L'Union européenne apporte son aide financière non seulement aux pays européens, mais également à certains pays en difficulté et dont les économies sont en reconstruction, tels que la Tunisie et l'Egypte dont des montants conséquents ont été dégagés pour venir en aide à ces deux pays ravagés par les soulèvements populaires. Les dirigeants de la zone euro ont décidé, samedi, de renforcer leur fonds de soutien aux pays en difficulté, d'assouplir les conditions du plan de sauvetage à la Grèce, mais ont refusé, en revanche, de faire un geste identique pour l'Irlande qui n'a pas consenti à augmenter sa fiscalité sur les sociétés. A l'issue d'un sommet extraordinaire entamé vendredi à Bruxelles, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE se sont mis d'accord pour porter à 440 milliards d'euros les ressources effectives de leur actuel fonds de secours financier, a annoncé le président de l'Union européenne Herman Van Rompuy. Ce dispositif, qui est déjà sur le papier, est doté de 440 milliards d'euros de garanties des pays de la zone euro. Mais il ne peut dans les faits prêter que 250 milliards d'euros car il doit conserver le reste en réserve. Les dirigeants ont également décidé que le mécanisme permanent de crise qui lui succèdera à partir de mi-2013 sera doté de 500 milliards d'euros. Ils ont, en outre, élargi les moyens techniques des deux dispositifs d'aide, en leur permettant d'acheter directement de la dette publique émise par les Etats. Les responsables européens ont dans la foulée réduit de 5,2% en moyenne à 4,2% le taux d'intérêt des prêts européens accordés à la Grèce dans le cadre du plan de sauvetage et allongé de trois ans à sept ans et demi les délais de remboursement du pays. En revanche, l'Irlande, en difficulté financière, n'a pas obtenu une baisse similaire de son taux d'intérêt pour avoir refusé d'augmenter sa fiscalité sur les bénéfices des entreprises, comme le lui demandaient plusieurs pays. Ces décisions devront encore être finalisées par l'ensemble des 27 pays de l'UE, lors d'un nouveau sommet, les 24 et 25 mars. L'Union européenne apporte son aide financière non seulement aux pays européens, mais également à certains pays en difficulté et dont les économies sont en reconstruction, tels que la Tunisie et l'Egypte dont des montants conséquents ont été dégagés pour venir en aide à ces deux pays ravagés par les soulèvements populaires. Les dirigeants de la zone euro ont décidé, samedi, de renforcer leur fonds de soutien aux pays en difficulté, d'assouplir les conditions du plan de sauvetage à la Grèce, mais ont refusé, en revanche, de faire un geste identique pour l'Irlande qui n'a pas consenti à augmenter sa fiscalité sur les sociétés. A l'issue d'un sommet extraordinaire entamé vendredi à Bruxelles, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE se sont mis d'accord pour porter à 440 milliards d'euros les ressources effectives de leur actuel fonds de secours financier, a annoncé le président de l'Union européenne Herman Van Rompuy. Ce dispositif, qui est déjà sur le papier, est doté de 440 milliards d'euros de garanties des pays de la zone euro. Mais il ne peut dans les faits prêter que 250 milliards d'euros car il doit conserver le reste en réserve. Les dirigeants ont également décidé que le mécanisme permanent de crise qui lui succèdera à partir de mi-2013 sera doté de 500 milliards d'euros. Ils ont, en outre, élargi les moyens techniques des deux dispositifs d'aide, en leur permettant d'acheter directement de la dette publique émise par les Etats. Les responsables européens ont dans la foulée réduit de 5,2% en moyenne à 4,2% le taux d'intérêt des prêts européens accordés à la Grèce dans le cadre du plan de sauvetage et allongé de trois ans à sept ans et demi les délais de remboursement du pays. En revanche, l'Irlande, en difficulté financière, n'a pas obtenu une baisse similaire de son taux d'intérêt pour avoir refusé d'augmenter sa fiscalité sur les bénéfices des entreprises, comme le lui demandaient plusieurs pays. Ces décisions devront encore être finalisées par l'ensemble des 27 pays de l'UE, lors d'un nouveau sommet, les 24 et 25 mars.