Les négociations sur une transition de pouvoir au Yémen ont été interrompues et ne devraient pas reprendre dans l'immédiat, a déclaré dimanche dernier un collaborateur du général Ali Mohsen à l'agence Reuters, qui s'est rangé dans le camp des opposants au président Ali Abdallah Saleh. Un porte-parole de la principale coalition d'opposition yéménite a aussi dit que les discussions étaient interrompues. Confronté depuis janvier à une vague de contestation inspirée des révolutions tunisienne et égyptienne, le président Ali Abdallah Saleh, au pouvoir depuis 32 ans, s'est dit prêt samedi à quitter le pouvoir "dignement". Réuni dimanche passé, le comité central du Congrès général du peuple, le parti de Saleh, a recommandé la formation d'un nouveau gouvernement chargé de rédiger une constitution fondée sur un régime parlementaire. Les négociations sur une transition de pouvoir au Yémen ont été interrompues et ne devraient pas reprendre dans l'immédiat, a déclaré dimanche dernier un collaborateur du général Ali Mohsen à l'agence Reuters, qui s'est rangé dans le camp des opposants au président Ali Abdallah Saleh. Un porte-parole de la principale coalition d'opposition yéménite a aussi dit que les discussions étaient interrompues. Confronté depuis janvier à une vague de contestation inspirée des révolutions tunisienne et égyptienne, le président Ali Abdallah Saleh, au pouvoir depuis 32 ans, s'est dit prêt samedi à quitter le pouvoir "dignement". Réuni dimanche passé, le comité central du Congrès général du peuple, le parti de Saleh, a recommandé la formation d'un nouveau gouvernement chargé de rédiger une constitution fondée sur un régime parlementaire.