L'entreprise privée algérienne de travaux publics ETRHB Haddad et le groupe espagnol FCC viennent de décrocher un important contrat d'une valeur de 1,23 milliard d'euros pour la réalisation d'une ligne de chemins de fer devant assurer la liaison entre la ville de Tlemcen et le poste frontalier algéro-marocain Akid-Abbas. L'entreprise privée algérienne de travaux publics ETRHB Haddad et le groupe espagnol FCC viennent de décrocher un important contrat d'une valeur de 1,23 milliard d'euros pour la réalisation d'une ligne de chemins de fer devant assurer la liaison entre la ville de Tlemcen et le poste frontalier algéro-marocain Akid-Abbas. Selon le site d'actualité économique «Econsotrum» Info, le consortium international regroupant des entreprises et firmes ibériques piloté par Fomento de Construccionnes y Contratas (FCC) spécialisé dans les travaux publics, la construction et le bâtiment et dans les services, a remporté, récemment, un contrat portant sur la réalisation de la nouvelle ligne ferroviaire devant relier Tlemcen au poste frontalier de l'Ouest Akid-Abbas. D'une valeur de 1,23 milliard d'euros, ce contrat confié par l'Agence nationale d'études et de suivi de la réalisation des infrastructures ferroviaires (Anesrif), comporte notamment la réalisation d'une ligne de chemin de fer longue de 66 km, l'implantation de 34 viaducs et la construction de 9 tunnels. Les dispositions contractuelles de la convention de coopération et de partenariat signées entre les deux entreprises stipulent que les travaux de réalisation sont d'une durée de 4 années. Mais, le plus à apporter par cette infrastructure réside dans le fait que cet investissement vise notamment à accompagner d'autres projets transverses, tels que la réalisation d'autres projets de développement durable susceptibles de générer de nombreux emplois pour les jeunes de la région. En effet, le FCC est associé à raison de 51% à ce consortium avec le partenaire ETRHB Haddad. Il s'agit, en fait, d'un second gros contrat remporté par le groupe FCC en Algérie après celui décroché en mai 2010 pour un montant de plus de 270 millions d'euros pour la construction de la ligne ferroviaire à sens unique reliant trois villes, à savoir Relizane-Tiaret-Tissemsilt, longue de 185 km, avec le même partenaire ETRHB Haddad. Rappelons que ETRH Haddad et le groupe ibérique FCC Construction était en concurrence avec d'autres consortiums, tels que le groupement algéro allemand Cosider Diwidag Zublin avec une offre financière évaluée à plus de 160 milliards DA, le groupe italien Astaldi (171 milliards DA), ou encore le groupement turc Alarko Ozgun (plus de 100 milliards DA). On peut également citer les deux groupements sino-algérien CRGL- Infrafer (près de 140 milliards DA) et CCECC- Infrarail Serror (Plus de 150 milliards DA), le groupe franco- italien Razzel Pizzaroti Salini Rizzani (plus de 130 milliards DA) et le groupement italo- algérien Condoti Saipem et Kougc avec une offre financière estimée à plus de 130 milliards DA. En effet, comme dans les pays industrialisés et avancés qui ont bâti leurs économies et leur développement sur la base de la construction et de la densification des chemins de fer (l'exemple de l'Europe dont tous les pays sont reliés entre eux, d'où la libre circulation des personnes et des marchandises), les opérateurs économiques algériens et marocains fondent un grand espoir sur l'usage positif de cette ligne ferroviaire et tout ce qu'elle peut engendrer comme mouvements de voyageurs et la circulation des biens. Les autorités marocaines et la Chambre de commerce et d'industrie de Casablanca accordent, donc, une importance particulière à cette réalisation ferroviaire car elle crée d'importantes opportunités de partenariat et d'échanges commerciaux entre les deux pays, et ce, dans la perspective de la réouverture de la frontière terrestre entre les deux Etats voisins, condamnés à renouer avec la coopération mutuelle. A l'image de la récente visite de la ministre marocaine de l'Energie, des infrastructures et de ressources hydrauliques en Algérie où elle a eu des négociations importantes sur les livraisons de gaz naturel algérien de Hassi R'mel au Maroc, force est de constater que les relations politiques, économiques et commerciales entre les deux pays sont en voie de normalisation. Selon le site d'actualité économique «Econsotrum» Info, le consortium international regroupant des entreprises et firmes ibériques piloté par Fomento de Construccionnes y Contratas (FCC) spécialisé dans les travaux publics, la construction et le bâtiment et dans les services, a remporté, récemment, un contrat portant sur la réalisation de la nouvelle ligne ferroviaire devant relier Tlemcen au poste frontalier de l'Ouest Akid-Abbas. D'une valeur de 1,23 milliard d'euros, ce contrat confié par l'Agence nationale d'études et de suivi de la réalisation des infrastructures ferroviaires (Anesrif), comporte notamment la réalisation d'une ligne de chemin de fer longue de 66 km, l'implantation de 34 viaducs et la construction de 9 tunnels. Les dispositions contractuelles de la convention de coopération et de partenariat signées entre les deux entreprises stipulent que les travaux de réalisation sont d'une durée de 4 années. Mais, le plus à apporter par cette infrastructure réside dans le fait que cet investissement vise notamment à accompagner d'autres projets transverses, tels que la réalisation d'autres projets de développement durable susceptibles de générer de nombreux emplois pour les jeunes de la région. En effet, le FCC est associé à raison de 51% à ce consortium avec le partenaire ETRHB Haddad. Il s'agit, en fait, d'un second gros contrat remporté par le groupe FCC en Algérie après celui décroché en mai 2010 pour un montant de plus de 270 millions d'euros pour la construction de la ligne ferroviaire à sens unique reliant trois villes, à savoir Relizane-Tiaret-Tissemsilt, longue de 185 km, avec le même partenaire ETRHB Haddad. Rappelons que ETRH Haddad et le groupe ibérique FCC Construction était en concurrence avec d'autres consortiums, tels que le groupement algéro allemand Cosider Diwidag Zublin avec une offre financière évaluée à plus de 160 milliards DA, le groupe italien Astaldi (171 milliards DA), ou encore le groupement turc Alarko Ozgun (plus de 100 milliards DA). On peut également citer les deux groupements sino-algérien CRGL- Infrafer (près de 140 milliards DA) et CCECC- Infrarail Serror (Plus de 150 milliards DA), le groupe franco- italien Razzel Pizzaroti Salini Rizzani (plus de 130 milliards DA) et le groupement italo- algérien Condoti Saipem et Kougc avec une offre financière estimée à plus de 130 milliards DA. En effet, comme dans les pays industrialisés et avancés qui ont bâti leurs économies et leur développement sur la base de la construction et de la densification des chemins de fer (l'exemple de l'Europe dont tous les pays sont reliés entre eux, d'où la libre circulation des personnes et des marchandises), les opérateurs économiques algériens et marocains fondent un grand espoir sur l'usage positif de cette ligne ferroviaire et tout ce qu'elle peut engendrer comme mouvements de voyageurs et la circulation des biens. Les autorités marocaines et la Chambre de commerce et d'industrie de Casablanca accordent, donc, une importance particulière à cette réalisation ferroviaire car elle crée d'importantes opportunités de partenariat et d'échanges commerciaux entre les deux pays, et ce, dans la perspective de la réouverture de la frontière terrestre entre les deux Etats voisins, condamnés à renouer avec la coopération mutuelle. A l'image de la récente visite de la ministre marocaine de l'Energie, des infrastructures et de ressources hydrauliques en Algérie où elle a eu des négociations importantes sur les livraisons de gaz naturel algérien de Hassi R'mel au Maroc, force est de constater que les relations politiques, économiques et commerciales entre les deux pays sont en voie de normalisation.