Les médecins résidents tiennent toujours à leurs revendications tandis que la tutelle garde le silence. Ils déposeront aujourd'hui, selon un membre du collectif des médecins résidents, un préavis de grève pour mardi et mercredi prochains. Cette décision est venue après la décision du collectif d'organiser leur deuxième et dernier sit-in avant de passer au mouvement de grève. Il faut rappeler que les médecins ont tenu deux sit-in, lundi et vendredi derniers, pour revendiquer l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles et pédagogiques. «Nous avons des revendications socioprofessionnelles et pédagogiques. Nous demandons qu'on nous écoute, et qu'on puisse travailler dans des conditions adéquates qui permettent une meilleur prise en charge du citoyen en matière de soins», a déclaré le docteur Amine Benhabib. Aussi, les revendications des médecins résidents portent notamment sur l'abrogation du Service civil, la révision de l'actuel statut, un relèvement des salaires et la validation des formations spécialisées nationales et internationales effectuées par les résidents au cours de leurs cursus. Il faut noter que le ministère de la Santé n'a eu, jusqu'ici, aucune réaction et les médecins attendent toujours «une discussion directe» avec le département de Ould Abbès affin de trouver «des solutions définitives à leurs problèmes». Les médecins résidents tiennent toujours à leurs revendications tandis que la tutelle garde le silence. Ils déposeront aujourd'hui, selon un membre du collectif des médecins résidents, un préavis de grève pour mardi et mercredi prochains. Cette décision est venue après la décision du collectif d'organiser leur deuxième et dernier sit-in avant de passer au mouvement de grève. Il faut rappeler que les médecins ont tenu deux sit-in, lundi et vendredi derniers, pour revendiquer l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles et pédagogiques. «Nous avons des revendications socioprofessionnelles et pédagogiques. Nous demandons qu'on nous écoute, et qu'on puisse travailler dans des conditions adéquates qui permettent une meilleur prise en charge du citoyen en matière de soins», a déclaré le docteur Amine Benhabib. Aussi, les revendications des médecins résidents portent notamment sur l'abrogation du Service civil, la révision de l'actuel statut, un relèvement des salaires et la validation des formations spécialisées nationales et internationales effectuées par les résidents au cours de leurs cursus. Il faut noter que le ministère de la Santé n'a eu, jusqu'ici, aucune réaction et les médecins attendent toujours «une discussion directe» avec le département de Ould Abbès affin de trouver «des solutions définitives à leurs problèmes».