La JS Kabylie, sans avoir eu le temps d'oublier ses déboires en championnat national, renoue de nouveau avec la compétition continentale en disputant ce soir au stade Dempa Diop situé au centre de la capitale sénégalaise, Dakar à partir de 18h Le match aller des 1/8 de finale (bis) de la Coupe de la CAF contre l'AFSC Jaraaf du Sénégal. Une partie à ne pas rater pour les Canaris qui espèrent se racheter dans cette compétition africaine en arrachant un bon résultat à Dakar, afin de disputer quinze jours après le match retour en toute sérénité, au stade du 1er -Novembre de Tizi-Ouzou. La JS Kabylie, sans avoir eu le temps d'oublier ses déboires en championnat national, renoue de nouveau avec la compétition continentale en disputant ce soir au stade Dempa Diop situé au centre de la capitale sénégalaise, Dakar à partir de 18h Le match aller des 1/8 de finale (bis) de la Coupe de la CAF contre l'AFSC Jaraaf du Sénégal. Une partie à ne pas rater pour les Canaris qui espèrent se racheter dans cette compétition africaine en arrachant un bon résultat à Dakar, afin de disputer quinze jours après le match retour en toute sérénité, au stade du 1er -Novembre de Tizi-Ouzou. Ce rendez-vous, les Canaris le perçoivent sous le signe du défi après leur série de mauvais résultats en championnat, dû essentiellement au programme infernal imposé par la ligue nationale de football dont le dernier était mardi passé face à l'ASO Chlef. Les Kabyles sont prêts à se dépenser sans compter pour réussir un résultat positif aujourd'hui qui leur permettrait de poursuivre le chemin de la saga africaine, le seul objectif qui reste d'ailleurs, puisqu' ils n'ont plus le cœur au championnat. Si la bataille contre cet adversaire sénégalais s'annonce très rude, le bon résultat n'en sera que plus beau pour les poulains de Rachid Belhout, qui affichent, en dépit des difficultés, une détermination sans faille pour réparer, par leur seule volonté, les lacunes commises en championnat. Une fois sur place, les Kabyles ont droit à deux séances d'entrainement, la première a été effectuée jeudi alors que la deuxième est prévue pour hier vendredi à l'heure du match, au stade Dempa Diop. En jouant, cette fois, sur leur vraie valeur, les coéquipiers de Malek Asselah gardent intactes leur chances d'effectuer une bonne prestation, même si les déplacements en Afrique noire restent périlleux non seulement pour le club kabyle, mais également pour tous les représentants algériens. En faisant surtout confiance à ses vraies capacités, la JS Kabylie pourra tourner cette situation délicate en sa faveur et réaliser l'exploit escompté. Elle ne manque pas d'expérience dans ce genre de confrontations d'envergure pour se surpasser et rebondir dans cette joute africaine et retrouver de ce fait une année plus tard la phase des poules. Certes, à ce niveau de la compétition continentale la mission n'est pas aisée, mais elle n'est pas non plus impossible pour les Canaris connus pour leur hargne et leur esprit revanchard à se transcender face aux situations pareilles. Outre les mauvais souvenirs en championnat et ce déplacement périlleux, les fans de cette formation du Djurdjura peuvent regretter encore une fois l'absence du baroudeur Farès Hamiti dans cette compétition africaine, qui aurait pu apporter un plus indéniable à la charnière offensive qui devra se passer cette fois des services de Nassim Oussalah et Kouceïla Berchiche suspendus ainsi que Khellili, le Malgache, Ibrahim Amad, Choukri et les frères Meftah pas encore qualifiés ainsi que du milieu du terrain Saâd Tedjar, même si certaines informations ont laissé entendre que la décision sur sa participation sera prise la veille du match. Avec tout ce qui va entourer cette rencontre qu'abritera la pelouse synthétique du stade Dempa Diop, les Algériens doivent se focaliser uniquement sur leur sujet en appliquant à la lettre les consignes du coach. En tout cas, le jeu sénégalais n'est pas une nouveauté pour les clubs algériens notamment pour cette formation kabyle qui a joué avec pas mal de clubs sénégalais par le passé, à l'image de Djoliba Bamako que dirige actuellement l'Algérien Ait Abdelmalek et tant d'autres. Dans ce genre de rendez-vous, l'équipe algérienne, comme l'ont confirmé plusieurs techniciens algériens, doit mettre en place une tactique très avancée et jouer dès l'entame de la rencontre le pressing cela sèmera le doute chez l'adversaire. Avec son jeu offensif, la JSK pourra revenir au bercail avec un résultat probant qui lui permettra de chasser le doute et espérer maintenir le rêve jusqu'au bout. Le coach de la JS Kabylie se dit serein Le coach de la JS Kabylie, Rachid Belhout, ne semblait pas inquiet par l'absence de plusieurs joueurs et attend sereinement le match aller prévu samedi contre le Jaraaf de Dakar comptant pour les huitièmes de finales (bis) de la coupe de la Confédération africaine de football (CAF). Le représentant algérien dans cette compétition se trouve en effet dans la capitale sénégalaise avec seulement 15 joueurs, dont trois gardiens, que Belhout engagera lors de cette rencontre, en procédant au "changement du dispositif tactique habituel" pour combler ce grand vide et éviter le pire face au Jaraaf. "Je suis serein à la veille de cette rencontre malgré le handicap des absences au sein de mon équipe. Nous allons jouer pour obtenir un résultat positif en évitant de tomber dans la logique de limiter les dégâts", a déclaré le coach de la JSK après une première séance d'entraînement à Dakar. Amoindrie de plusieurs éléments à cause de diverses raisons notamment pour blessure, suspension et non qualification par la CAF, l'équipe algérienne, a-t-il ajouté, "n'a pas de craintes et jouera le tout pour le tout contre le Jaraaf, une équipe solide". En technicien averti, Belhout ne néglige nullement la forme affichée par l'adversaire à la veille de ce rendez-vous continental. Le Jaraaf poursuit, en effet, sa progression dans le championnat de la Ligue professionnelle du Sénégal, en occupant actuellement la 3e place. "Nous sommes conscients de la réalité. Mais nous allons user de toutes nos armes en observant la prudence. Si nous gagnerons, ça va être bon pour le moral, si on perd, ça veut dire qu'on ne peut aller au-delà de ce tour avec l'effectif disponible", a également déclaré M. Belhout.Après avoir tiré les enseignements nécessaires des deux précédents matchs de la coupe de la coupe de la CAF lors desquels l'équipe souffrait également d'un manque d'effectif, l'entraîneur Belhout a, toutefois, reconnu que cette situation lui donne des "soucis". Mais revenant à la logique sportive, Belhout a répété qu'"il ne faut pas trop s'inquiéter", car ça, "n'est qu'un match de football dont le résultat sera décidé sur le terrain", signalant, dans le même contexte, "l'ambiance décontractée au sein du groupe". Interrogé que d'autres éventuels facteurs qui pourraient influer sur le cours du match, le technicien Belhout a indiqué que les mêmes conditions, telles que la chaleur et l'humidité, seront valables pour les deux équipes. Mais le mauvais état de terrain constitue une préoccupation et gênerait l'évolution des deux clubs, selon le coach de la JSK dont les joueurs, a-t-il souligné, "doivent être prudents et passer à l'action" en fonction du schéma technico-tactique révisé. La deuxième et dernière séance d'entraînement de la JSK est prévue aujourd'hui (vendredi) sur la pelouse en gazon synthétique du stade devant abriter la rencontre dont le coup d'envoi a été avancé pour 16h30 au lieu de 17h comme prévu initialement. Par ailleurs, du côté du Jaraaf de Dakar, qui a mis, avec l'aide des pouvoirs publics, les moyens nécessaires pour réaliser un bon résultat, le staff technique est convaincu que "l'équipe n'a pas d'autre choix que de gagner contre la JSK". Ce rendez-vous, les Canaris le perçoivent sous le signe du défi après leur série de mauvais résultats en championnat, dû essentiellement au programme infernal imposé par la ligue nationale de football dont le dernier était mardi passé face à l'ASO Chlef. Les Kabyles sont prêts à se dépenser sans compter pour réussir un résultat positif aujourd'hui qui leur permettrait de poursuivre le chemin de la saga africaine, le seul objectif qui reste d'ailleurs, puisqu' ils n'ont plus le cœur au championnat. Si la bataille contre cet adversaire sénégalais s'annonce très rude, le bon résultat n'en sera que plus beau pour les poulains de Rachid Belhout, qui affichent, en dépit des difficultés, une détermination sans faille pour réparer, par leur seule volonté, les lacunes commises en championnat. Une fois sur place, les Kabyles ont droit à deux séances d'entrainement, la première a été effectuée jeudi alors que la deuxième est prévue pour hier vendredi à l'heure du match, au stade Dempa Diop. En jouant, cette fois, sur leur vraie valeur, les coéquipiers de Malek Asselah gardent intactes leur chances d'effectuer une bonne prestation, même si les déplacements en Afrique noire restent périlleux non seulement pour le club kabyle, mais également pour tous les représentants algériens. En faisant surtout confiance à ses vraies capacités, la JS Kabylie pourra tourner cette situation délicate en sa faveur et réaliser l'exploit escompté. Elle ne manque pas d'expérience dans ce genre de confrontations d'envergure pour se surpasser et rebondir dans cette joute africaine et retrouver de ce fait une année plus tard la phase des poules. Certes, à ce niveau de la compétition continentale la mission n'est pas aisée, mais elle n'est pas non plus impossible pour les Canaris connus pour leur hargne et leur esprit revanchard à se transcender face aux situations pareilles. Outre les mauvais souvenirs en championnat et ce déplacement périlleux, les fans de cette formation du Djurdjura peuvent regretter encore une fois l'absence du baroudeur Farès Hamiti dans cette compétition africaine, qui aurait pu apporter un plus indéniable à la charnière offensive qui devra se passer cette fois des services de Nassim Oussalah et Kouceïla Berchiche suspendus ainsi que Khellili, le Malgache, Ibrahim Amad, Choukri et les frères Meftah pas encore qualifiés ainsi que du milieu du terrain Saâd Tedjar, même si certaines informations ont laissé entendre que la décision sur sa participation sera prise la veille du match. Avec tout ce qui va entourer cette rencontre qu'abritera la pelouse synthétique du stade Dempa Diop, les Algériens doivent se focaliser uniquement sur leur sujet en appliquant à la lettre les consignes du coach. En tout cas, le jeu sénégalais n'est pas une nouveauté pour les clubs algériens notamment pour cette formation kabyle qui a joué avec pas mal de clubs sénégalais par le passé, à l'image de Djoliba Bamako que dirige actuellement l'Algérien Ait Abdelmalek et tant d'autres. Dans ce genre de rendez-vous, l'équipe algérienne, comme l'ont confirmé plusieurs techniciens algériens, doit mettre en place une tactique très avancée et jouer dès l'entame de la rencontre le pressing cela sèmera le doute chez l'adversaire. Avec son jeu offensif, la JSK pourra revenir au bercail avec un résultat probant qui lui permettra de chasser le doute et espérer maintenir le rêve jusqu'au bout. Le coach de la JS Kabylie se dit serein Le coach de la JS Kabylie, Rachid Belhout, ne semblait pas inquiet par l'absence de plusieurs joueurs et attend sereinement le match aller prévu samedi contre le Jaraaf de Dakar comptant pour les huitièmes de finales (bis) de la coupe de la Confédération africaine de football (CAF). Le représentant algérien dans cette compétition se trouve en effet dans la capitale sénégalaise avec seulement 15 joueurs, dont trois gardiens, que Belhout engagera lors de cette rencontre, en procédant au "changement du dispositif tactique habituel" pour combler ce grand vide et éviter le pire face au Jaraaf. "Je suis serein à la veille de cette rencontre malgré le handicap des absences au sein de mon équipe. Nous allons jouer pour obtenir un résultat positif en évitant de tomber dans la logique de limiter les dégâts", a déclaré le coach de la JSK après une première séance d'entraînement à Dakar. Amoindrie de plusieurs éléments à cause de diverses raisons notamment pour blessure, suspension et non qualification par la CAF, l'équipe algérienne, a-t-il ajouté, "n'a pas de craintes et jouera le tout pour le tout contre le Jaraaf, une équipe solide". En technicien averti, Belhout ne néglige nullement la forme affichée par l'adversaire à la veille de ce rendez-vous continental. Le Jaraaf poursuit, en effet, sa progression dans le championnat de la Ligue professionnelle du Sénégal, en occupant actuellement la 3e place. "Nous sommes conscients de la réalité. Mais nous allons user de toutes nos armes en observant la prudence. Si nous gagnerons, ça va être bon pour le moral, si on perd, ça veut dire qu'on ne peut aller au-delà de ce tour avec l'effectif disponible", a également déclaré M. Belhout.Après avoir tiré les enseignements nécessaires des deux précédents matchs de la coupe de la coupe de la CAF lors desquels l'équipe souffrait également d'un manque d'effectif, l'entraîneur Belhout a, toutefois, reconnu que cette situation lui donne des "soucis". Mais revenant à la logique sportive, Belhout a répété qu'"il ne faut pas trop s'inquiéter", car ça, "n'est qu'un match de football dont le résultat sera décidé sur le terrain", signalant, dans le même contexte, "l'ambiance décontractée au sein du groupe". Interrogé que d'autres éventuels facteurs qui pourraient influer sur le cours du match, le technicien Belhout a indiqué que les mêmes conditions, telles que la chaleur et l'humidité, seront valables pour les deux équipes. Mais le mauvais état de terrain constitue une préoccupation et gênerait l'évolution des deux clubs, selon le coach de la JSK dont les joueurs, a-t-il souligné, "doivent être prudents et passer à l'action" en fonction du schéma technico-tactique révisé. La deuxième et dernière séance d'entraînement de la JSK est prévue aujourd'hui (vendredi) sur la pelouse en gazon synthétique du stade devant abriter la rencontre dont le coup d'envoi a été avancé pour 16h30 au lieu de 17h comme prévu initialement. Par ailleurs, du côté du Jaraaf de Dakar, qui a mis, avec l'aide des pouvoirs publics, les moyens nécessaires pour réaliser un bon résultat, le staff technique est convaincu que "l'équipe n'a pas d'autre choix que de gagner contre la JSK".