Sous le thème « La prévention routière l'affaire de tous », la 4e édition du Salon international des deux-roues a débuté hier au Palais des expositions des Pins maritimes. Sous le thème « La prévention routière l'affaire de tous », la 4e édition du Salon international des deux-roues a débuté hier au Palais des expositions des Pins maritimes. L'exposition, ouverte jusqu'à la fin du mois en cours, est initiée conjointement par la Safex et la société NSO, elle regroupe plusieurs sociétés spécialisées dans la vente et la fabrication des cycles et motocycles, quads, voiturettes pour handicapés et accessoires ainsi que plusieurs passionnées du monde des deux-roues, à l'image de la Fédération algérienne des sports (FASM) mécaniques et celle de cyclisme (FAC). Les autorités publiques, à savoir la Gendarmerie nationale, la Sûreté nationale et la Protection civile sont également au rendez-vous. Dans ce contexte, il convient de noter, que contrairement aux éditions précédentes, les Douanes algériennes participent à ce salon. « Outre l'intérêt commercial, ce salon a de multiples objectifs notamment la prévention contre les accidents de la circulation et la sensibilisation contre la drogue et la toxicomanie » ont expliqué les deux fédérations sus-citées. « Il est impératif de sensibiliser les conducteurs sachant que 50 millions de décès sont enregistrés annuellement dans le monde » a déploré Chihab Baloul, président de la FASM. En effet, au cours de cette rencontre, auront cours des conférences, des ateliers ainsi que des brevets cyclisme. Ces derniers seront délivrés par la FAC aux jeunes écoles (7 à 9ans) et aux benjamins (10 à 12ans). Sur un autre plan, les deux fédérations se sont plaint du taux « élevé » de la taxe douanière quant aux cycles et motocycles et leurs accessoires. « Il est irrationnel que la taxe d'une voiture n'est que de 13% alors que celle d'une moto est de plus de 52% », a dit M. Fezouine, président de la FAC. Parfois même, a-t-il poursuivi, « le prix d'un simple casque est plus élevé que celui d'une moto ». De son côté, l'officier de contrôle, Tahar Bounefissa a expliqué que « le taux de 52,1% est un taux cumulé. 30% pour les droits de douanes et 17% pour la TVA ». « C'est un taux élevé parce que c'est un produit fini. L'Etat veut ainsi encourager le montage des motos en Algérie » a expliqué le douanier. L'exposition, ouverte jusqu'à la fin du mois en cours, est initiée conjointement par la Safex et la société NSO, elle regroupe plusieurs sociétés spécialisées dans la vente et la fabrication des cycles et motocycles, quads, voiturettes pour handicapés et accessoires ainsi que plusieurs passionnées du monde des deux-roues, à l'image de la Fédération algérienne des sports (FASM) mécaniques et celle de cyclisme (FAC). Les autorités publiques, à savoir la Gendarmerie nationale, la Sûreté nationale et la Protection civile sont également au rendez-vous. Dans ce contexte, il convient de noter, que contrairement aux éditions précédentes, les Douanes algériennes participent à ce salon. « Outre l'intérêt commercial, ce salon a de multiples objectifs notamment la prévention contre les accidents de la circulation et la sensibilisation contre la drogue et la toxicomanie » ont expliqué les deux fédérations sus-citées. « Il est impératif de sensibiliser les conducteurs sachant que 50 millions de décès sont enregistrés annuellement dans le monde » a déploré Chihab Baloul, président de la FASM. En effet, au cours de cette rencontre, auront cours des conférences, des ateliers ainsi que des brevets cyclisme. Ces derniers seront délivrés par la FAC aux jeunes écoles (7 à 9ans) et aux benjamins (10 à 12ans). Sur un autre plan, les deux fédérations se sont plaint du taux « élevé » de la taxe douanière quant aux cycles et motocycles et leurs accessoires. « Il est irrationnel que la taxe d'une voiture n'est que de 13% alors que celle d'une moto est de plus de 52% », a dit M. Fezouine, président de la FAC. Parfois même, a-t-il poursuivi, « le prix d'un simple casque est plus élevé que celui d'une moto ». De son côté, l'officier de contrôle, Tahar Bounefissa a expliqué que « le taux de 52,1% est un taux cumulé. 30% pour les droits de douanes et 17% pour la TVA ». « C'est un taux élevé parce que c'est un produit fini. L'Etat veut ainsi encourager le montage des motos en Algérie » a expliqué le douanier.