Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi-Saïd, a déclaré, hier, à Bordj Bou Arreridj, que les ports et les aéroports algériens "ne seront jamais privatisés". Présidant le 6e congrès de wilaya de la centrale syndicale, M. Sidi-Saïd a tenu à "démentir avec force toutes les informations qui circulent actuellement concernant la privatisation des aéroports et des ports algériens". La "règle des 51/49 qui garantit au pays de rester toujours majoritaire dans les projets de partenariat avec des étrangers a été réaffirmée par les autorités algériennes", a ajouté le secrétaire général de l'UGTA, soulignant que le pays "ne cédera aucun de ses secteurs stratégiques". Il a, par ailleurs, indiqué, rapporte l'APS, que 400 entreprises publiques "verront toutes leurs dettes effacées sur instruction du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et disposeront toutes d'un budget qui sera accordé dans le cadre de leur déploiement pour garantir l'emploi et la préservation de 500.000 postes de travail". M. Sidi Said a exhibé, dans ce contexte, à l'attention de l'assistance, les premières décisions signées par le chef de l'Etat, portant effacement total des dettes de 22 entreprises publiques de l'industrie du bois, de 15 entreprises de confection et d'habillement et de 10 entreprises de l'industrie du cuir. Pour le SG de l'UGTA, "pas moins de 20.000 postes de travail viennent d'être sauvés grâce à ces décisions qui donneront un nouveau souffle à l'économie nationale". Pointant du doigt les "importateurs de produits, lesquels produits sont fabriqués en Algérie", M. Sidi Said a souligné que ces derniers "font tout sauf créer de l'emploi pour les Algériens". «Nous sommes pour une politique de protection des entreprises nationales, publiques ou privées, comme celle menée, ces dernières années dans un contexte de crise mondiale, par les pays développés, à l'image des Etats-Unis d'Amérique, pays capitaliste par excellence, qui a injecté plus de 400 milliards de dollars pour réactiver son économie", a-t-il ajouté dans ce contexte. Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi-Saïd, a déclaré, hier, à Bordj Bou Arreridj, que les ports et les aéroports algériens "ne seront jamais privatisés". Présidant le 6e congrès de wilaya de la centrale syndicale, M. Sidi-Saïd a tenu à "démentir avec force toutes les informations qui circulent actuellement concernant la privatisation des aéroports et des ports algériens". La "règle des 51/49 qui garantit au pays de rester toujours majoritaire dans les projets de partenariat avec des étrangers a été réaffirmée par les autorités algériennes", a ajouté le secrétaire général de l'UGTA, soulignant que le pays "ne cédera aucun de ses secteurs stratégiques". Il a, par ailleurs, indiqué, rapporte l'APS, que 400 entreprises publiques "verront toutes leurs dettes effacées sur instruction du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et disposeront toutes d'un budget qui sera accordé dans le cadre de leur déploiement pour garantir l'emploi et la préservation de 500.000 postes de travail". M. Sidi Said a exhibé, dans ce contexte, à l'attention de l'assistance, les premières décisions signées par le chef de l'Etat, portant effacement total des dettes de 22 entreprises publiques de l'industrie du bois, de 15 entreprises de confection et d'habillement et de 10 entreprises de l'industrie du cuir. Pour le SG de l'UGTA, "pas moins de 20.000 postes de travail viennent d'être sauvés grâce à ces décisions qui donneront un nouveau souffle à l'économie nationale". Pointant du doigt les "importateurs de produits, lesquels produits sont fabriqués en Algérie", M. Sidi Said a souligné que ces derniers "font tout sauf créer de l'emploi pour les Algériens". «Nous sommes pour une politique de protection des entreprises nationales, publiques ou privées, comme celle menée, ces dernières années dans un contexte de crise mondiale, par les pays développés, à l'image des Etats-Unis d'Amérique, pays capitaliste par excellence, qui a injecté plus de 400 milliards de dollars pour réactiver son économie", a-t-il ajouté dans ce contexte.