Tout le monde est focalisé sur l'Algérie en ce sens que le Sipsa 2011, prévu du 18 au 21 du mois courant, est le vecteur de transfert de technologies, notamment pour ce qui est de la nutrition, du développement génétique et des différents secteurs économiques, ainsi que le développement du partenariat où les professionnels travaillent la main dans la main" a notamment affirmé, hier à la Safex au cours d'une conférence de presse, Amine Bensemmane, président du Sipsa. Il dira que le Sipsa est un important évènement dans la rive sud de la Méditerranée et au Maghreb avec la participation, à la présente édition, de 28 pays représentant plus de 350 exposants dont 100 nationaux et plus de 190 internationaux, lors de ce salon professionnel placé sous le signe de la consolidation de l'innovation et de l'économie des élevages. Des ministres ont déjà confirmé leur présence à cet évènement, tels que le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, et celui du Commerce, Mustapha Benbada qui prendront part à l'inauguration de l'année mondiale vétérinaire. Ayant pris une dimension internationale qualitative incontestable, le Sipsa est devenu, donc, incontournable pour les professionnels. Et, dans cet ordre d'idées, Bensemmane n'a pas manqué de souligner que « les rencontres initiées entre les professionnels algériens et étrangers et les négociations aboutissent, dans la majorité des cas, à des partenariats durables. En effet, depuis 2001, plus d'une trentaine de sociétés internationales s'est investie en Algérie dans le secteur des productions, de la santé et de la nutrition animale à travers cet évènement professionnel qu'est le Sipsa ». Le conférencier estime que l'Année mondiale vétérinaire, qui sera célébrée lors du Forum international vétérinaire et coïncidant avec le Sipsa, « est un évènement devant permettre aux vétérinaires d'apprécier l'étendue des capacités de leur profession et de leurs responsabilités, dans la sécurité alimentaire de notre pays, et les différentes facettes de la profession, depuis la recherche scientifique à la gestion des crises, en passant par la sécurité sanitaire des aliments ou les soins des animaux ». Les Algériens consomment 3 milliards de litres de lait par an Simultanément, trois forums auront lieu au Palais des expositions de la Safex. Il s'agit, en fait, du Forum interprofessionnel du lait et des produits laitiers "Fiplait'' qui s'articulera autour de la problématique de la production laitière et son intensification en ayant pour ambition d'être le lien entre les producteurs et les transformateurs. Quant au Forum interprofessionnel de la filière avicole "Fifavic'', il arbore le slogan "Aviculture, sortie de crise par la régulation. Enfin, le Forum interprofessionnel de la filière viande et technologies "Finoviand'', il regroupera les professionnels de la viande et des produits carnés et toute la technologie abattoirs, organisation de la conservation et la chaîne de froid, transformation et sécurité sanitaire des produits carnés. D'importantes recommandations sont attendues durant ces forums où, selon Bensemmane, le lait et les produits laitiers sont considérés comme une problématique d'une filière clé de la production animale. « L'Algérie est le premier consommateur de lait au Maghreb avec plus de 3 milliards de litres de lait annuellement, sachant que le taux de couverture n'avoisine pas plus de 60%, le reste importé sous forme de poudre de lait ». Parmi les pays participants, on peut notamment citer l'Allemagne, l'Autriche, les Etats-Unis d'Amérique, le Danemark, l'Espagne, le Canada, la France, la Grande-Bretagne, la Suisse, la Hollande… Bensemmane a précisé que « l'atout ovin place l'Algérie en position très honorable au plan de la ressource patrimoniale et des indices de productivité sachant que le programme du ministère de l'Agriculture, à l'horizon 2014, repose notamment sur l'extension des superficies consacrées aux plantations pastorales, l'entretien et l'aménagement des points d'eau existants et la création de nouveaux points d'eau. Mais, il y a également le soutien à la collecte de la production nationale d'orge et la création d'abattoirs modernes destinés à assumer un rôle prépondérant au niveau de la régulation du marché ». Il résulté que ce programme se fixe comme objectif essentiel de produire plus de 400.000 tonnes, avec une perspective par habitant et par an de 11 kilogrammes. Tout le monde est focalisé sur l'Algérie en ce sens que le Sipsa 2011, prévu du 18 au 21 du mois courant, est le vecteur de transfert de technologies, notamment pour ce qui est de la nutrition, du développement génétique et des différents secteurs économiques, ainsi que le développement du partenariat où les professionnels travaillent la main dans la main" a notamment affirmé, hier à la Safex au cours d'une conférence de presse, Amine Bensemmane, président du Sipsa. Il dira que le Sipsa est un important évènement dans la rive sud de la Méditerranée et au Maghreb avec la participation, à la présente édition, de 28 pays représentant plus de 350 exposants dont 100 nationaux et plus de 190 internationaux, lors de ce salon professionnel placé sous le signe de la consolidation de l'innovation et de l'économie des élevages. Des ministres ont déjà confirmé leur présence à cet évènement, tels que le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, et celui du Commerce, Mustapha Benbada qui prendront part à l'inauguration de l'année mondiale vétérinaire. Ayant pris une dimension internationale qualitative incontestable, le Sipsa est devenu, donc, incontournable pour les professionnels. Et, dans cet ordre d'idées, Bensemmane n'a pas manqué de souligner que « les rencontres initiées entre les professionnels algériens et étrangers et les négociations aboutissent, dans la majorité des cas, à des partenariats durables. En effet, depuis 2001, plus d'une trentaine de sociétés internationales s'est investie en Algérie dans le secteur des productions, de la santé et de la nutrition animale à travers cet évènement professionnel qu'est le Sipsa ». Le conférencier estime que l'Année mondiale vétérinaire, qui sera célébrée lors du Forum international vétérinaire et coïncidant avec le Sipsa, « est un évènement devant permettre aux vétérinaires d'apprécier l'étendue des capacités de leur profession et de leurs responsabilités, dans la sécurité alimentaire de notre pays, et les différentes facettes de la profession, depuis la recherche scientifique à la gestion des crises, en passant par la sécurité sanitaire des aliments ou les soins des animaux ». Les Algériens consomment 3 milliards de litres de lait par an Simultanément, trois forums auront lieu au Palais des expositions de la Safex. Il s'agit, en fait, du Forum interprofessionnel du lait et des produits laitiers "Fiplait'' qui s'articulera autour de la problématique de la production laitière et son intensification en ayant pour ambition d'être le lien entre les producteurs et les transformateurs. Quant au Forum interprofessionnel de la filière avicole "Fifavic'', il arbore le slogan "Aviculture, sortie de crise par la régulation. Enfin, le Forum interprofessionnel de la filière viande et technologies "Finoviand'', il regroupera les professionnels de la viande et des produits carnés et toute la technologie abattoirs, organisation de la conservation et la chaîne de froid, transformation et sécurité sanitaire des produits carnés. D'importantes recommandations sont attendues durant ces forums où, selon Bensemmane, le lait et les produits laitiers sont considérés comme une problématique d'une filière clé de la production animale. « L'Algérie est le premier consommateur de lait au Maghreb avec plus de 3 milliards de litres de lait annuellement, sachant que le taux de couverture n'avoisine pas plus de 60%, le reste importé sous forme de poudre de lait ». Parmi les pays participants, on peut notamment citer l'Allemagne, l'Autriche, les Etats-Unis d'Amérique, le Danemark, l'Espagne, le Canada, la France, la Grande-Bretagne, la Suisse, la Hollande… Bensemmane a précisé que « l'atout ovin place l'Algérie en position très honorable au plan de la ressource patrimoniale et des indices de productivité sachant que le programme du ministère de l'Agriculture, à l'horizon 2014, repose notamment sur l'extension des superficies consacrées aux plantations pastorales, l'entretien et l'aménagement des points d'eau existants et la création de nouveaux points d'eau. Mais, il y a également le soutien à la collecte de la production nationale d'orge et la création d'abattoirs modernes destinés à assumer un rôle prépondérant au niveau de la régulation du marché ». Il résulté que ce programme se fixe comme objectif essentiel de produire plus de 400.000 tonnes, avec une perspective par habitant et par an de 11 kilogrammes.