Le directeur général de la sureté nationale, le général Abdelghani Hamel a indiqué hier que la sécurisation de la wilaya de Tizi Ouzou est une chose difficile compte tenu de plusieurs facteurs. Hamel, qui a présidé la cérémonie de clôture des journées portes ouvertes sur la police a rappelé qu'il s'agit d'une région qui a une densité de population très élevée et un relief géographique très difficile. L'hôte de Tizi Ouzou a insisté toutefois sur le fait que le ministre de l'Intérieur et le chef d'état-major de l'ANP sont préoccupés par la situation sécuritaire qui prévaut dans la wilaya de Tizi Ouzou où deux citoyens ont été enlevés et ne sont pas encore relâchés depuis plus de deux semaines. Plusieurs mesures seront prises bientôt afin de pouvoir faire face à la vague d'insécurité caractérisée particulièrement par la multiplication des kidnappings perpétrés dans les quatre coins de la wilaya. Ainsi, il sera question d'un redéploiement des éléments et des services de la sûreté nationale à travers toutes les communes de la wilaya, mais aussi de l'élargissement de la collaboration entre les différents corps de sécurité, à savoir la police et la Gendarmerie nationale. Ces efforts, une fois concrétisés, permettront d'endiguer le phénomène des enlèvements dans la wilaya de Tizi Ouzou, a ajouté Abdelghani Hamel. Par ailleurs, le patron de la sûreté nationale a évoqué l'augmentation des effectifs de la police dans la région. Il s'agit là, en effet, d'une revendication populaire. Des comités de villages et des citoyens ainsi que des partis politiques ont, à plusieurs reprises, interpellé l'Etat afin d'extirper la région des différents fléaux qui menacent la vie quotidienne et la quiétude du citoyen qui ne cesse d'être mises en péril. Le directeur général de la sûreté nationale a insisté sur le fait que dans la wilaya de Tizi Ouzou, il n' y a pas que le phénomène du terrorisme qui sévit, mais il a aussi indiqué que le banditisme a une grande part dans ce qui se passe sur le plan de l'insécurité. Interpellé sur la libération, par la justice, des malfaiteurs arrêtés ces derniers jours, Hamel a précisé qu'on ne peut pas entrer dans les prérogatives de la justice. Hamel a répondu en outre à d'autres questions des journalistes. Il a, de ce fait, révélé que la garde communale ne sera pas rattachée à la DGSN. A des journalistes qui l'ont interrogé sur la nécessité d'ouvrir une école de police à Tizi Ouzou, Hamel a répondu que la chose est faisable pour peu de trouver des espaces à même d'accueillir l'infrastructure. Abdelghani Hamel s'est rendu dans la matinée au musée du moudjahid de la ville de Tizi Ouzou où il s'est recueilli à la mémoire des martyrs de la guerre de Libération nationale et à la maison de la culture « Mouloud-Mammeri » où il a visité les expositions entrant dans le cadre des journées portes ouvertes sur la police. L. B. Le directeur général de la sureté nationale, le général Abdelghani Hamel a indiqué hier que la sécurisation de la wilaya de Tizi Ouzou est une chose difficile compte tenu de plusieurs facteurs. Hamel, qui a présidé la cérémonie de clôture des journées portes ouvertes sur la police a rappelé qu'il s'agit d'une région qui a une densité de population très élevée et un relief géographique très difficile. L'hôte de Tizi Ouzou a insisté toutefois sur le fait que le ministre de l'Intérieur et le chef d'état-major de l'ANP sont préoccupés par la situation sécuritaire qui prévaut dans la wilaya de Tizi Ouzou où deux citoyens ont été enlevés et ne sont pas encore relâchés depuis plus de deux semaines. Plusieurs mesures seront prises bientôt afin de pouvoir faire face à la vague d'insécurité caractérisée particulièrement par la multiplication des kidnappings perpétrés dans les quatre coins de la wilaya. Ainsi, il sera question d'un redéploiement des éléments et des services de la sûreté nationale à travers toutes les communes de la wilaya, mais aussi de l'élargissement de la collaboration entre les différents corps de sécurité, à savoir la police et la Gendarmerie nationale. Ces efforts, une fois concrétisés, permettront d'endiguer le phénomène des enlèvements dans la wilaya de Tizi Ouzou, a ajouté Abdelghani Hamel. Par ailleurs, le patron de la sûreté nationale a évoqué l'augmentation des effectifs de la police dans la région. Il s'agit là, en effet, d'une revendication populaire. Des comités de villages et des citoyens ainsi que des partis politiques ont, à plusieurs reprises, interpellé l'Etat afin d'extirper la région des différents fléaux qui menacent la vie quotidienne et la quiétude du citoyen qui ne cesse d'être mises en péril. Le directeur général de la sûreté nationale a insisté sur le fait que dans la wilaya de Tizi Ouzou, il n' y a pas que le phénomène du terrorisme qui sévit, mais il a aussi indiqué que le banditisme a une grande part dans ce qui se passe sur le plan de l'insécurité. Interpellé sur la libération, par la justice, des malfaiteurs arrêtés ces derniers jours, Hamel a précisé qu'on ne peut pas entrer dans les prérogatives de la justice. Hamel a répondu en outre à d'autres questions des journalistes. Il a, de ce fait, révélé que la garde communale ne sera pas rattachée à la DGSN. A des journalistes qui l'ont interrogé sur la nécessité d'ouvrir une école de police à Tizi Ouzou, Hamel a répondu que la chose est faisable pour peu de trouver des espaces à même d'accueillir l'infrastructure. Abdelghani Hamel s'est rendu dans la matinée au musée du moudjahid de la ville de Tizi Ouzou où il s'est recueilli à la mémoire des martyrs de la guerre de Libération nationale et à la maison de la culture « Mouloud-Mammeri » où il a visité les expositions entrant dans le cadre des journées portes ouvertes sur la police. L. B.