La wilaya de Boumerdès a connu un week-end agité par plusieurs actions de protestations enclenchées par de jeunes chômeurs à travers plusieurs localités. En effet, plusieurs dizaines de jeunes chômeurs ont exprimé leur ras-le-bol à Zemmouri, à une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de wilaya, en fermant le siège de l'APC durant la matinée de jeudi dernier. Ils ont réclamé de l'emploi et le dégel des programmes d'appui à l'emploi et de la résorption du chômage à l'instar du CFI et contrat DAIP. Les jeunes protestataires, au nombre de quatre-vingt, réclament une prime de chômage. Cette localité à vocation touristique plonge depuis des années dans des problèmes insurmontables liés notamment à la dégradation de la situation sécuritaire durant la décennie noire ainsi qu'aux effets néfastes induits par le séisme de 2003. Cette catastrophe, faut-il le rappeler, avait détruit plusieurs édifices publics et entreprises pouvant recruter des dizaines de personnes. Selon la direction du tourisme de la wilaya, le lancement de la Zone d'extension touristique (ZET) permettra l'embauche de plusieurs jeunes de la localité. Dans la localité d'Afir, à 65 kilomètres à l'extrême est de la wilaya, des dizaines de chômeurs ont fermé, dans la matinée de jeudi, le siège de l'APC pour protester contre le chômage qui touche la frange juvénile et réclament l'attribution de 12 postes d'emploi prévus récemment par l'APC. Selon une source communale, plus de 35 dossiers ont été reçus depuis l'annonce de l'offre et les services de l'APC trouvent d'énormes contraintes pour satisfaire une aussi importante demande. A rappeler que ladite localité connaît, depuis plusieurs années, des retards dans le développement causés particulièrement par la dégradation de la situation sécuritaire durant les années 90. Plusieurs protestations avaient été observées dans le passé par des citoyens qui réclament l'amélioration de leur cadre de vie notamment par l'affectation de nouveaux programmes d'aide à l'habitat rural qui piétine depuis 2005. A Bordj Ménaïel, plusieurs jeunes se sont rués vers la maison de jeunes de la ville où des lettres d'orientations sont offertes aux chômeurs. Le bureau de l'ANEM a fermé ses portes suites aux protestations enclenchées la semaine dernière par les chômeurs qui réclamaient, entre autres, le rétablissement de CFI et l'attribution d'une prime de chômage. La wilaya de Boumerdès a connu un week-end agité par plusieurs actions de protestations enclenchées par de jeunes chômeurs à travers plusieurs localités. En effet, plusieurs dizaines de jeunes chômeurs ont exprimé leur ras-le-bol à Zemmouri, à une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de wilaya, en fermant le siège de l'APC durant la matinée de jeudi dernier. Ils ont réclamé de l'emploi et le dégel des programmes d'appui à l'emploi et de la résorption du chômage à l'instar du CFI et contrat DAIP. Les jeunes protestataires, au nombre de quatre-vingt, réclament une prime de chômage. Cette localité à vocation touristique plonge depuis des années dans des problèmes insurmontables liés notamment à la dégradation de la situation sécuritaire durant la décennie noire ainsi qu'aux effets néfastes induits par le séisme de 2003. Cette catastrophe, faut-il le rappeler, avait détruit plusieurs édifices publics et entreprises pouvant recruter des dizaines de personnes. Selon la direction du tourisme de la wilaya, le lancement de la Zone d'extension touristique (ZET) permettra l'embauche de plusieurs jeunes de la localité. Dans la localité d'Afir, à 65 kilomètres à l'extrême est de la wilaya, des dizaines de chômeurs ont fermé, dans la matinée de jeudi, le siège de l'APC pour protester contre le chômage qui touche la frange juvénile et réclament l'attribution de 12 postes d'emploi prévus récemment par l'APC. Selon une source communale, plus de 35 dossiers ont été reçus depuis l'annonce de l'offre et les services de l'APC trouvent d'énormes contraintes pour satisfaire une aussi importante demande. A rappeler que ladite localité connaît, depuis plusieurs années, des retards dans le développement causés particulièrement par la dégradation de la situation sécuritaire durant les années 90. Plusieurs protestations avaient été observées dans le passé par des citoyens qui réclament l'amélioration de leur cadre de vie notamment par l'affectation de nouveaux programmes d'aide à l'habitat rural qui piétine depuis 2005. A Bordj Ménaïel, plusieurs jeunes se sont rués vers la maison de jeunes de la ville où des lettres d'orientations sont offertes aux chômeurs. Le bureau de l'ANEM a fermé ses portes suites aux protestations enclenchées la semaine dernière par les chômeurs qui réclamaient, entre autres, le rétablissement de CFI et l'attribution d'une prime de chômage.