L'amélioration des thérapies de l'hypertension artérielle (HTA), chez le diabétique, doit s'inspirer des progrès thérapeutiques et des recommandations des nouvelles "guidelines" (instructions écrites générales) des sociétés européennes et américaines, a estimé jeudi un spécialiste de médecine interne du CHU de Constantine. Le Pr. Youcef Benabbas, médecin-chef de l'unité de diabétologie du CHU Benbadis, a appelé les médecins et les diététiciens participant à la 7e journée de diététique et de nutrition, consacrée au traitement du diabète sucré de type2, à "ne plus se contenter de la thérapie classique de l'HTA chez le patient diabétique". Une technique qui "a montré ses limites" et qui "n'a pas donné, jusqu'à présent, de résultats satisfaisants et fiables", a ajouté le même spécialiste, plaidant pour l'application des nouvelles mesures recommandées par les instances médicales internationales spécialisés dans la thérapie de ces "maladies chroniques à très hauts risques". Les nouvelles guidelines recommandent de prendre en considération le "lien étroit" qui existe entre l'hypertension artérielle et le diabète. Deux pathologies, a-t-il expliqué, devant être surveillées attentivement chez les personnes âgées en raison de leur lien avec les risques cardiovasculaires, d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) et d'insuffisance rénale. Le diabète dont l'apparition est favorisée par l'obésité et le surpoids est également responsable de maladies oculaires pouvant entraîner la cécité et que l'on peut prévenir en pratiquant des exercices physiques réguliers, un régime alimentaire adéquat et une surveillance soutenue du surpoids. La place de l'obésité comme indicateur de risque cardiovasculaire dans le syndrome métabolique, le traitement oral du diabète de type 2, l'antibiothérapie chez le diabétique, la néphropathie diabétique et l'activité physique calibrée, ont également figuré au programme de cette journée d'étude. L'amélioration des thérapies de l'hypertension artérielle (HTA), chez le diabétique, doit s'inspirer des progrès thérapeutiques et des recommandations des nouvelles "guidelines" (instructions écrites générales) des sociétés européennes et américaines, a estimé jeudi un spécialiste de médecine interne du CHU de Constantine. Le Pr. Youcef Benabbas, médecin-chef de l'unité de diabétologie du CHU Benbadis, a appelé les médecins et les diététiciens participant à la 7e journée de diététique et de nutrition, consacrée au traitement du diabète sucré de type2, à "ne plus se contenter de la thérapie classique de l'HTA chez le patient diabétique". Une technique qui "a montré ses limites" et qui "n'a pas donné, jusqu'à présent, de résultats satisfaisants et fiables", a ajouté le même spécialiste, plaidant pour l'application des nouvelles mesures recommandées par les instances médicales internationales spécialisés dans la thérapie de ces "maladies chroniques à très hauts risques". Les nouvelles guidelines recommandent de prendre en considération le "lien étroit" qui existe entre l'hypertension artérielle et le diabète. Deux pathologies, a-t-il expliqué, devant être surveillées attentivement chez les personnes âgées en raison de leur lien avec les risques cardiovasculaires, d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) et d'insuffisance rénale. Le diabète dont l'apparition est favorisée par l'obésité et le surpoids est également responsable de maladies oculaires pouvant entraîner la cécité et que l'on peut prévenir en pratiquant des exercices physiques réguliers, un régime alimentaire adéquat et une surveillance soutenue du surpoids. La place de l'obésité comme indicateur de risque cardiovasculaire dans le syndrome métabolique, le traitement oral du diabète de type 2, l'antibiothérapie chez le diabétique, la néphropathie diabétique et l'activité physique calibrée, ont également figuré au programme de cette journée d'étude.