«Fermement déterminé à protéger l'économie nationale, l'Etat a placé la lutte contre la corruption et les pratiques parasitaires et la fraude au cœur de son action» a, en effet, indiqué Abdelaziz Bouteflika dans un message adressé aux travailleurs, «Fermement déterminé à protéger l'économie nationale, l'Etat a placé la lutte contre la corruption et les pratiques parasitaires et la fraude au cœur de son action» a, en effet, indiqué Abdelaziz Bouteflika dans un message adressé aux travailleurs, La lutte contre la corruption constitue désormais la priorité des priorités de l‘Etat. Le président de la République l‘a, de nouveau, rappelé avec force. «Fermement déterminé à protéger l‘économie nationale, l‘Etat a placé la lutte contre la corruption et les pratiques parasitaires et la fraude au cœur de son action» a, en effet, indiqué Abdelaziz Bouteflika dans un message adressé aux travailleurs, lu en son nom par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République, lors d‘un rassemblement des travailleurs organisé, jeudi, à la Maison du peuple, siège de l‘UGTA. Ce message, adressé aux travailleurs à l‘occasion du double anniversaire de la création de l‘UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures, ne souffre ainsi d‘aucune équivoque quant à la détermination de l‘Etat à faire face à ce flot qui a, à vrai dire, pris des proportions jamais égalées comme l‘atteste si bien les innombrables affaires déjà traitées par la justice ou en voie de l‘être. Le chef de l‘Etat, qui a aussi rappelé que le cadre juridique et les mécanismes de prévention ont été mis en place à cet effet a affirmé que «l‘Etat continuera à consacrer les moyens nécessaires pour renforcer et soutenir les instances de contrôle». Le président de la République a alors cité les textes de loi déjà promulguées dont, entres autres, la révision de la lutte contre la corruption qui est à l‘origine de la création d‘un office de répression de la corruption ayant une compétence territoriale nationale et qui oblige les soumissionnaires aux marchés publics à produire une déclaration de probité engageant leur responsabilité devant les tribunaux. Présidé par Brahim Bouzeboudjene cet office, installé tout récemment, est déjà opérationnel. L‘Etat a aussi, comme l‘a réaffirmé le chef de l‘Etat, procédé à la révision de la loi sur la Cour des comptes, à celle du crédit et à la monnaie ainsi que celle relative aux transferts de devises à l‘étranger. A ces mesures législatives Abdelaziz Bouteflika a aussi fait cas de la mise en place, dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, d‘importantes ressources financières évaluées à près de 400 milliards DA et ce afin d‘améliorer les moyens de travail des administrations et services chargés du contrôle. C‘est dire combien l‘effort des pouvoirs publics est important afin de juguler ce fléau qui a porté un sévère coup à la crédibilité des institutions de l‘Etat et a terni l‘image de marque de l‘Algérie qui, est-il besoin de le rappeler, traîne aux dernières loges dans les différents classements élaborés périodiquement par les organismes internationaux de lutte contre la corruption, à l‘exemple de Transparency International. Dans son message le chef de l‘Etat est revenu sur les dernières mesures relatives à l‘emploi des jeunes prises par le Conseil des ministres lors de sa réunion de mardi denier. «La lutte contre le chômage, et notamment le chômage des jeunes, sera poursuivie avec détermination. Dans cette perspective, j‘ai fixé comme objectif pour ce quinquennat, la création de 3 millions d‘emplois, dont la moitié sera créée par la croissance économique, grâce au volume important d‘investissement qui sera injecté durant cette période, et l‘autre moitié par les dispositifs» dira Bouteflika ajoutant que «les mécanismes et les sources de financement de l‘entreprise ont été renforcés à travers la création du Fonds national d‘investissement capable de mobiliser plus de 1.500 milliards DA de crédits». Le chef de l‘Etat n‘ignore pas que la réussite de ces programmes dépend en grande partie de l‘adhésion de l‘ensemble des acteurs de la scène socio-économique d‘où, sans doute, son appel à la mobilisation de tous. K. H. La lutte contre la corruption constitue désormais la priorité des priorités de l‘Etat. Le président de la République l‘a, de nouveau, rappelé avec force. «Fermement déterminé à protéger l‘économie nationale, l‘Etat a placé la lutte contre la corruption et les pratiques parasitaires et la fraude au cœur de son action» a, en effet, indiqué Abdelaziz Bouteflika dans un message adressé aux travailleurs, lu en son nom par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République, lors d‘un rassemblement des travailleurs organisé, jeudi, à la Maison du peuple, siège de l‘UGTA. Ce message, adressé aux travailleurs à l‘occasion du double anniversaire de la création de l‘UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures, ne souffre ainsi d‘aucune équivoque quant à la détermination de l‘Etat à faire face à ce flot qui a, à vrai dire, pris des proportions jamais égalées comme l‘atteste si bien les innombrables affaires déjà traitées par la justice ou en voie de l‘être. Le chef de l‘Etat, qui a aussi rappelé que le cadre juridique et les mécanismes de prévention ont été mis en place à cet effet a affirmé que «l‘Etat continuera à consacrer les moyens nécessaires pour renforcer et soutenir les instances de contrôle». Le président de la République a alors cité les textes de loi déjà promulguées dont, entres autres, la révision de la lutte contre la corruption qui est à l‘origine de la création d‘un office de répression de la corruption ayant une compétence territoriale nationale et qui oblige les soumissionnaires aux marchés publics à produire une déclaration de probité engageant leur responsabilité devant les tribunaux. Présidé par Brahim Bouzeboudjene cet office, installé tout récemment, est déjà opérationnel. L‘Etat a aussi, comme l‘a réaffirmé le chef de l‘Etat, procédé à la révision de la loi sur la Cour des comptes, à celle du crédit et à la monnaie ainsi que celle relative aux transferts de devises à l‘étranger. A ces mesures législatives Abdelaziz Bouteflika a aussi fait cas de la mise en place, dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, d‘importantes ressources financières évaluées à près de 400 milliards DA et ce afin d‘améliorer les moyens de travail des administrations et services chargés du contrôle. C‘est dire combien l‘effort des pouvoirs publics est important afin de juguler ce fléau qui a porté un sévère coup à la crédibilité des institutions de l‘Etat et a terni l‘image de marque de l‘Algérie qui, est-il besoin de le rappeler, traîne aux dernières loges dans les différents classements élaborés périodiquement par les organismes internationaux de lutte contre la corruption, à l‘exemple de Transparency International. Dans son message le chef de l‘Etat est revenu sur les dernières mesures relatives à l‘emploi des jeunes prises par le Conseil des ministres lors de sa réunion de mardi denier. «La lutte contre le chômage, et notamment le chômage des jeunes, sera poursuivie avec détermination. Dans cette perspective, j‘ai fixé comme objectif pour ce quinquennat, la création de 3 millions d‘emplois, dont la moitié sera créée par la croissance économique, grâce au volume important d‘investissement qui sera injecté durant cette période, et l‘autre moitié par les dispositifs» dira Bouteflika ajoutant que «les mécanismes et les sources de financement de l‘entreprise ont été renforcés à travers la création du Fonds national d‘investissement capable de mobiliser plus de 1.500 milliards DA de crédits». Le chef de l‘Etat n‘ignore pas que la réussite de ces programmes dépend en grande partie de l‘adhésion de l‘ensemble des acteurs de la scène socio-économique d‘où, sans doute, son appel à la mobilisation de tous. K. H.