Les parties yéménites devaient signer hier l'accord de sortie de crise au Yémen, proposé par la médiation du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), selon des sources de l'opposition yéménite. Selon ces sources, citées par des médias, le plan du CCG doit être signé par le président Ali Abdallah Saleh et quatre autres membres du parti au pouvoir, le Congrès populaire général (CPG), ainsi que par les représentants des partis de l'opposition. Cette signature interviendra avant le départ du secrétaire général du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) Abdullatif al-Zayani qui était depuis samedi à Sanaa. Le SG du CCG a rencontré lundi soir le président yéménite avec qui il a discuté du plan de sortie de crise au Yémen, proposé par les pays du Golfe, et qui lui a fait part des résultats des négociations qu'il avait eues ces deux derniers jours avec les dirigeants du parti au pouvoir et de la coalition de l'opposition. Le Yémen est le théâtre depuis fin janvier par de manifestations réclamant le départ du président Saleh, au pouvoir depuis 32 ans. Dans une tentative de régler la crise, le CCG, en tant que médiateur, a présenté aux parties en conflit un plan qui prévoit la formation par l'opposition d'un gouvernement de réconciliation et la démission un mois plus tard du président Saleh en échange de son immunité, puis une élection présidentielle dans les 60 jours. Les parties yéménites devaient signer hier l'accord de sortie de crise au Yémen, proposé par la médiation du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), selon des sources de l'opposition yéménite. Selon ces sources, citées par des médias, le plan du CCG doit être signé par le président Ali Abdallah Saleh et quatre autres membres du parti au pouvoir, le Congrès populaire général (CPG), ainsi que par les représentants des partis de l'opposition. Cette signature interviendra avant le départ du secrétaire général du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) Abdullatif al-Zayani qui était depuis samedi à Sanaa. Le SG du CCG a rencontré lundi soir le président yéménite avec qui il a discuté du plan de sortie de crise au Yémen, proposé par les pays du Golfe, et qui lui a fait part des résultats des négociations qu'il avait eues ces deux derniers jours avec les dirigeants du parti au pouvoir et de la coalition de l'opposition. Le Yémen est le théâtre depuis fin janvier par de manifestations réclamant le départ du président Saleh, au pouvoir depuis 32 ans. Dans une tentative de régler la crise, le CCG, en tant que médiateur, a présenté aux parties en conflit un plan qui prévoit la formation par l'opposition d'un gouvernement de réconciliation et la démission un mois plus tard du président Saleh en échange de son immunité, puis une élection présidentielle dans les 60 jours.