Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
«Nous accordons des facilitations de visa pour les opérateurs économiques» Le consul des USA à Alger, Jennifer Noisette, au forum d'affaires algéro-américain
Les participants aux travaux du forum algéro-américain qui a eu lieu jeudi dernier à l'Agence de promotion du commerce extérieur (Algex) ont abordé l'ensemble des questions inhérentes aux conditions d'accès des opérateurs et exportateurs algériens au marché des Etats-Unis d'Amérique et les facilités accordées en matière réglementaire, fiscale et douanière. Les participants aux travaux du forum algéro-américain qui a eu lieu jeudi dernier à l'Agence de promotion du commerce extérieur (Algex) ont abordé l'ensemble des questions inhérentes aux conditions d'accès des opérateurs et exportateurs algériens au marché des Etats-Unis d'Amérique et les facilités accordées en matière réglementaire, fiscale et douanière. Abordant la question de la circulation des hommes d'affaires algériens aux Etats-Unis d'Amérique, le Consul des USA, Mme Jennifer Noisette, a déclaré que « plus de 7.200 visas ont été traités récemment alors que depuis novembre 2009, la durée des visas accordés a une validité de deux années. Cette facilitation dépourvue de bureaucratie et de paperasses vise, notamment, à renforcer la coopération entre les hommes d'affaires américains et les opérateurs économiques algériens ». Les participants aux travaux du forum algéro-américain qui a eu lieu jeudi dernier à l'Agence de promotion du commerce extérieur (Algex) ont abordé l'ensemble des questions inhérentes aux conditions d'accès des opérateurs et exportateurs algériens au marché des Etats-Unis d'Amérique et les facilités accordées en matière réglementaire, fiscale et douanière. Mais d'autres aspects importants ont également été décortiqués, tels que les modalités d'octroi de visa pour les hommes d'affaires prenant part aux différentes manifestations économiques et commerciales (foires, salons internationaux…), ainsi que les opportunités d'exportation de produits algériens dans ce vaste marché où les produits des pays d'Afrique du Nord sont sollicités et bien prisés. Des intervenants ont exprimé la situation de l'administration américaine en matière de contrôle des produits agroalimentaires entrant sur le territoire américain, la présentation des prérogatives, des activités et des objectifs de la Chambre américaine de commerce en Algérie (Amcham) et les missions dévolues à l'autorité américaine chargée de l'alimentation (US food and drug administration). Ainsi, Mohamed Benzerga, président d'Amcham a indiqué que « cette institution créée en 2001 comporte des membres et des sociétés adhérentes algériennes et américaines en relation avec les entreprises américaines. L'objectif essentiel de l'Amcham consiste, notamment, à développer des activités et offrir des services pour la promotion et la diversification des échanges commerciaux, notamment dans l'industrie, le tourisme entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique, tout en développant le partenariat entre les entreprises, sachant que des entreprises américaines travaillent en Algérie dans les secteurs de l'agroalimentaire et des produits pharmaceutiques. Pour sa part, Kurt Seifarth, attaché agricole à l'ambassade des USA à Alger, a présenté un exposé exhaustif de ‘'l'US food and drug administration'' en affirmant que «l'USFDA qui favorise la gestion de l'agriculture et la coopération avec les gouvernements étrangers et les organisations internationales, se charge, notamment de promouvoir la sécurité alimentaire et de la santé publique. Pour a région Moyen-Orient et Afrique du Nord, nous avons un bureau situé à Amman (Jordanie), mais pour ce qui concerne l'Algérie, l'USFDA s'occupe de la coopération et du développement des capacités ». Il précise que « les Etats-Unis d'Amérique ont un certain pourcentage concernant les importations de fruits de l'étranger ». Les observateurs, notamment des membres du Conseil d'affaires algéro-américain, estiment que les produits agricoles algériens sont bien appréciés parmi les consommateurs américains et la communauté émigrée aux USA, notamment pour ce qui est des fruits frais (dattes Deglet Nour…). Le président du Conseil d'affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, a affirmé que « l'USFDA coopère avec les tous les opérateurs, mais elle agit avec une petite bureaucratie, qui est toutefois, surmontable en citant, par exemple, des petits formulaires à remplir. Des produits d'Egypte, du Maroc, du Ghana et du Sénégal sont commercialisés aux USA, mais pourquoi pas les produits algériens qui sont de meilleure qualité et qui ont totalement leur place. Le problème rencontré concerne les voies et les modalités d'accès des produits et des marchandises algériennes sur le marché américain ». Abordant la question de la circulation des hommes d'affaires algériens aux Etats-Unis d'Amérique, le Consul des USA, Mme Jennifer Noisette, a déclaré que « plus de 7.200 visas ont été traités récemment alors que depuis novembre 2009, la durée des visas accordés a une validité de deux années. Cette facilitation dépourvue de bureaucratie et de paperasses vise, notamment, à renforcer la coopération entre les hommes d'affaires américains et les opérateurs économiques algériens ». Les participants aux travaux du forum algéro-américain qui a eu lieu jeudi dernier à l'Agence de promotion du commerce extérieur (Algex) ont abordé l'ensemble des questions inhérentes aux conditions d'accès des opérateurs et exportateurs algériens au marché des Etats-Unis d'Amérique et les facilités accordées en matière réglementaire, fiscale et douanière. Mais d'autres aspects importants ont également été décortiqués, tels que les modalités d'octroi de visa pour les hommes d'affaires prenant part aux différentes manifestations économiques et commerciales (foires, salons internationaux…), ainsi que les opportunités d'exportation de produits algériens dans ce vaste marché où les produits des pays d'Afrique du Nord sont sollicités et bien prisés. Des intervenants ont exprimé la situation de l'administration américaine en matière de contrôle des produits agroalimentaires entrant sur le territoire américain, la présentation des prérogatives, des activités et des objectifs de la Chambre américaine de commerce en Algérie (Amcham) et les missions dévolues à l'autorité américaine chargée de l'alimentation (US food and drug administration). Ainsi, Mohamed Benzerga, président d'Amcham a indiqué que « cette institution créée en 2001 comporte des membres et des sociétés adhérentes algériennes et américaines en relation avec les entreprises américaines. L'objectif essentiel de l'Amcham consiste, notamment, à développer des activités et offrir des services pour la promotion et la diversification des échanges commerciaux, notamment dans l'industrie, le tourisme entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique, tout en développant le partenariat entre les entreprises, sachant que des entreprises américaines travaillent en Algérie dans les secteurs de l'agroalimentaire et des produits pharmaceutiques. Pour sa part, Kurt Seifarth, attaché agricole à l'ambassade des USA à Alger, a présenté un exposé exhaustif de ‘'l'US food and drug administration'' en affirmant que «l'USFDA qui favorise la gestion de l'agriculture et la coopération avec les gouvernements étrangers et les organisations internationales, se charge, notamment de promouvoir la sécurité alimentaire et de la santé publique. Pour a région Moyen-Orient et Afrique du Nord, nous avons un bureau situé à Amman (Jordanie), mais pour ce qui concerne l'Algérie, l'USFDA s'occupe de la coopération et du développement des capacités ». Il précise que « les Etats-Unis d'Amérique ont un certain pourcentage concernant les importations de fruits de l'étranger ». Les observateurs, notamment des membres du Conseil d'affaires algéro-américain, estiment que les produits agricoles algériens sont bien appréciés parmi les consommateurs américains et la communauté émigrée aux USA, notamment pour ce qui est des fruits frais (dattes Deglet Nour…). Le président du Conseil d'affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, a affirmé que « l'USFDA coopère avec les tous les opérateurs, mais elle agit avec une petite bureaucratie, qui est toutefois, surmontable en citant, par exemple, des petits formulaires à remplir. Des produits d'Egypte, du Maroc, du Ghana et du Sénégal sont commercialisés aux USA, mais pourquoi pas les produits algériens qui sont de meilleure qualité et qui ont totalement leur place. Le problème rencontré concerne les voies et les modalités d'accès des produits et des marchandises algériennes sur le marché américain ».