La direction générale des Douanes algériennes a signé, hier, une convention de coopération scientifique avec le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD), à l'hôtel El Djazair, à l'occasion de l'organisation d'un séminaire portant sur le thème de «la connaissance, catalyseur de l'excellence douanière ». Il s'agit d'un thème retenu par l'organisation mondiale des Douanes (OMD) pour l'année 2011 en commémoration de la célébration de la journée internationale des Douanes qui coïncide, chaque année, avec le 26 janvier. L'OMD a décidé ainsi de faire de l'année 2011 l'année de la connaissance comme catalyseur de l'excellence douanière. Cette convention s'inscrit, selon Mohamed Abou Bouderbala, directeur général des Douanes algériennes, dans le cadre des objectifs visés par la nouvelle stratégie d'appui à la modernisation douanière (2011-2015) et la mise en œuvre des Programmes nationaux de recherche (PNR) consacrés par le programme de développement quinquennal 2010-2014. La coopération scientifique entre les deux instituts porte, a-t-il ajouté, sur la recherche, la veille informationnelle, notamment l'évolution de l'intelligence économique, la formation et l'organisation des manifestations scientifiques. C'est ainsi que les deux parties se sont entendu de lancer dans le cadre de cette convention quatre projets relatifs à un atelier méthodologique et d'échange et de réflexion, de la mise en place d'un centre douanier de recherche et de documentation. Il est également prévu la création d'un master douanes-logistiques avec reconnaissance internationale de l'Organisation mondiale des Douanes ainsi qu'un autre projet de recherche portant sur la relation douanes-usagers et les conditions d'amélioration de la qualité de services. Aujourd'hui, dans un monde aux changements permanents, les Douanes algériennes doivent s'accommoder, selon le DG, aux mutations intervenant dans son environnement direct. « Le dialogue avec les chercheurs du CREAD sur des thèmes douaniers, particulièrement sur le programme d'activité de la Douane, est de nature à y contribuer. Il permettra ainsi de renforcer le professionnalisme en apportant aux Douanes les compétences adaptées et utiles. C'est pourquoi l'administration douanière s'attelle à accomplir, avec plus d'efficacité, ses différentes missions » a-t-il déclaré. Selon un autre intervenant qui a mis l'accent sur la formation initiale de l'institution douanière, elle est passée de 500 à 1.600 nouveaux candidats chaque année d'une part, de 10.183 agents en exercice qui ont bénéficié d'une formation de mise à niveau entre 2007 et 2010 pour un budget de 60 millions de DA, d'autre part. Dans un autre registre, il a été signalé qu'en matière d'infrastructures de formation, l'administration des Douanes dispose actuellement de 7 grandes écoles et de deux autres projets qui seront implantés à Blida et Batna. Par ailleurs, la Direction générale de Douanes algériennes (DGDA) projette de passer à la formation d'une élite. Il s'agit d'un objectif auquel le ministère de l'Enseignement supérieur et ses différents instituts ont positivement contribué. Ainsi, la DGDA compte 73 douaniers inscrits en post graduation dont 21 doctorats en phase de finalisation et 10 potentiellement inscrits en thèse de doctorat. A la fin de la cérémonie, il a été procédé à la remise des prix aux formateurs de douanes, aux directeurs d'instituts et aux personnes ayant effectué des recherches sur les Douanes. La direction générale des Douanes algériennes a signé, hier, une convention de coopération scientifique avec le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD), à l'hôtel El Djazair, à l'occasion de l'organisation d'un séminaire portant sur le thème de «la connaissance, catalyseur de l'excellence douanière ». Il s'agit d'un thème retenu par l'organisation mondiale des Douanes (OMD) pour l'année 2011 en commémoration de la célébration de la journée internationale des Douanes qui coïncide, chaque année, avec le 26 janvier. L'OMD a décidé ainsi de faire de l'année 2011 l'année de la connaissance comme catalyseur de l'excellence douanière. Cette convention s'inscrit, selon Mohamed Abou Bouderbala, directeur général des Douanes algériennes, dans le cadre des objectifs visés par la nouvelle stratégie d'appui à la modernisation douanière (2011-2015) et la mise en œuvre des Programmes nationaux de recherche (PNR) consacrés par le programme de développement quinquennal 2010-2014. La coopération scientifique entre les deux instituts porte, a-t-il ajouté, sur la recherche, la veille informationnelle, notamment l'évolution de l'intelligence économique, la formation et l'organisation des manifestations scientifiques. C'est ainsi que les deux parties se sont entendu de lancer dans le cadre de cette convention quatre projets relatifs à un atelier méthodologique et d'échange et de réflexion, de la mise en place d'un centre douanier de recherche et de documentation. Il est également prévu la création d'un master douanes-logistiques avec reconnaissance internationale de l'Organisation mondiale des Douanes ainsi qu'un autre projet de recherche portant sur la relation douanes-usagers et les conditions d'amélioration de la qualité de services. Aujourd'hui, dans un monde aux changements permanents, les Douanes algériennes doivent s'accommoder, selon le DG, aux mutations intervenant dans son environnement direct. « Le dialogue avec les chercheurs du CREAD sur des thèmes douaniers, particulièrement sur le programme d'activité de la Douane, est de nature à y contribuer. Il permettra ainsi de renforcer le professionnalisme en apportant aux Douanes les compétences adaptées et utiles. C'est pourquoi l'administration douanière s'attelle à accomplir, avec plus d'efficacité, ses différentes missions » a-t-il déclaré. Selon un autre intervenant qui a mis l'accent sur la formation initiale de l'institution douanière, elle est passée de 500 à 1.600 nouveaux candidats chaque année d'une part, de 10.183 agents en exercice qui ont bénéficié d'une formation de mise à niveau entre 2007 et 2010 pour un budget de 60 millions de DA, d'autre part. Dans un autre registre, il a été signalé qu'en matière d'infrastructures de formation, l'administration des Douanes dispose actuellement de 7 grandes écoles et de deux autres projets qui seront implantés à Blida et Batna. Par ailleurs, la Direction générale de Douanes algériennes (DGDA) projette de passer à la formation d'une élite. Il s'agit d'un objectif auquel le ministère de l'Enseignement supérieur et ses différents instituts ont positivement contribué. Ainsi, la DGDA compte 73 douaniers inscrits en post graduation dont 21 doctorats en phase de finalisation et 10 potentiellement inscrits en thèse de doctorat. A la fin de la cérémonie, il a été procédé à la remise des prix aux formateurs de douanes, aux directeurs d'instituts et aux personnes ayant effectué des recherches sur les Douanes.
