Sciatique : le nerf à vif… La sciatique est une douleur qui part de la fesse et descend dans la cuisse, la jambe, voire le pied. La principale cause de sciatique est l'hernie discale. Qu'est-ce qu'une hernie discale ? Les vertèbres sont séparées les unes des autres par un disque intervertébral, qui joue en fait le rôle d'amortisseur. Chaque disque est constitué d'un anneau fibreux appelé annulus, encerclant un gel riche en eau, baptisé nucléus. Pour diverses raisons (surcharge pondérale, port de charges lourdes, simple vieillissement…), l'annulus peut se déformer, voire se rompre et laisser alors échapper une partie du nucléus : c'est l'hernie discale ! Mais d'où provient la douleur ? «L'hernie discale libère des substances qui provoquent l'inflammation des racines nerveuses sortant de la moelle épinière. Une vive douleur se ressent alors dans les zones innervées par la racine touchée (jambe, pied..). On parle dans ce cas de sciatique», Comment traite-on la sciatique ? Dans la très grande majorité des cas, l'hernie et la sciatique disparaissent spontanément ! En revanche, cela prend en moyenne… trois mois. Heureusement, pendant ce temps, les traitements vont limiter les conséquences de l'hernie. Ils comprennent des antidouleurs pouvant aller jusqu'à la morphine quand la douleur est intense, des anti-inflammatoires et assez rarement des infiltrations Après une hernie discale, bannissez aussi le port de charges lourdes. À l'inverse, un repos trop prolongé au lit retarde la guérison… La chirurgie Si une sciatique très douloureuse perdure, il faudra recourir à l'intervention chirurgicale. C'est le cas pour 5% des sciatiques! L'opération s'impose aussi en urgence quand l'hernie provoque une perte de sensibilité au niveau du périnée, accompagnée d'incontinence et d'impuissance. L'opération consiste à enlever l'hernie et à gratter le nucleus du disque intervertébral abîmé, au moyen d'une petite incision pratiquée dans le dos du patient. Les premiers jours suivant l'opération, la sciatique disparaît dans 99% des cas. Cependant, au bout d'un an, elle réapparaît chez environ 30 % des patients, accompagnée parfois d'une lombalgie. Ces douleurs sont dues essentiellement au tassement du disque intervertébral, lésé par l'hernie et l'opération. Voilà pourquoi les opérations restent peu pratiquées… Douleurs au cou Les douleurs cervicales, touchant surtout les femmes, peuvent survenir à la suite d'un traumatisme, d'une mauvaise posture ou du vieillissement. Les articulations du cou peuvent être dégradées par l'arthrose dès 30 ans ! La douleur survient surtout lors des mouvements du cou et peut, avec le temps, se propager vers le bras, entre les omoplates ou dans la nuque. Certaines douleurs cervicales proviennent aussi des disques intervertébraux. Ces petits coussins d'eau et de collagène amortissent les chocs entre chaque vertèbre. Leur lésion (traumatisme, vieillissement…) peut entraîner une compression ou une inflammation douloureuse des nerfs sortant de la moelle épinière. De même, les nombreux ligaments reliant les vertèbres cervicales entre elles peuvent subir des élongations, voire des déchirures très douloureuses. C'est le cas notamment lors d'accidents de voiture provoquant le «coup du lapin». Enfin, en réaction à ces divers problèmes cervicaux, certains muscles vont se contracter et devenir douloureux, comme dans le cas du torticolis. Quand consulter ? La plupart des cervicalgies disparaissent spontanément au bout de deux semaines. Cependant, si la douleur est très forte, si son intensité augmente chaque jour ou si elle irradie vers d'autres régions que le cou, mieux vaut consulter ! Le médecin interroge le patient sur les circonstances d'apparition de la douleur, sur sa localisation exacte, puis il procèdera à une palpation du cou. En général, une radiographie ou une IRM est prescrite uniquement si la douleur irradie vers d'autres membres, après un traumatisme (accident, chute…) ou encore si la douleur persiste malgré les traitements. Une cure thermale contre l'arthrose Médecine reconnue, la médecine thermale fait l'unanimité auprès des curistes qui ont eu la chance de bénéficier d'une cure en thalassothérapie ou encore dans les stations thermales en Algérie aux vertus reconnues. Encore fallait-il valider scientifiquement les bénéfices des soins the rmaux. La lombalgie : le plus fréquent des maux de dos… Les lombalgies désignent les maux du bas du dos. Elles représentent à elles seules plus de 60 % des maux de dos. La posture assise est la plus néfaste pour le bas du dos, car elle comprime la partie avant des disques lombaires. La scoliose (déformation en S de la colonne vertébrale) peut aussi provoquer une lombalgie, du fait de l'étirement ligamentaire et de la fatigue musculaire. Bien sûr, le port de charges lourdes, les sports violents, etc., peuvent aussi déclencher les lombalgies. En revanche, la persistance des lombalgies semble étroitement liée à des facteurs psychologiques, notamment un état dépressif. De même, des facteurs sociaux comme le repli sur soi, la mauvaise entente au travail ou en famille une vie professionnelle peu gratifiante…. Lombalgies récentes et chroniques La plupart des lombalgies sont dues à des lésions des disques ou des ligaments intervertébraux. Ces lésions guérissent en quelques semaines à l'aide d'anti-inflammatoires. Parfois, des infiltrations sont nécessaires et s'avèrent très efficaces. De même, des séances régulières de massages lents et profonds des lombaires et des hanches peuvent apporter un soulagement. Cependant, certaines lombalgies persistent et deviennent chroniques (au-delà de deux mois). Dans ce cas, en plus du traitement anti-inflammatoire, il faudra ajouter de la kinésithérapie pour renforcer la musculation et favoriser la décontraction.. Le lumbago Le lumbago survient très brutalement (en quelques minutes), en général suite à un effort mal préparé, notamment le soulèvement de charges lourdes. Le lumbago est une sorte d'entorse d'un disque intervertébrale lombaire. La douleur est très intense surtout dans les premières 24 heures. Elle interdit souvent tout mouvement ! La caractéristique du lumbago est la posture adoptée pour limiter la douleur : le sujet est penché en avant et sur le côté, avec impossibilité de se redresser. Dorsalgies et mauvaises postures ! On parle de dorsalgie lorsque la douleur est localisée au milieu du dos, très souvent entre les omoplates. Les causes posturales sont au premier plan, notamment le dos rond et la tête en avant. Ainsi, les dorsalgies sont très fréquentes en cas de travail sur ordinateur, surtout chez les femmes… Soigner la dorsalgie Pour soulager les dorsalgies, il faut éviter de garder trop longtemps la même position avec le dos arrondi. Pour ce faire, «n'hésitez pas à faire des pauses régulières, même au bureau. Des pauses fréquentes et courtes sont plus efficaces que des pauses rares et longues, surtout si elles sont prises avant l'installation de la fatigue. Faites des moulinets avec les bras et les mains. Bougez le cou en petits cercles et étirez le dos, mains vers le plafond. Des séances de kinésithérapie permettront le renforcement et la détente musculaire, mais aussi l'amélioration de la posture. Dorsalgie et tension mentale… Le surcroît d'activité et le stress augmentent les douleurs dorsales. Le stress peut même dérégler les voies nerveuses de la douleur, instituant alors des dorsalgies chroniques. Dans ce cas, des petites doses d'antidépresseurs s'avèrent alors beaucoup plus efficaces que les antidouleurs classiques, les tempéraments pessimistes s'accompagnent souvent d'une faiblesse musculaire, pourvoyeuse de dorsalgies. C'est ce que le langage populaire décrit par l'expression «en avoir plein le dos». Dans ce cas, la pratique régulière d'un sport associée à des séances de relaxation atténuera la dorsalgie et peut-être le pessimisme… Fauteuil de bureau bien réglé : dorsalgie évitée ! Pour éviter les dorsalgies et autres troubles musculo-squelettiques au bureau, il faut veiller à sa position de travail : «Le dossier du fauteuil doit supporter le creux des reins. Les pieds doivent reposer sur le sol ou sur un repose-pied. Le bas du dos doit rester en contact avec le dossier. Le siège doit basculer légèrement vers l'avant afin que les hanches soient un peu plus hautes que les genoux. Les coudes sont près du corps et les avant-bras à l'horizontale, parallèles à la surface du bureau. Quant aux poignets, ils doivent reposer sur le bureau ou mieux, sur un support de clavier. Une bonne hygiène de vie pour un dos en pleine forme ! Une literie adaptée… Pour choisir un matelas qui protège le dos, il faut tenir compte du poids du dormeur. Une personne mince pourra prendre un matelas assez souple. Mais, plus le poids du dormeur est important, plus le matelas devra être ferme. Le choix de l'oreiller dépend cette fois de la position favorite du dormeur. Si la position de côté est privilégiée, l'oreiller devra être plutôt épais, pour que le cou reste à l'horizontal. Sur le dos, mieux vaut un oreiller mince. Enfin, dormir sur le ventre n'est pas conseillé, puisque cela impose au cou une torsion prolongée. Talons hauts ou pas ? Les talons hauts (plus de 5 cm ) augmentent la cambrure lombaire et celle de la nuque. Mieux vaut donc éviter de les porter de façon régulière et prolongée et limiter les talons hauts à des occasions exceptionnelles ! En revanche, des talons de 3 à 5 cm sont bien tolérés au quotidien. Par contre, si le pied est particulièrement creux, les talons hauts pourront améliorer la statique vertébrale et même réduire les douleurs de dos. Sciatique : le nerf à vif… La sciatique est une douleur qui part de la fesse et descend dans la cuisse, la jambe, voire le pied. La principale cause de sciatique est l'hernie discale. Qu'est-ce qu'une hernie discale ? Les vertèbres sont séparées les unes des autres par un disque intervertébral, qui joue en fait le rôle d'amortisseur. Chaque disque est constitué d'un anneau fibreux appelé annulus, encerclant un gel riche en eau, baptisé nucléus. Pour diverses raisons (surcharge pondérale, port de charges lourdes, simple vieillissement…), l'annulus peut se déformer, voire se rompre et laisser alors échapper une partie du nucléus : c'est l'hernie discale ! Mais d'où provient la douleur ? «L'hernie discale libère des substances qui provoquent l'inflammation des racines nerveuses sortant de la moelle épinière. Une vive douleur se ressent alors dans les zones innervées par la racine touchée (jambe, pied..). On parle dans ce cas de sciatique», Comment traite-on la sciatique ? Dans la très grande majorité des cas, l'hernie et la sciatique disparaissent spontanément ! En revanche, cela prend en moyenne… trois mois. Heureusement, pendant ce temps, les traitements vont limiter les conséquences de l'hernie. Ils comprennent des antidouleurs pouvant aller jusqu'à la morphine quand la douleur est intense, des anti-inflammatoires et assez rarement des infiltrations Après une hernie discale, bannissez aussi le port de charges lourdes. À l'inverse, un repos trop prolongé au lit retarde la guérison… La chirurgie Si une sciatique très douloureuse perdure, il faudra recourir à l'intervention chirurgicale. C'est le cas pour 5% des sciatiques! L'opération s'impose aussi en urgence quand l'hernie provoque une perte de sensibilité au niveau du périnée, accompagnée d'incontinence et d'impuissance. L'opération consiste à enlever l'hernie et à gratter le nucleus du disque intervertébral abîmé, au moyen d'une petite incision pratiquée dans le dos du patient. Les premiers jours suivant l'opération, la sciatique disparaît dans 99% des cas. Cependant, au bout d'un an, elle réapparaît chez environ 30 % des patients, accompagnée parfois d'une lombalgie. Ces douleurs sont dues essentiellement au tassement du disque intervertébral, lésé par l'hernie et l'opération. Voilà pourquoi les opérations restent peu pratiquées… Douleurs au cou Les douleurs cervicales, touchant surtout les femmes, peuvent survenir à la suite d'un traumatisme, d'une mauvaise posture ou du vieillissement. Les articulations du cou peuvent être dégradées par l'arthrose dès 30 ans ! La douleur survient surtout lors des mouvements du cou et peut, avec le temps, se propager vers le bras, entre les omoplates ou dans la nuque. Certaines douleurs cervicales proviennent aussi des disques intervertébraux. Ces petits coussins d'eau et de collagène amortissent les chocs entre chaque vertèbre. Leur lésion (traumatisme, vieillissement…) peut entraîner une compression ou une inflammation douloureuse des nerfs sortant de la moelle épinière. De même, les nombreux ligaments reliant les vertèbres cervicales entre elles peuvent subir des élongations, voire des déchirures très douloureuses. C'est le cas notamment lors d'accidents de voiture provoquant le «coup du lapin». Enfin, en réaction à ces divers problèmes cervicaux, certains muscles vont se contracter et devenir douloureux, comme dans le cas du torticolis. Quand consulter ? La plupart des cervicalgies disparaissent spontanément au bout de deux semaines. Cependant, si la douleur est très forte, si son intensité augmente chaque jour ou si elle irradie vers d'autres régions que le cou, mieux vaut consulter ! Le médecin interroge le patient sur les circonstances d'apparition de la douleur, sur sa localisation exacte, puis il procèdera à une palpation du cou. En général, une radiographie ou une IRM est prescrite uniquement si la douleur irradie vers d'autres membres, après un traumatisme (accident, chute…) ou encore si la douleur persiste malgré les traitements. Une cure thermale contre l'arthrose Médecine reconnue, la médecine thermale fait l'unanimité auprès des curistes qui ont eu la chance de bénéficier d'une cure en thalassothérapie ou encore dans les stations thermales en Algérie aux vertus reconnues. Encore fallait-il valider scientifiquement les bénéfices des soins the rmaux. La lombalgie : le plus fréquent des maux de dos… Les lombalgies désignent les maux du bas du dos. Elles représentent à elles seules plus de 60 % des maux de dos. La posture assise est la plus néfaste pour le bas du dos, car elle comprime la partie avant des disques lombaires. La scoliose (déformation en S de la colonne vertébrale) peut aussi provoquer une lombalgie, du fait de l'étirement ligamentaire et de la fatigue musculaire. Bien sûr, le port de charges lourdes, les sports violents, etc., peuvent aussi déclencher les lombalgies. En revanche, la persistance des lombalgies semble étroitement liée à des facteurs psychologiques, notamment un état dépressif. De même, des facteurs sociaux comme le repli sur soi, la mauvaise entente au travail ou en famille une vie professionnelle peu gratifiante…. Lombalgies récentes et chroniques La plupart des lombalgies sont dues à des lésions des disques ou des ligaments intervertébraux. Ces lésions guérissent en quelques semaines à l'aide d'anti-inflammatoires. Parfois, des infiltrations sont nécessaires et s'avèrent très efficaces. De même, des séances régulières de massages lents et profonds des lombaires et des hanches peuvent apporter un soulagement. Cependant, certaines lombalgies persistent et deviennent chroniques (au-delà de deux mois). Dans ce cas, en plus du traitement anti-inflammatoire, il faudra ajouter de la kinésithérapie pour renforcer la musculation et favoriser la décontraction.. Le lumbago Le lumbago survient très brutalement (en quelques minutes), en général suite à un effort mal préparé, notamment le soulèvement de charges lourdes. Le lumbago est une sorte d'entorse d'un disque intervertébrale lombaire. La douleur est très intense surtout dans les premières 24 heures. Elle interdit souvent tout mouvement ! La caractéristique du lumbago est la posture adoptée pour limiter la douleur : le sujet est penché en avant et sur le côté, avec impossibilité de se redresser. Dorsalgies et mauvaises postures ! On parle de dorsalgie lorsque la douleur est localisée au milieu du dos, très souvent entre les omoplates. Les causes posturales sont au premier plan, notamment le dos rond et la tête en avant. Ainsi, les dorsalgies sont très fréquentes en cas de travail sur ordinateur, surtout chez les femmes… Soigner la dorsalgie Pour soulager les dorsalgies, il faut éviter de garder trop longtemps la même position avec le dos arrondi. Pour ce faire, «n'hésitez pas à faire des pauses régulières, même au bureau. Des pauses fréquentes et courtes sont plus efficaces que des pauses rares et longues, surtout si elles sont prises avant l'installation de la fatigue. Faites des moulinets avec les bras et les mains. Bougez le cou en petits cercles et étirez le dos, mains vers le plafond. Des séances de kinésithérapie permettront le renforcement et la détente musculaire, mais aussi l'amélioration de la posture. Dorsalgie et tension mentale… Le surcroît d'activité et le stress augmentent les douleurs dorsales. Le stress peut même dérégler les voies nerveuses de la douleur, instituant alors des dorsalgies chroniques. Dans ce cas, des petites doses d'antidépresseurs s'avèrent alors beaucoup plus efficaces que les antidouleurs classiques, les tempéraments pessimistes s'accompagnent souvent d'une faiblesse musculaire, pourvoyeuse de dorsalgies. C'est ce que le langage populaire décrit par l'expression «en avoir plein le dos». Dans ce cas, la pratique régulière d'un sport associée à des séances de relaxation atténuera la dorsalgie et peut-être le pessimisme… Fauteuil de bureau bien réglé : dorsalgie évitée ! Pour éviter les dorsalgies et autres troubles musculo-squelettiques au bureau, il faut veiller à sa position de travail : «Le dossier du fauteuil doit supporter le creux des reins. Les pieds doivent reposer sur le sol ou sur un repose-pied. Le bas du dos doit rester en contact avec le dossier. Le siège doit basculer légèrement vers l'avant afin que les hanches soient un peu plus hautes que les genoux. Les coudes sont près du corps et les avant-bras à l'horizontale, parallèles à la surface du bureau. Quant aux poignets, ils doivent reposer sur le bureau ou mieux, sur un support de clavier. Une bonne hygiène de vie pour un dos en pleine forme ! Une literie adaptée… Pour choisir un matelas qui protège le dos, il faut tenir compte du poids du dormeur. Une personne mince pourra prendre un matelas assez souple. Mais, plus le poids du dormeur est important, plus le matelas devra être ferme. Le choix de l'oreiller dépend cette fois de la position favorite du dormeur. Si la position de côté est privilégiée, l'oreiller devra être plutôt épais, pour que le cou reste à l'horizontal. Sur le dos, mieux vaut un oreiller mince. Enfin, dormir sur le ventre n'est pas conseillé, puisque cela impose au cou une torsion prolongée. Talons hauts ou pas ? Les talons hauts (plus de 5 cm ) augmentent la cambrure lombaire et celle de la nuque. Mieux vaut donc éviter de les porter de façon régulière et prolongée et limiter les talons hauts à des occasions exceptionnelles ! En revanche, des talons de 3 à 5 cm sont bien tolérés au quotidien. Par contre, si le pied est particulièrement creux, les talons hauts pourront améliorer la statique vertébrale et même réduire les douleurs de dos.