Le commissaire européen chargé de l'Elargissement et de la politique de voisinage, le Tchèque Stefan Füle, a souligné hier à Alger avoir évoqué avec le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, particulièrement les réformes politiques et sociales initiées en Algérie. "J'ai discuté avec le président de la République notamment sur les réformes initiées en Algérie et leur impact aussi bien sur le gouvernement et le citoyen algériens, que sur la région et sur le citoyen de l'Union européenne", a déclaré à la presse M. Füle, à l'issue de l'audience que lui a accordée le chef de l'Etat. Rappelant que sa visite en Algérie était la deuxième du genre, il l'a qualifiée de "moment historique très important", tant pour l'Algérie, a-t-il dit, que pour la région et pour l'Union européenne. L'audience s'est déroulée à la résidence Djenane El Mufti en présence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et du ministre du Commerce, Mustapha Benbada, et de l'ambassadrice de l'Union européenne, Laura Baeza. Auparavant, le commissaire européen chargé de l'Elargissement et de la politique de voisinage s'est entretenu avec le président de l'APN, qui lui avait expliqué que l'Algérie a connu "le printemps de la démocratie" deux décennies avant les pays de la région, estimant que l'UE pouvait soutenir la démocratie en "œuvrant à aider les pays à relancer l'économie productive et à faire face au chômage". Abdelaziz Ziari a longuement évoqué les différentes étapes du processus démocratique en Algérie, mettant l'accent dans ce contexte sur les réformes annoncées par le président Abdelaziz Bouteflika, qui visent à approfondir la pratique démocratique. Il a également évoqué avec le chef de la diplomatie algérienne de plusieurs questions d'intérêt commun, notamment l'avenir de l'accord d'association en vigueur depuis le 1er septembre 2005. Les deux parties ont convenu de parvenir à un accord sur le calendrier de démantèlement tarifaire lors des prochaines discussions qui auront lieu le mois prochain. Outre l'accord d'association, l'Algérie et l'Union européenne ont évoqué la question de visas à la lumière des récents développements survenus sur la scène européenne, où la France et l'Italie ont émis le souhait de se retirer de l'espace Schengen. A ce titre, Stefan Füle a réitéré la nécessité d'ouvrir le monde pour les jeunes Algériens, en facilitant l'obtention de visas d'entrée dans les pays européens, notamment pour les hommes d'affaires, les universitaires et les représentants de la société civile. "Nous voulons non seulement traiter la mobilité illégale mais aussi la mobilité légale", a affirmé le commissaire européen, non sans souligner la difficulté de cette tâche face à l'intransigeance de certains pays de l'UE. Le commissaire européen chargé de l'Elargissement et de la politique de voisinage, le Tchèque Stefan Füle, a souligné hier à Alger avoir évoqué avec le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, particulièrement les réformes politiques et sociales initiées en Algérie. "J'ai discuté avec le président de la République notamment sur les réformes initiées en Algérie et leur impact aussi bien sur le gouvernement et le citoyen algériens, que sur la région et sur le citoyen de l'Union européenne", a déclaré à la presse M. Füle, à l'issue de l'audience que lui a accordée le chef de l'Etat. Rappelant que sa visite en Algérie était la deuxième du genre, il l'a qualifiée de "moment historique très important", tant pour l'Algérie, a-t-il dit, que pour la région et pour l'Union européenne. L'audience s'est déroulée à la résidence Djenane El Mufti en présence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et du ministre du Commerce, Mustapha Benbada, et de l'ambassadrice de l'Union européenne, Laura Baeza. Auparavant, le commissaire européen chargé de l'Elargissement et de la politique de voisinage s'est entretenu avec le président de l'APN, qui lui avait expliqué que l'Algérie a connu "le printemps de la démocratie" deux décennies avant les pays de la région, estimant que l'UE pouvait soutenir la démocratie en "œuvrant à aider les pays à relancer l'économie productive et à faire face au chômage". Abdelaziz Ziari a longuement évoqué les différentes étapes du processus démocratique en Algérie, mettant l'accent dans ce contexte sur les réformes annoncées par le président Abdelaziz Bouteflika, qui visent à approfondir la pratique démocratique. Il a également évoqué avec le chef de la diplomatie algérienne de plusieurs questions d'intérêt commun, notamment l'avenir de l'accord d'association en vigueur depuis le 1er septembre 2005. Les deux parties ont convenu de parvenir à un accord sur le calendrier de démantèlement tarifaire lors des prochaines discussions qui auront lieu le mois prochain. Outre l'accord d'association, l'Algérie et l'Union européenne ont évoqué la question de visas à la lumière des récents développements survenus sur la scène européenne, où la France et l'Italie ont émis le souhait de se retirer de l'espace Schengen. A ce titre, Stefan Füle a réitéré la nécessité d'ouvrir le monde pour les jeunes Algériens, en facilitant l'obtention de visas d'entrée dans les pays européens, notamment pour les hommes d'affaires, les universitaires et les représentants de la société civile. "Nous voulons non seulement traiter la mobilité illégale mais aussi la mobilité légale", a affirmé le commissaire européen, non sans souligner la difficulté de cette tâche face à l'intransigeance de certains pays de l'UE.