La conférence nationale regroupant étudiants, enseignants et responsables pédagogiques, prévue aujourd'hui, s'avère cruciale pour la suite de l'année universitaire fortement perturbée. Et pour cause, ses résultats décideront de la suite des événements. D'ailleurs, la communauté universitaire attend impatiemment l'issue de cette rencontre qui saura sortir les campus de l'engrenage des débrayages observés jusque-là. En effet, les directeurs des établissements universitaires se réuniront aujourd'hui pour communiquer les résultats de la commission mise en place par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, afin de statuer sur les principales revendications des étudiants, notamment le système LMD et l'équivalence des diplômes. Après un mois de concertation, la Conférence nationale des directeurs d'établissements universitaires, instituts et écoles supérieures rendra son verdict quant aux nouvelles dispositions mises en place d'un système de correspondance entre le système classique et celui du LMD. Cette conférence se veut l'aboutissement d'une série de conférences régionales tenues les 21 et 22 mars dernier, dont la dernière est celle de l'Est abritée tout récemment par l'université Mentouri de Constantine. Le procès-verbal ayant sanctionné cette rencontre a proposé un dispositif général qui permet de mettre des passerelles entre les diplômes des deux systèmes. Une question qui sera officiellement et définitivement tranchée, à l'issue des débats, au sein de la Conférence nationale prévue aujourd'hui. Quant aux autres diverses revendications spécifiques, elles seront discutées au niveau de chaque université avec les responsables administratifs et pédagogiques concernés. La conférence nationale se veut également une étape décisive pour lever une fois pour toutes l'imbroglio caractérisant la classification des diplômes après l'introduction du nouveau système LMD, une question décriée spécialement par les ingénieurs d'Etat issus de l'ancien système classique. Il s'agit d'aplanir tous ces différends, en optant pour une solution médiane appelée à la fois à satisfaire les revendications des étudiants grévistes, jugées légitimes, et à valoriser les études dans le cadre du nouveau système LMD. Donc, il n'est pas question de supprimer ce système, comme exigé par certaines corporations estudiantines qui ont radicalisé leur mouvement de protestation. La question qui taraude les esprits à présent est la suivante : les étudiants mettront-ils fin à la protestation suite à ces efforts colossaux dont ont fait montre les responsables de tutelle ? Tout dépendra de leur appréciation des résultats de cette conférence nationale. La conférence nationale regroupant étudiants, enseignants et responsables pédagogiques, prévue aujourd'hui, s'avère cruciale pour la suite de l'année universitaire fortement perturbée. Et pour cause, ses résultats décideront de la suite des événements. D'ailleurs, la communauté universitaire attend impatiemment l'issue de cette rencontre qui saura sortir les campus de l'engrenage des débrayages observés jusque-là. En effet, les directeurs des établissements universitaires se réuniront aujourd'hui pour communiquer les résultats de la commission mise en place par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, afin de statuer sur les principales revendications des étudiants, notamment le système LMD et l'équivalence des diplômes. Après un mois de concertation, la Conférence nationale des directeurs d'établissements universitaires, instituts et écoles supérieures rendra son verdict quant aux nouvelles dispositions mises en place d'un système de correspondance entre le système classique et celui du LMD. Cette conférence se veut l'aboutissement d'une série de conférences régionales tenues les 21 et 22 mars dernier, dont la dernière est celle de l'Est abritée tout récemment par l'université Mentouri de Constantine. Le procès-verbal ayant sanctionné cette rencontre a proposé un dispositif général qui permet de mettre des passerelles entre les diplômes des deux systèmes. Une question qui sera officiellement et définitivement tranchée, à l'issue des débats, au sein de la Conférence nationale prévue aujourd'hui. Quant aux autres diverses revendications spécifiques, elles seront discutées au niveau de chaque université avec les responsables administratifs et pédagogiques concernés. La conférence nationale se veut également une étape décisive pour lever une fois pour toutes l'imbroglio caractérisant la classification des diplômes après l'introduction du nouveau système LMD, une question décriée spécialement par les ingénieurs d'Etat issus de l'ancien système classique. Il s'agit d'aplanir tous ces différends, en optant pour une solution médiane appelée à la fois à satisfaire les revendications des étudiants grévistes, jugées légitimes, et à valoriser les études dans le cadre du nouveau système LMD. Donc, il n'est pas question de supprimer ce système, comme exigé par certaines corporations estudiantines qui ont radicalisé leur mouvement de protestation. La question qui taraude les esprits à présent est la suivante : les étudiants mettront-ils fin à la protestation suite à ces efforts colossaux dont ont fait montre les responsables de tutelle ? Tout dépendra de leur appréciation des résultats de cette conférence nationale.