Depuis le début des consultations qui entament leur deuxième semaine, plusieurs délégations de partis politiques, des personnalités nationales et des représentants de la société civile ont été reçus. Depuis le début des consultations qui entament leur deuxième semaine, plusieurs délégations de partis politiques, des personnalités nationales et des représentants de la société civile ont été reçus. Hier, c'était au tour des partis politiques, l'Alliance nationale républicaine (ANR), représenté par son vice-président, Amar Lounis et le Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem avec son chef de file Kamel Bensalem, le militant des droits de l'Homme, Miloud Brahimi et l'ancien bâtonnier, Reda Boudiaf de se présenter devant l'Instance de consultations représentée par son président, Abdelkader Bensalah, assisté de Mohamed Touati et Mohamed Ali Boughazi. Pour le moment, l'Instance de consultations sur les réformes politiques s'est déclarée, hier, par la voix de son porte-parole, "satisfaite" du bon déroulement des consultations politiques, entamées il y a une semaine jour pour jour. Dans sa première déclaration à la presse depuis le début de ces auditions, Mohamed Ali Boughazi a mis en exergue la « contribution » des partis politiques, des personnalités nationales et des représentants de la société civile conviés, jusqu'à présent, à ces rencontres. Il a par ailleurs précisé qu' « Il est nécessaire de ne pas confondre les attributions de cette Instance, chargée par le président de la République de mener des consultations politiques, avec l'ancienne commission nationale du dialogue » avec les partis politiques, a tenu à préciser d'emblée Boughazi qui a précisé également que « les critères auxquels s'est référé l'Instance pour convier différents acteurs à ces consultations, répondent à des considérations juridiques, politiques et nationales ». Les critères qui motivent chaque invitation à participer aux consultations s'appliquent aussi aux personnalités publiques dont la « contribution » et « l'influence » sont reconnues dans les domaines des droits de l'Homme, de la culture et de la religion, a encore expliqué le porte-parole de l'Instance. Il a rappelé également que les principaux thèmes abordés lors de ces rencontres tournaient autour de la révision de la Constitution, les lois sur les partis politiques et les élections, le code de l'information ainsi que la participation de la femme à la vie politique. Le premier hôte à être reçu par l'Instance fut la délégation du Parti du renouveau algérien (PRA) conduite par Kamel Bensalem, secrétaire général du parti. À l'issue de l'entrevue il fera une déclaration à la presse. Pour le PRA « les élections législatives prévues en 2012 devraient constituer la première étapedes réformes politiques ». Pour peu, a-t-il dit, que ces élections « soient démocratiques et se déroulent dans la transparence avec un taux de participation important », estimant que « les législatives étant intimement liées aux réformes politiques, la classe politique suit avec beaucoup d'intérêt les résultats qui découleront des amendements de la loi sur les partis et la loi électorale ». Il a ainsi appelé à abroger les articles 82 et 192 de la loi électorale en vigueur, lesquels « marginalisent plusieurs partis », suggérant des amendements profonds de la Constitution, à même de répondre aux attentes et aspirations du peuple et de la classe politique. Il a appelé par ailleurs, à l'ouverture du champ audiovisuel et une couverture médiatique « équitable » pour l'ensemble des partis et des acteurs politiques, notamment, a-t-il précisé, de la part de la Télévision nationale. Le second hôte, le vice-président de l'Alliance nationale républicaine (ANR), Amar Lounis, lui, a appelé les pouvoirs publics à « reconnaître » les partis politiques remplissant les conditions leur permettant de prétendre à l'agrément. Il a ainsi exprimé la « solidarité » de l'ANR avec ces partis qui attendent leur agrément, estimant en outre, qu'il est temps de prendre « rapidement » des mesures à même de « rassurer la jeunesse, en particulier, et le peuple algérien, en général ». Il a par ailleurs, insisté sur le « rôle » de la femme au sein des partis politiques et des organisations de la société civile. L'après-midi a été consacré au militant des droits de l'homme, Me Miloud Brahimi, et l'ancien bâtonnier, Me Reda Boudiaf. Rappelons qu'au terme de ces consultations, qui se poursuivront jusqu'à la fin du mois de juin prochain, un rapport final détaillé, reflétant fidèlement les avis et les propositions émis par les participants, sera soumis au président de la République. Les propositions seront ensuite présentées au gouvernement qui élaborera, sur cette base, des projets de loi qui seront soumis à l'Assemblée populaire nationale en septembre prochain. Hier, c'était au tour des partis politiques, l'Alliance nationale républicaine (ANR), représenté par son vice-président, Amar Lounis et le Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem avec son chef de file Kamel Bensalem, le militant des droits de l'Homme, Miloud Brahimi et l'ancien bâtonnier, Reda Boudiaf de se présenter devant l'Instance de consultations représentée par son président, Abdelkader Bensalah, assisté de Mohamed Touati et Mohamed Ali Boughazi. Pour le moment, l'Instance de consultations sur les réformes politiques s'est déclarée, hier, par la voix de son porte-parole, "satisfaite" du bon déroulement des consultations politiques, entamées il y a une semaine jour pour jour. Dans sa première déclaration à la presse depuis le début de ces auditions, Mohamed Ali Boughazi a mis en exergue la « contribution » des partis politiques, des personnalités nationales et des représentants de la société civile conviés, jusqu'à présent, à ces rencontres. Il a par ailleurs précisé qu' « Il est nécessaire de ne pas confondre les attributions de cette Instance, chargée par le président de la République de mener des consultations politiques, avec l'ancienne commission nationale du dialogue » avec les partis politiques, a tenu à préciser d'emblée Boughazi qui a précisé également que « les critères auxquels s'est référé l'Instance pour convier différents acteurs à ces consultations, répondent à des considérations juridiques, politiques et nationales ». Les critères qui motivent chaque invitation à participer aux consultations s'appliquent aussi aux personnalités publiques dont la « contribution » et « l'influence » sont reconnues dans les domaines des droits de l'Homme, de la culture et de la religion, a encore expliqué le porte-parole de l'Instance. Il a rappelé également que les principaux thèmes abordés lors de ces rencontres tournaient autour de la révision de la Constitution, les lois sur les partis politiques et les élections, le code de l'information ainsi que la participation de la femme à la vie politique. Le premier hôte à être reçu par l'Instance fut la délégation du Parti du renouveau algérien (PRA) conduite par Kamel Bensalem, secrétaire général du parti. À l'issue de l'entrevue il fera une déclaration à la presse. Pour le PRA « les élections législatives prévues en 2012 devraient constituer la première étapedes réformes politiques ». Pour peu, a-t-il dit, que ces élections « soient démocratiques et se déroulent dans la transparence avec un taux de participation important », estimant que « les législatives étant intimement liées aux réformes politiques, la classe politique suit avec beaucoup d'intérêt les résultats qui découleront des amendements de la loi sur les partis et la loi électorale ». Il a ainsi appelé à abroger les articles 82 et 192 de la loi électorale en vigueur, lesquels « marginalisent plusieurs partis », suggérant des amendements profonds de la Constitution, à même de répondre aux attentes et aspirations du peuple et de la classe politique. Il a appelé par ailleurs, à l'ouverture du champ audiovisuel et une couverture médiatique « équitable » pour l'ensemble des partis et des acteurs politiques, notamment, a-t-il précisé, de la part de la Télévision nationale. Le second hôte, le vice-président de l'Alliance nationale républicaine (ANR), Amar Lounis, lui, a appelé les pouvoirs publics à « reconnaître » les partis politiques remplissant les conditions leur permettant de prétendre à l'agrément. Il a ainsi exprimé la « solidarité » de l'ANR avec ces partis qui attendent leur agrément, estimant en outre, qu'il est temps de prendre « rapidement » des mesures à même de « rassurer la jeunesse, en particulier, et le peuple algérien, en général ». Il a par ailleurs, insisté sur le « rôle » de la femme au sein des partis politiques et des organisations de la société civile. L'après-midi a été consacré au militant des droits de l'homme, Me Miloud Brahimi, et l'ancien bâtonnier, Me Reda Boudiaf. Rappelons qu'au terme de ces consultations, qui se poursuivront jusqu'à la fin du mois de juin prochain, un rapport final détaillé, reflétant fidèlement les avis et les propositions émis par les participants, sera soumis au président de la République. Les propositions seront ensuite présentées au gouvernement qui élaborera, sur cette base, des projets de loi qui seront soumis à l'Assemblée populaire nationale en septembre prochain.