Le porte-parole du Rassemblement national démocratique (RND), M. Miloud Chorfi, a affirmé, samedi à Mila, que l'Algérie qui "a fait face, seule, au terrorisme, n'a pas à recevoir de leçons pour défendre sa sécurité, sa stabilité et les intérêts de ses citoyens". Intervenant à l'ouverture d'une conférence de wilaya, en présence de militants du RND, des représentants des autres formations de l'Alliance présidentielle, et d' étudiants, M. Chorfi a souligné que "seules les institutions du pays sont en mesure de disposer du pouvoir d'évaluer". Relevant que les protestations et les manifestations sont "chose courante chez nous depuis deux décennies", il a souligné que celles-ci "ont été assumées par le gouvernement et ses institutions pendant les périodes les plus dures vécues par le pays dans une interaction avec la réalité de terrain". M.Chorfi a indiqué que "le modèle de démocratie et de pluralisme en Algérie est un acquis depuis les évènements du 5 octobre 1988 et une source de fierté qui doit être préservée". "Si les revendications de ceux qui appellent au changement se résument à la levée de l'état d'urgence et à l'ouverture des médias lourds à tous les partis, le président de la République y a donné satisfaction à travers les mesures prises récemment en conseil des ministres", a rappelé M. Chorfi, invitant les militants à "méditer sur la portée de ces décisions et leur impact sur le pays". Le porte-parole du RND a appelé, par ailleurs, au respect des lois et de l'interdiction de manifester dans les rues d' Alger, estimant que l'Algérie "aspire à la paix et la quiétude pour être en mesure de concrétiser le programme du président de la République et les objectifs du plan quinquennal 2010-2014 qui prévoit un investissement de 286 milliards de dollars, équitablement réparti sur l'ensemble du territoire national". APS Le porte-parole du Rassemblement national démocratique (RND), M. Miloud Chorfi, a affirmé, samedi à Mila, que l'Algérie qui "a fait face, seule, au terrorisme, n'a pas à recevoir de leçons pour défendre sa sécurité, sa stabilité et les intérêts de ses citoyens". Intervenant à l'ouverture d'une conférence de wilaya, en présence de militants du RND, des représentants des autres formations de l'Alliance présidentielle, et d' étudiants, M. Chorfi a souligné que "seules les institutions du pays sont en mesure de disposer du pouvoir d'évaluer". Relevant que les protestations et les manifestations sont "chose courante chez nous depuis deux décennies", il a souligné que celles-ci "ont été assumées par le gouvernement et ses institutions pendant les périodes les plus dures vécues par le pays dans une interaction avec la réalité de terrain". M.Chorfi a indiqué que "le modèle de démocratie et de pluralisme en Algérie est un acquis depuis les évènements du 5 octobre 1988 et une source de fierté qui doit être préservée". "Si les revendications de ceux qui appellent au changement se résument à la levée de l'état d'urgence et à l'ouverture des médias lourds à tous les partis, le président de la République y a donné satisfaction à travers les mesures prises récemment en conseil des ministres", a rappelé M. Chorfi, invitant les militants à "méditer sur la portée de ces décisions et leur impact sur le pays". Le porte-parole du RND a appelé, par ailleurs, au respect des lois et de l'interdiction de manifester dans les rues d' Alger, estimant que l'Algérie "aspire à la paix et la quiétude pour être en mesure de concrétiser le programme du président de la République et les objectifs du plan quinquennal 2010-2014 qui prévoit un investissement de 286 milliards de dollars, équitablement réparti sur l'ensemble du territoire national". APS