Le rythme annuel d'inflation a atteint 3,9% au mois d'avril 2011, enregistrant une légère hausse due à une variation modérée des prix à la consommation. Le rythme annuel d'inflation a atteint 3,9% au mois d'avril 2011, enregistrant une légère hausse due à une variation modérée des prix à la consommation. L'indice des prix à la consommation a connu au mois d'avril 2011 une variation modérée de +0,1% qui reste de moindre ampleur par rapport à celle observée un mois auparavant (+0,7%), mais en légère hausse par rapport au même mois de l'année dernière qui s'est caractérisé par une baisse (0,9%), précise l'Office national des statistiques (ONS) dans un bilan publié, hier. Cette évolution mensuelle, qui intervient après des hausses relatives enregistrées les deux derniers mois (mars et février) avec respectivement 0,7% et +0,5% et la même observée en janvier dernier (0,1%), traduit les fluctuations des prix des différentes catégories de produits. Les prix des biens alimentaires ont augmenté de 0,1% en avril 2011 et par rapport à mars, en raison d'un relèvement des prix des produits agricoles frais (+0,3%) et de certains produits, notamment les légumes frais (+2,2 %), selon l'ONS, qui relève par contre des baisses de certains produits notamment la pomme de terre (-9,5%), et la volaille et œufs (-0,7%). En revanche, l'office relève une légère baisse (0,1%) pour les produits industriels, due principalement à la baisse des prix des sucres (-2,09%) et les huiles et graisses (-0,01%). Par contre, les produits manufacturés et ceux des services ont augmenté respectivement de 0,2% et 0,1%, précise l'ONS. En avril 2011 et par rapport au même mois de l'année écoulée, la hausse des prix à la consommation est de 4,5%, avec une progression de 4,3% pour les produits alimentaires, dont 8,1% pour les produits agricoles frais et 1,3% pour les produits industriels. Les biens manufacturés ont augmenté de 5,4% en avril dernier par rapport au même mois de 2010, ainsi que les services avec une hausse de près de 3,2%, indique l'office. Par ailleurs, l'évolution des prix à la consommation durant les quatre premiers mois 2011 se situe à 3,7%. Toutes les catégories de produits ont enregistré des hausses, soit 2,9% pour les biens alimentaires, dont 3,4% pour les produits agricoles frais et 2,5% pour les produits alimentaires industriels. Les biens manufacturés ont connu une hausse de plus de 5% durant les quatre premiers mois 2011 par rapport à la même période de référence de 2010, ainsi que les services avec près de 3%, précise l'organisme des statistiques. En 2010, le taux d'inflation était de 3,9%, en deçà de celui de 2009 (5,7%) et légèrement supérieur à celui prévu par la loi de finances 2010 (3,5%). L'Algérie devrait clôturer l'année 2011 avec un taux d'inflation inférieur par rapport à celui enregistré en 2009, avait déclaré le ministre des Finances, Karim Djoudi. "L'inflation sera inférieure à celle de 2009, alors que le risque de poussée inflationniste projetée sur 2011 engendrée, entre autres, par le versement des rappels sur 2009 et 2010 des régimes indemnitaires (des fonctionnaires), qui nécessitent qu'une partie des montants ne soit pas portée en demande interne et cela grâce à un maintien en épargne", avait-il indiqué. L'indice des prix à la consommation a connu au mois d'avril 2011 une variation modérée de +0,1% qui reste de moindre ampleur par rapport à celle observée un mois auparavant (+0,7%), mais en légère hausse par rapport au même mois de l'année dernière qui s'est caractérisé par une baisse (0,9%), précise l'Office national des statistiques (ONS) dans un bilan publié, hier. Cette évolution mensuelle, qui intervient après des hausses relatives enregistrées les deux derniers mois (mars et février) avec respectivement 0,7% et +0,5% et la même observée en janvier dernier (0,1%), traduit les fluctuations des prix des différentes catégories de produits. Les prix des biens alimentaires ont augmenté de 0,1% en avril 2011 et par rapport à mars, en raison d'un relèvement des prix des produits agricoles frais (+0,3%) et de certains produits, notamment les légumes frais (+2,2 %), selon l'ONS, qui relève par contre des baisses de certains produits notamment la pomme de terre (-9,5%), et la volaille et œufs (-0,7%). En revanche, l'office relève une légère baisse (0,1%) pour les produits industriels, due principalement à la baisse des prix des sucres (-2,09%) et les huiles et graisses (-0,01%). Par contre, les produits manufacturés et ceux des services ont augmenté respectivement de 0,2% et 0,1%, précise l'ONS. En avril 2011 et par rapport au même mois de l'année écoulée, la hausse des prix à la consommation est de 4,5%, avec une progression de 4,3% pour les produits alimentaires, dont 8,1% pour les produits agricoles frais et 1,3% pour les produits industriels. Les biens manufacturés ont augmenté de 5,4% en avril dernier par rapport au même mois de 2010, ainsi que les services avec une hausse de près de 3,2%, indique l'office. Par ailleurs, l'évolution des prix à la consommation durant les quatre premiers mois 2011 se situe à 3,7%. Toutes les catégories de produits ont enregistré des hausses, soit 2,9% pour les biens alimentaires, dont 3,4% pour les produits agricoles frais et 2,5% pour les produits alimentaires industriels. Les biens manufacturés ont connu une hausse de plus de 5% durant les quatre premiers mois 2011 par rapport à la même période de référence de 2010, ainsi que les services avec près de 3%, précise l'organisme des statistiques. En 2010, le taux d'inflation était de 3,9%, en deçà de celui de 2009 (5,7%) et légèrement supérieur à celui prévu par la loi de finances 2010 (3,5%). L'Algérie devrait clôturer l'année 2011 avec un taux d'inflation inférieur par rapport à celui enregistré en 2009, avait déclaré le ministre des Finances, Karim Djoudi. "L'inflation sera inférieure à celle de 2009, alors que le risque de poussée inflationniste projetée sur 2011 engendrée, entre autres, par le versement des rappels sur 2009 et 2010 des régimes indemnitaires (des fonctionnaires), qui nécessitent qu'une partie des montants ne soit pas portée en demande interne et cela grâce à un maintien en épargne", avait-il indiqué.