protestataires ont dénoncé la bureaucratie et réclament d'êtres embauchés le plus vite possible. Les chômeurs dénoncent par ailleurs l'attitude des responsables qui, selon eux, les ont ballotés durant plusieurs jours sans que leur quête soit acceptée. « Les responsables ont tout fait pour nous tenir en haleine et d'éviter tout débordement, mais voilà leurs promesses sont tombées à l'eau et nous n'allons pas nous taire jusqu'à ce que nous obtiendrons de l'emploi », nous dira un protestataire. Ils ont tenté de pénétrer à l'intérieur du siège de la wilaya et fermer le portail principal. Ce qui a contraint la direction de l'action sociale (DAS) d'accepter de recevoir une délégation de jeunes chômeurs qui ont remis aux responsables des lettres d'orientations CFI qu'ils ont signées par la suite. Rappelons que depuis plusieurs jours, la ville de Bordj Ménaïel connaît des troubles causés par de jeunes chômeurs réclamant de l'emploi. Ils réclamaient le rétablissement du contrat de formation et d'insertion qui leur a permis d'être recrutés et percevoir un salaire de 12 mille DA durant plus d'une année. Mais depuis que le gouvernement a décidé de confier ce dispositif aux seules directions de l'hydraulique, des forêts et des travaux publics, les jeunes chômeurs trouvent d'énormes difficultés de décrocher un job. Toutefois, il est bon de dire que le bureau de l'ANEM est, quotidiennement, pris d'assaut par plusieurs jeunes chômeurs venus pratiquement de 14 communes, en quête d'un emploi. Avant-hier, vers 14h, plusieurs jeunes chômeurs ont investi la rue et fermé la RN 12 à la circulation pour protester contre leur mal-vivre et réclamer l'amélioration de cadre de vie. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 23h, des centaines d'habitants ont squatté des logements réalisés récemment au niveau de la localité de Vachet à Bordj Ménaïel. Ils ont été délogés, vers 3h de matin, par un impressionnant renfort des services de sécurité. Même situation à Béni Amrane, où plusieurs logements ont été squattés, jeudi dernier, mais les forces de sécurité l les ont délogés. Par ailleurs, des heurts se sont produits, vers 16:30h samedi dernier, entres des jeunes et forces antiémeutes dans le commune de Naciria, à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Ils sont sortis dans la rue pour protester contre le mal-vivre et réclament l'amélioration de leur cadre de vie. Mais, il s'agit, selon des responsables locaux, de manipulations. Dans un premier temps, les protestataires ont fermé la RN 12 à la circulation et les escarmouches se sont produites juste après l'intervention des forces de l'ordre qui tentaient de disperser les manifestants et libérer la route à la circulation. Rappelons que ladite commune avait été, la semaine écoulée, le théâtre de protestations de jeunes chômeurs qui réclamaient de l'emploi et le rétablissement du dispositif d'emploi dit Contrat de formation et d'insertion (CFI).