Pas moins de 11 pompes de gaz ont disparues, depuis février dernier, du siège de la direction générale du groupe Sonelgaz à Gué de-Constantine dans la capitale. Ce matériel, dont la valeur est estimée à 440 millions de centimes, était entreposé dans un conteneur avant sa disparition. Pas moins de 11 pompes de gaz ont disparues, depuis février dernier, du siège de la direction générale du groupe Sonelgaz à Gué de-Constantine dans la capitale. Ce matériel, dont la valeur est estimée à 440 millions de centimes, était entreposé dans un conteneur avant sa disparition. C'est suite à un dépôt de plainte, par le premier responsable de l'établissement, que la brigade de gendarmerie de la localité d'Essemar a ouvert une enquête. Les investigations des éléments de la gendarmerie ont mis en cause 13 employés de la direction générale. Il s'agit de plusieurs responsables, de gestionnaires ainsi que des agents de sécurité, qui ont été auditionnés à ce titre. Selon le capitaine Barakat, du bureau de la Police judiciaire relevant du commandement de la Gendarmerie d'Alger, les mis en cause « sont impliqués en raison de négligences et inattention ayant causé la perte d'équipement sensible ». Il convient de noter, dans ce contexte, que le sort de ce matériel demeure toujours inconnu.« Pour le moment, nous ne savons pas encore où se trouve ce matériel (…) l'enquête en cours », afin de résoudre cette enquête et déjouer toute autre tentative, a-t-il indiqué. Concernant les accusés, le responsable a expliqué qu'après leur présentation devant le parquet, le procureur de la République près le tribunal de compétence a adressé des citations directes envers les 13 individus. Le procureur a, à cet effet, ordonné l'ouverture d'une enquête. Commercialisation de psychotropes à Rouiba Les éléments de la gendarmerie de Rouiba ont, vendredi dernier, récupéré une quantité de 160g de kif traité ainsi que 16 boîtes de comprimés hallucinogènes, soit 330 comprimés de 5mg. C'est en effectuant une patrouille le long de la RN 5 que les gendarmes ont interpellé à bord d'un véhiculet, 2 individus en possession d'une petite quantité de kif traité, destinée à la consommation. Poursuivant leur enquête, les services de gendarmerie ont mis la main sur le narcotrafiquant qui « approvisionnait » les deux mis en cause. Apercevant la patrouille des gendarmes le dealer, un repris de justice, a tenté de prendre la fuite mais la vigilance des gendarmes a permis son arrestation et la récupération des 330 comprimés de psychotropes. En outre, la perquisition du domicile du mis en cause a également permis de saisir une autre plaque de kif traité de 10g. Dans le but d'atteindre le cerveau, les enquêteurs de la gendarmerie ont poursuivi leurs investigations qui ont conduit à la découverte du fournisseur. Afin de comprendre qui est dernière cette affaire, le commandant Réda Boukhenfouf, à la tête de la compagnie de gendarmerie de Nous attendons la réponse du laboratoire qui a fabriqué ces comprimés, concernant le lot et sa distribution pour voir, après les 48h supplémentaires de la garde à vue, si les 4 mis en cause seront présentés devant le parquet ». Notons que les 4 mis en cause, dont 2 sont des repris de justice, sont âgés entre 25 et 35 ans et sont sans emploi connu. Le commandant a fait remarquer que : « Le traitement maximal (sous ordonnance médicale) est de 5 boîtes », donc, a-t-il poursuivi « il y a une fuite quelque part ». De son côté, le responsable de la communication de la gendarmerie, le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud, a indiqué que « le premier responsable pourrait être le laboratoire, le distributeur ou même le pharmacien ». Le commandant Boukhenfouf n'a pas voulu donner de précisions quant à la marque des comprimés et le nom du laboratoire mis en cause car, a-t-il expliqué, « l'affaire est toujours en cours ». La mafia du sable utilise de nouvelles techniques « L'accès à Alger étant hermétique, la mafia du sable procède à l'acheminement du sable volé à Boumerdès en le dissimulant dans les bois limitrophes de la capitale. Elle le recharge ensuite dans des sacs et le transporte dans des véhicules légers », a indiqué le chef de la gendarmerie de Rouiba, le commandant Réda Boukhenfouf, lors d'une point de presse tenu hier au siège de sa compagnie. Consciente de cette nouvelle technique la gendarmerie a doublé ses éléments dans les lieux pouvant servir de « dépôts » et a monté d'un cran sa vigilance. Ainsi, agissant sur renseignements, les éléments de la gendarmerie ont procédé à la découverte, dans la localité de Réghaïa, de pas moins de 294 sacs de 30kg ainsi que 21 autres de 50kg et un camion de marque. Cette opération a également permis d'écrouer 3 mis en cause. Le quatrième, quant à lui, est en fuite. Par ailleurs, les gendarmes de la brigade de Bir Mourad-Raïs ont, après une longue poursuite dans la nuit de vendredi à samedi, mis la main sur un camion rempli de sable. Venant de Boumerdès, et poursuivi à partir de Rouiba, le camion a été abandonné à Baba Ali par ses deux passagers. Le lendemain, le propriétaire du camion s'est rendu à la brigade de gendarmerie pour déclarer le vol de son véhicule. Le propriétaire, âgé de 80 ans, était accompagné de ses 4 fils. Après des investigations techniques, les enquêteurs de la gendarmerie ont découvert que 2 de ces fils étaient ceux-là mêmes qui étaient, la veille, à bord du camion abandonné. Les 2 autres fils seraient eux-aussi complices. Agressions, vols avec infraction et port d'armes prohibées 13 arrestations en 10 jours Au cours de ces dix derniers jours, les gendarmes de la localité de Réghaïa ont mis hors d'état de nuire 3 associations de malfaiteurs spécialisées principalement dans les vols et agressions. A l'issue de ces affaires 12 personnes ont été écrouées pour « création d'associations de malfaiteurs, agressions, vols, port d'armes prohibées… ». Selon la Police judiciaire relevant de la Gendarmerie du groupement d'Alger, « la majorité de ces malfaiteurs sont des mineurs ». Outre les arrêtés, un autre mineur a été libéré car, explique-t-on, « il n'a pas d'antécédents judiciaires » Immigration clandestine 19 arrestations en une semaine Les gendarmes de la Section de sécurité et intervention (SSI) du commandement d'Alger ont, au cours de la semaine écoulée, procédé à l'arrestation de 19 Africains pour principalement « séjour irrégulier ». Certains d'entre eux ont été également inculpés pour « usurpation d'identité » « faux et usage de faux ». Rien que pour la localité de Delly Brahim, « fréquentée par les Africains en situation irrégulière » indique la Gendarmerie nationale, 9 Africains dont 4 Congolais, 3 Camerounais et 2 Maliens ont été interpellés lors d'une opération coup-de- poing. C'est suite à un dépôt de plainte, par le premier responsable de l'établissement, que la brigade de gendarmerie de la localité d'Essemar a ouvert une enquête. Les investigations des éléments de la gendarmerie ont mis en cause 13 employés de la direction générale. Il s'agit de plusieurs responsables, de gestionnaires ainsi que des agents de sécurité, qui ont été auditionnés à ce titre. Selon le capitaine Barakat, du bureau de la Police judiciaire relevant du commandement de la Gendarmerie d'Alger, les mis en cause « sont impliqués en raison de négligences et inattention ayant causé la perte d'équipement sensible ». Il convient de noter, dans ce contexte, que le sort de ce matériel demeure toujours inconnu.« Pour le moment, nous ne savons pas encore où se trouve ce matériel (…) l'enquête en cours », afin de résoudre cette enquête et déjouer toute autre tentative, a-t-il indiqué. Concernant les accusés, le responsable a expliqué qu'après leur présentation devant le parquet, le procureur de la République près le tribunal de compétence a adressé des citations directes envers les 13 individus. Le procureur a, à cet effet, ordonné l'ouverture d'une enquête. Commercialisation de psychotropes à Rouiba Les éléments de la gendarmerie de Rouiba ont, vendredi dernier, récupéré une quantité de 160g de kif traité ainsi que 16 boîtes de comprimés hallucinogènes, soit 330 comprimés de 5mg. C'est en effectuant une patrouille le long de la RN 5 que les gendarmes ont interpellé à bord d'un véhiculet, 2 individus en possession d'une petite quantité de kif traité, destinée à la consommation. Poursuivant leur enquête, les services de gendarmerie ont mis la main sur le narcotrafiquant qui « approvisionnait » les deux mis en cause. Apercevant la patrouille des gendarmes le dealer, un repris de justice, a tenté de prendre la fuite mais la vigilance des gendarmes a permis son arrestation et la récupération des 330 comprimés de psychotropes. En outre, la perquisition du domicile du mis en cause a également permis de saisir une autre plaque de kif traité de 10g. Dans le but d'atteindre le cerveau, les enquêteurs de la gendarmerie ont poursuivi leurs investigations qui ont conduit à la découverte du fournisseur. Afin de comprendre qui est dernière cette affaire, le commandant Réda Boukhenfouf, à la tête de la compagnie de gendarmerie de Nous attendons la réponse du laboratoire qui a fabriqué ces comprimés, concernant le lot et sa distribution pour voir, après les 48h supplémentaires de la garde à vue, si les 4 mis en cause seront présentés devant le parquet ». Notons que les 4 mis en cause, dont 2 sont des repris de justice, sont âgés entre 25 et 35 ans et sont sans emploi connu. Le commandant a fait remarquer que : « Le traitement maximal (sous ordonnance médicale) est de 5 boîtes », donc, a-t-il poursuivi « il y a une fuite quelque part ». De son côté, le responsable de la communication de la gendarmerie, le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud, a indiqué que « le premier responsable pourrait être le laboratoire, le distributeur ou même le pharmacien ». Le commandant Boukhenfouf n'a pas voulu donner de précisions quant à la marque des comprimés et le nom du laboratoire mis en cause car, a-t-il expliqué, « l'affaire est toujours en cours ». La mafia du sable utilise de nouvelles techniques « L'accès à Alger étant hermétique, la mafia du sable procède à l'acheminement du sable volé à Boumerdès en le dissimulant dans les bois limitrophes de la capitale. Elle le recharge ensuite dans des sacs et le transporte dans des véhicules légers », a indiqué le chef de la gendarmerie de Rouiba, le commandant Réda Boukhenfouf, lors d'une point de presse tenu hier au siège de sa compagnie. Consciente de cette nouvelle technique la gendarmerie a doublé ses éléments dans les lieux pouvant servir de « dépôts » et a monté d'un cran sa vigilance. Ainsi, agissant sur renseignements, les éléments de la gendarmerie ont procédé à la découverte, dans la localité de Réghaïa, de pas moins de 294 sacs de 30kg ainsi que 21 autres de 50kg et un camion de marque. Cette opération a également permis d'écrouer 3 mis en cause. Le quatrième, quant à lui, est en fuite. Par ailleurs, les gendarmes de la brigade de Bir Mourad-Raïs ont, après une longue poursuite dans la nuit de vendredi à samedi, mis la main sur un camion rempli de sable. Venant de Boumerdès, et poursuivi à partir de Rouiba, le camion a été abandonné à Baba Ali par ses deux passagers. Le lendemain, le propriétaire du camion s'est rendu à la brigade de gendarmerie pour déclarer le vol de son véhicule. Le propriétaire, âgé de 80 ans, était accompagné de ses 4 fils. Après des investigations techniques, les enquêteurs de la gendarmerie ont découvert que 2 de ces fils étaient ceux-là mêmes qui étaient, la veille, à bord du camion abandonné. Les 2 autres fils seraient eux-aussi complices. Agressions, vols avec infraction et port d'armes prohibées 13 arrestations en 10 jours Au cours de ces dix derniers jours, les gendarmes de la localité de Réghaïa ont mis hors d'état de nuire 3 associations de malfaiteurs spécialisées principalement dans les vols et agressions. A l'issue de ces affaires 12 personnes ont été écrouées pour « création d'associations de malfaiteurs, agressions, vols, port d'armes prohibées… ». Selon la Police judiciaire relevant de la Gendarmerie du groupement d'Alger, « la majorité de ces malfaiteurs sont des mineurs ». Outre les arrêtés, un autre mineur a été libéré car, explique-t-on, « il n'a pas d'antécédents judiciaires » Immigration clandestine 19 arrestations en une semaine Les gendarmes de la Section de sécurité et intervention (SSI) du commandement d'Alger ont, au cours de la semaine écoulée, procédé à l'arrestation de 19 Africains pour principalement « séjour irrégulier ». Certains d'entre eux ont été également inculpés pour « usurpation d'identité » « faux et usage de faux ». Rien que pour la localité de Delly Brahim, « fréquentée par les Africains en situation irrégulière » indique la Gendarmerie nationale, 9 Africains dont 4 Congolais, 3 Camerounais et 2 Maliens ont été interpellés lors d'une opération coup-de- poing.