Le nouveau réseau d'alimentation en eau potable (AEP) de la ville de Tamanrasset est un "défi technologique'', a affirmé, hier, le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, pour qui l'Algérie a hissé l'AEP au ''rang de priorité nationale''. M. Bouteflika a indiqué, dans un message à la veille de la célébration de la journée mondiale de l'eau, placée cette année sous le thème ''L'eau pour les villes, répondre au défi urbain'', que ''des efforts financiers et humains considérables ont été consentis afin de faire du droit à l'accès à l'eau une réalité pour tous nos concitoyens''. Il a ainsi relevé qu'''en moins d'une décennie, notre pays a triplé sa capacité de production d'eau potable''. En fait, a rappelé le Chef de l'Etat, ''93 % de la population sont raccordés aux réseaux publics d'eau potable et 86% aux réseaux d'assainissement avec une dotation quotidienne de 170 litres d'eau pour chaque citoyen''. En outre, ''la majorité des chefs-lieux de communes du pays reçoivent au quotidien, une eau de qualité et des efforts soutenus sont déployés pour atteindre un approvisionnement en continu dans les grandes régions'', ajoute-t-il, avant de préciser que le schéma national d'aménagement du territoire englobe dorénavant ''tous les éléments pertinents du plan national de l'eau à l'horizons 2025''. Par ailleurs, M. Bouteflika a rappelé que ''le plan quinquennal 2010-2014, qui réserve au secteur de l'hydraulique une enveloppe budgétaire de 870 milliards de DA'', prévoit de renforcer le secteur de l'hydraulique par la réalisation de 18 nouveaux barrages. Il a souligné en outre que ''le projet d'alimentation en eau potable de la ville de Tamanrasset à partir des nappes de In-Salah est un réel défi technologique et industriel qui a 'définitivement sécurisé l'accès à l'eau dans cette région". Pour autant, ''l'intérêt accordé aux villes ne doit pas occulter les populations isolées'', a-t-il relevé, précisant que "le Gouvernement a été instruit à l'effet de déployer les moyens nécessaires pour améliorer les conditions d'accès à l'eau potable dans les zones éparses". Le nouveau réseau d'alimentation en eau potable (AEP) de la ville de Tamanrasset est un "défi technologique'', a affirmé, hier, le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, pour qui l'Algérie a hissé l'AEP au ''rang de priorité nationale''. M. Bouteflika a indiqué, dans un message à la veille de la célébration de la journée mondiale de l'eau, placée cette année sous le thème ''L'eau pour les villes, répondre au défi urbain'', que ''des efforts financiers et humains considérables ont été consentis afin de faire du droit à l'accès à l'eau une réalité pour tous nos concitoyens''. Il a ainsi relevé qu'''en moins d'une décennie, notre pays a triplé sa capacité de production d'eau potable''. En fait, a rappelé le Chef de l'Etat, ''93 % de la population sont raccordés aux réseaux publics d'eau potable et 86% aux réseaux d'assainissement avec une dotation quotidienne de 170 litres d'eau pour chaque citoyen''. En outre, ''la majorité des chefs-lieux de communes du pays reçoivent au quotidien, une eau de qualité et des efforts soutenus sont déployés pour atteindre un approvisionnement en continu dans les grandes régions'', ajoute-t-il, avant de préciser que le schéma national d'aménagement du territoire englobe dorénavant ''tous les éléments pertinents du plan national de l'eau à l'horizons 2025''. Par ailleurs, M. Bouteflika a rappelé que ''le plan quinquennal 2010-2014, qui réserve au secteur de l'hydraulique une enveloppe budgétaire de 870 milliards de DA'', prévoit de renforcer le secteur de l'hydraulique par la réalisation de 18 nouveaux barrages. Il a souligné en outre que ''le projet d'alimentation en eau potable de la ville de Tamanrasset à partir des nappes de In-Salah est un réel défi technologique et industriel qui a 'définitivement sécurisé l'accès à l'eau dans cette région". Pour autant, ''l'intérêt accordé aux villes ne doit pas occulter les populations isolées'', a-t-il relevé, précisant que "le Gouvernement a été instruit à l'effet de déployer les moyens nécessaires pour améliorer les conditions d'accès à l'eau potable dans les zones éparses".