La décision a été prise, lundi dernier, lors de la réunion statutaire du bureau fédéral de la Fédération algérienne de football sous la présidence de Mohamed Raouraoua, toutes les plaintes sans exception déposées jusque-là contre le président de la JS Kabylie, Mohand-Chérif Hannachi ont été retirées par l'instance nationale. La décision a été prise, lundi dernier, lors de la réunion statutaire du bureau fédéral de la Fédération algérienne de football sous la présidence de Mohamed Raouraoua, toutes les plaintes sans exception déposées jusque-là contre le président de la JS Kabylie, Mohand-Chérif Hannachi ont été retirées par l'instance nationale. «A la suite de l'élection de Mohamed Raouraoua au sein du bureau exécutif de la Fifa, et dans le but d'assurer la sérénité à la famille du football algérien, les membres du bureau fédéral ont décidé unanimement de retirer toutes les plaintes déposées à l'encontre du président de la JS Kabylie, Mohand-Chérif Hannachi » lit-on dans le communiqué de la FAF publié hier sur son site officiel. Cette décision intervient après les dernières déclarations du boss kabyle faites lors de l'ultime journée du championnat nationa de Ligue 1, disputée au stade de Rouiba, face au MC Alger, et qui ne semble pas vouloir faire l'impasse sur l'affaire l'opposant au premier responsable de la balle ronde algérienne. Dans une brève déclaration à la presse juste avant le match face au Doyen, Hannachi est revenu encore une fois sur cette affaire en déclarant «il n'est pas question de lui pardonner tout ce qu'il a fait depuis le dernier match des poules de la Ligue des champions africaine face au Heartland du Nigeria». La genèse de cette histoire remonte aux déclarations de Hannachi lors du match face à Al Ahly du Caire. En tout, quatre plaintes ont été déposées depuis le début de cette triste histoire entre les deux responsables, trois ont été déposées dans un premier temps à Alger, par la suite, une autre a été déposée auprès du tribunal de Tizi-Ouzou pour diffamation. Si le premier communiqué envoyé par la Fédération était à l'origine de ce problème, la JSK réclame toujours une somme d'argent que cette instance nationale a déduite des ses droits viré par la Confédération africaine du football (CAF) pour sa participation aux demi-finales de la Ligue des champions africaine. Si Raouraoua a décidé de retirer toutes ses plaintes, en s'abstenant de toute allusion à cette somme qui est à la source du problème, pour mettre fin à toute cette polémique qui peut nuire au football algérien sous ses nouvelle couleurs du professionnalisme, la JSK pourrait de son côté envisager la même chose, mais avec sans aucun doute des conditions liées essentiellement à cette affaire d'argent. Il est utile de signaler que la JSK avait bénéficié de la part de la CAF d'un montant de 665.000 dollars américains, mais une moitié seulement a été virée à la FAF somme de laquelle ont été retenues toutes les dépenses avancées par cette instance nationale pour le compte de cette formation kabyle et qui s'élèvent à la somme de 248.319,67 dollars américains. Maintenant, si la FAF a jugé utile de prendre directement cette somme, la JS Kabylie réclamera-t-elle la manière par laquelle cet argent a été pris ? Affaire à suivre… Par ailleurs, le bureau fédéral a proposé lors de cette réunion aux membres de l'assemblée générale, lors de la prochaine session d'amnistier les joueurs et officiels sanctionnés. M. S. «A la suite de l'élection de Mohamed Raouraoua au sein du bureau exécutif de la Fifa, et dans le but d'assurer la sérénité à la famille du football algérien, les membres du bureau fédéral ont décidé unanimement de retirer toutes les plaintes déposées à l'encontre du président de la JS Kabylie, Mohand-Chérif Hannachi » lit-on dans le communiqué de la FAF publié hier sur son site officiel. Cette décision intervient après les dernières déclarations du boss kabyle faites lors de l'ultime journée du championnat nationa de Ligue 1, disputée au stade de Rouiba, face au MC Alger, et qui ne semble pas vouloir faire l'impasse sur l'affaire l'opposant au premier responsable de la balle ronde algérienne. Dans une brève déclaration à la presse juste avant le match face au Doyen, Hannachi est revenu encore une fois sur cette affaire en déclarant «il n'est pas question de lui pardonner tout ce qu'il a fait depuis le dernier match des poules de la Ligue des champions africaine face au Heartland du Nigeria». La genèse de cette histoire remonte aux déclarations de Hannachi lors du match face à Al Ahly du Caire. En tout, quatre plaintes ont été déposées depuis le début de cette triste histoire entre les deux responsables, trois ont été déposées dans un premier temps à Alger, par la suite, une autre a été déposée auprès du tribunal de Tizi-Ouzou pour diffamation. Si le premier communiqué envoyé par la Fédération était à l'origine de ce problème, la JSK réclame toujours une somme d'argent que cette instance nationale a déduite des ses droits viré par la Confédération africaine du football (CAF) pour sa participation aux demi-finales de la Ligue des champions africaine. Si Raouraoua a décidé de retirer toutes ses plaintes, en s'abstenant de toute allusion à cette somme qui est à la source du problème, pour mettre fin à toute cette polémique qui peut nuire au football algérien sous ses nouvelle couleurs du professionnalisme, la JSK pourrait de son côté envisager la même chose, mais avec sans aucun doute des conditions liées essentiellement à cette affaire d'argent. Il est utile de signaler que la JSK avait bénéficié de la part de la CAF d'un montant de 665.000 dollars américains, mais une moitié seulement a été virée à la FAF somme de laquelle ont été retenues toutes les dépenses avancées par cette instance nationale pour le compte de cette formation kabyle et qui s'élèvent à la somme de 248.319,67 dollars américains. Maintenant, si la FAF a jugé utile de prendre directement cette somme, la JS Kabylie réclamera-t-elle la manière par laquelle cet argent a été pris ? Affaire à suivre… Par ailleurs, le bureau fédéral a proposé lors de cette réunion aux membres de l'assemblée générale, lors de la prochaine session d'amnistier les joueurs et officiels sanctionnés. M. S.