Aucune des 1.541 communes que compte le pays ne devrait être déficitaire durant l'année en cours, un "exploit" réalisé notamment grâce à la "solidarité fiscale" engagée par les autorités publiques depuis plus de vingt ans, a indiqué hier à Alger le Directeur des finances locales au ministère de l'Intérieur, M. Kerri Azzedine. «Nous prévoyons zéro déficit (budgétaire communal, ndlr) en 2011 contre 14 communes déficitaires en 2010 et environ 1.300 communes à la fin des années 80. C'est un exploit jamais réalisé depuis l'indépendance", a souligné M. Kerri au forum d'El Moudjahid. L'année dernière, "l'ensemble du déficit enregistré par 14 communes à travers le pays, estimé à 135 milliards DA, a été couvert grâce au recours au Fonds commun des collectivités locales (FCCL)», a-t-il précisé. Le FCCL, créé en 1986 pour faire face aux énormes difficultés financières "structurelles" auxquelles étaient confrontées les APC à l'époque, est alimenté par un prélèvement de 2% des recettes fiscales affectées aux communes. Interrogé sur les disponibilités actuelles de ce fonds, le responsable s'est contenté d'assurer qu'elles "sont suffisantes pour dix ans". Aucune des 1.541 communes que compte le pays ne devrait être déficitaire durant l'année en cours, un "exploit" réalisé notamment grâce à la "solidarité fiscale" engagée par les autorités publiques depuis plus de vingt ans, a indiqué hier à Alger le Directeur des finances locales au ministère de l'Intérieur, M. Kerri Azzedine. «Nous prévoyons zéro déficit (budgétaire communal, ndlr) en 2011 contre 14 communes déficitaires en 2010 et environ 1.300 communes à la fin des années 80. C'est un exploit jamais réalisé depuis l'indépendance", a souligné M. Kerri au forum d'El Moudjahid. L'année dernière, "l'ensemble du déficit enregistré par 14 communes à travers le pays, estimé à 135 milliards DA, a été couvert grâce au recours au Fonds commun des collectivités locales (FCCL)», a-t-il précisé. Le FCCL, créé en 1986 pour faire face aux énormes difficultés financières "structurelles" auxquelles étaient confrontées les APC à l'époque, est alimenté par un prélèvement de 2% des recettes fiscales affectées aux communes. Interrogé sur les disponibilités actuelles de ce fonds, le responsable s'est contenté d'assurer qu'elles "sont suffisantes pour dix ans".