Le déficit réel du Trésor public se situera entre 10% et 15% en 2011, un ratio beaucoup moins important que les 33,9% prévus dans la LFC pour cette année, a indiqué hier à l'APS Zoubeidi Abdelmalek, directeur général de la prévision au ministère des Finances. "Au niveau prévisionnel nous avons des déficits qui oscillent entre 28% et 33% mais dans la réalité le déficit budgétaire en termes d'exécution devrait se situer entre 10% et 15%", a expliqué M. Zoubeidi. L'écart entre le déficit projeté et celui qui sera atteint en 2011 s'explique par le niveau d'absorption des crédits alloués au budget de l'Etat qui reste relativement au dessus de la moyenne. Actuellement le niveau d'absorption des crédits alloués au titre du budget d'équipement "ne dépasse pas les 60%", avance-t-il. Cette tendance de consommation des crédits à l'investissement public s'est observée durant les trois dernières années où les déficits observés se sont situés entre 11% et 13%, alors que les projections du ministère des Finances étaient beaucoup plus élevées, note ce responsable. En 2010, l'Algérie a enregistré un déficit réel de Trésor de 12% contre 11% en 2009, selon les chiffres fournis par ce responsable. Le déficit réel du Trésor public se situera entre 10% et 15% en 2011, un ratio beaucoup moins important que les 33,9% prévus dans la LFC pour cette année, a indiqué hier à l'APS Zoubeidi Abdelmalek, directeur général de la prévision au ministère des Finances. "Au niveau prévisionnel nous avons des déficits qui oscillent entre 28% et 33% mais dans la réalité le déficit budgétaire en termes d'exécution devrait se situer entre 10% et 15%", a expliqué M. Zoubeidi. L'écart entre le déficit projeté et celui qui sera atteint en 2011 s'explique par le niveau d'absorption des crédits alloués au budget de l'Etat qui reste relativement au dessus de la moyenne. Actuellement le niveau d'absorption des crédits alloués au titre du budget d'équipement "ne dépasse pas les 60%", avance-t-il. Cette tendance de consommation des crédits à l'investissement public s'est observée durant les trois dernières années où les déficits observés se sont situés entre 11% et 13%, alors que les projections du ministère des Finances étaient beaucoup plus élevées, note ce responsable. En 2010, l'Algérie a enregistré un déficit réel de Trésor de 12% contre 11% en 2009, selon les chiffres fournis par ce responsable.