Dans notre société, il peut paraître étonnant de rencontrer une personne qui croit à un objet fétiche ou porte-bonheur. Dans notre société, il peut paraître étonnant de rencontrer une personne qui croit à un objet fétiche ou porte-bonheur. Mais il faut dire que de nos jours plusieurs personnes tiennnent particulièrement à leurs objets fétiches et à leurs porte-bonheur, par exemple une bague, un collier, une photo, et d'autres même un ballon de football, ou un trèfle à quatre feuilles. Il suffirait de prononcer un vœu au passage d'une étoile filante pour le voir se réaliser. L'on pourrait remplir des pages de tels exemples de superstition, ce qui montre à quel point l'être humain est porté sur un objet qui, pense-t-il, le protége. Si quelqu'un possède un objet fétiche, il suffit qu'il croit très fort à ses vertus. Sa nature peut être très variée, il peut s'agir aussi bien d'un iPod que d'une pièce de monnaie ou d'un pendentif, un fer à cheval, une patte de lapin, un trèfle à 4 feuilles et autres. L'essentiel est qu'on lui accorde une grande valeur sentimentale et qu'on s'en sépare jamais. Un jeune garçon qu'on a interpellé dans la rue nous parle de son porte-bonheur : « Moi mon objet fétiche est une bague en argent représentant un petit ange. Je l'ai toujours sur moi dans n'importe quelle situation, n'importe quand, et surtout n'importe où. Si un jour je devais la perdre, la casser ou qu'on me la vole, je ne sais pas ce qu'il adviendrait de ma vie. Je tiens beaucoup à cette bague que mon père m'a offerte avant sa mort. Je serais prêt à faire n'importe quoi pour la garder. Elle me porte vraiment chance et j'y tiens plus qu'à ma propre vie ». Donc plusieurs personnes croient à cette idée de porte-bonheur ou objet fétiche. Il y a aussi les porte-malheur comme par exemple celui qui brise un miroir, rêve qu'il perd une dent, ou passe sous une échelle. Même le chiffre treize est redouté mais, paradoxalement, le vendredi treize devrait porter chance aux amateurs de loterie. S.B. Mais il faut dire que de nos jours plusieurs personnes tiennnent particulièrement à leurs objets fétiches et à leurs porte-bonheur, par exemple une bague, un collier, une photo, et d'autres même un ballon de football, ou un trèfle à quatre feuilles. Il suffirait de prononcer un vœu au passage d'une étoile filante pour le voir se réaliser. L'on pourrait remplir des pages de tels exemples de superstition, ce qui montre à quel point l'être humain est porté sur un objet qui, pense-t-il, le protége. Si quelqu'un possède un objet fétiche, il suffit qu'il croit très fort à ses vertus. Sa nature peut être très variée, il peut s'agir aussi bien d'un iPod que d'une pièce de monnaie ou d'un pendentif, un fer à cheval, une patte de lapin, un trèfle à 4 feuilles et autres. L'essentiel est qu'on lui accorde une grande valeur sentimentale et qu'on s'en sépare jamais. Un jeune garçon qu'on a interpellé dans la rue nous parle de son porte-bonheur : « Moi mon objet fétiche est une bague en argent représentant un petit ange. Je l'ai toujours sur moi dans n'importe quelle situation, n'importe quand, et surtout n'importe où. Si un jour je devais la perdre, la casser ou qu'on me la vole, je ne sais pas ce qu'il adviendrait de ma vie. Je tiens beaucoup à cette bague que mon père m'a offerte avant sa mort. Je serais prêt à faire n'importe quoi pour la garder. Elle me porte vraiment chance et j'y tiens plus qu'à ma propre vie ». Donc plusieurs personnes croient à cette idée de porte-bonheur ou objet fétiche. Il y a aussi les porte-malheur comme par exemple celui qui brise un miroir, rêve qu'il perd une dent, ou passe sous une échelle. Même le chiffre treize est redouté mais, paradoxalement, le vendredi treize devrait porter chance aux amateurs de loterie. S.B.